VeuveBlack

Salut

Je ne met jamais de sel sauf dans ma soupe maison et aucun diurétique... Mais je t'assure c'est UNIQUEMENT quand j'prends de la créa

Tu devrais, je pense, mettre tous les produits "courants"

Oui d'ailleurs j'ai poster une éventuelle future cure, bien envie de me lancer ( pas trop loin )

Il va se faire massacrer !!!

On fini en MP

Pour le HCG le débat est ardu...

Sérieux ça arrive jamais ça ?! Parce que ça je l'ai toujours eu et je ne bois pas plus quand j'en prends...

Espérons une paralysie temporaire

Cadeau les filles J'avais ça qui traînait... http://gedoc9.1fichier.com/

Par contre moi j'ai un ES de la créatine, des que j'en prends j'arrête pas de pisser, normal ?!

Putain tendu quand même...

Tiens fait le flipper un peu ça le fera peut-être réagir... http://le-culturisme.com/steroides-anabolisants.html Comme vous l’avez certainement remarqué, je ne fais pas partie des adeptes des stéroïdes anabolisants et je recommanderais à la majorité d’entre vous d’adopter la même attitude. Je ne suis cependant pas atteint d’une hystérie anti-stéroïdienne. Les stéroïdes ont existé, existent, existeront et ils fonctionnent. Sans tenir compte des articles de boulevard « garantis », traitant des cancers et de la folie des stéroïdes, quel regard devons-nous porter sur les stéroïdes anabolisants ? Historique Les stéroïdes sont le résultat de plus de cent ans de recherche dans le domaine du contrôle hormonal. L’objectif premier des chercheurs était de créer un élixir de jouvence. En 1889, le Dr. Brown-Sequard s’est administré un extrait de testicules de chien et il a ressentit une sorte d’effet « rajeunissant » – principalement dans la zone située entre les genoux et le ventre. La transplantation de testicules de singes est un autre chapitre intéressant de cette histoire. En fin de compte, le seul effet permanent de cette opération fut que les personnes greffées ont contracté une forme simiesque de la syphilis. Vers la moitié des années 30 du 20ème siècle, un tournant a eu lieu. Le Dr. Laqueur, pharmacologue allemand, a isolé des cristaux de testicules de taureau. Les chimistes hollandais ont donné à cette substance le nom de testostérone. Il n’a pas fallu longtemps pour que l’homme soit capable de synthétiser cette testostérone. Il a entre autre été déterminé que cette substance avait des effets anabolisants, ce qui signifie qu’elle favorise la croissance des muscles et de la puissance. Au début des années 40, son application dans le milieu du sport a été envisagée. Le premier cas de prise de stéroïdes date de 1931 : des sportifs suédois ont pris un produit appelé Rejuven – un médicament allemand contenant de la testostérone. En 1954, lors de la préparation au championnat de Vienne, un certain Dr. Ziegler, collaborateur de l’équipe d’haltérophilie américaine, a entendu dire que les haltérophiles russes utilisaient des dérivés de testostérone. La fin des années cinquante est l’époque de sa première étude certifiée sur l’emploi des stéroïdes dans le milieu sportif. En 1959, il a étudié les effets du Dianabol sur des haltérophiles californiens. Son enthousiasme a été quelque peu amoindri lorsqu’il a appris que certains sportifs suivis prenaient des doses parfois vingt fois supérieures à la dose recommandée. Il a mis un terme à sa recherche en donnant le commentaire suivant : « Je ne suis plus intéressé, j’ai perdu l’envie de collaborer avec des personnes dont je doute fortement de leur QI. » Le culturisme et les stéroïdes Le premier culturiste à avoir pris des stéroïdes fut Mr. Universe, Bill Pearl. En 1958, le Dr. Jones (fabricant des machines Nautilus) lui a appris l’existence d’une substance chimique secrète utilisée par les soviétiques. En fin de compte, il a essayé le produit Nilivar, un stéroïde vétérinaire utilisé pour soigner le bétail. Il a pris 12 kg en seulement 3 mois. Dans le courant des années 60 et 70, le recours aux stéroïdes s’est largement diffusé au sein de l’élite culturiste et la situation en est même arrivée à un point où elle est devenue incontrôlable. Pourquoi les dérivés ? Le principal problème de la testostérone, c’est son effet androgène (masculinisant). Les effets androgènes peuvent, dans une certaine mesure, être limités par le développement de dérivés de la testostérone. Ces effets ne seront cependant jamais complètement inhibés. Le noyau de la molécule de ce stéroïde est composé de trois hexagones auxquels vient s’ajouter un pentagone. Un atome de carbone se trouve à chaque coin – il y a en donc un total de 19. Vu que la testostérone est très mal absorbée par le système digestif et qu’elle est ensuite très rapidement désactivée par le foie, on y ajoute un groupe alkyle à la place du 17ème atome de carbone. La demi-vie de la testostérone naturelle est de 20 minutes. Pour ce qui est de la synthèse de la testostérone, le cholestérol est le principal précurseur de la testostérone. Ce processus se déroule dans les testicules, dans la chaîne Cholestérol – Pregnénolone – 17-hydroxyprégnénolone – Déhydroépiandrostérone – Androsténédione – Testostérone. La sécrétion quotidienne de testostérone équivaut à environ 2,5 à 10 milligrammes. Mécanisme d’action Tout comme la majorité des substances chimiques, les stéroïdes agissent au niveau cellulaire. Le point de rencontre est appelé récepteur. Chaque substance spécifique a son propre récepteur. Imaginez un mécanisme analogue à celui d’un cadenas et d’une clé. Seul un seul type de protéine (clé) peut ouvrir le cadenas (récepteur). Tout dépend donc de la forme géométrique de la molécule. Dès que la substance active se lie, elle initie une série de réactions chimiques. La majorité des récepteurs des stéroïdes anabolisants se trouve dans le noyau de la cellule. Une fois que la clé a « ouvert » son cadenas, le taux d’ARN augmente, tout comme la protéosynthèse (la production de protéines à partir de l’ADN). Il convient également de noter que le nombre de récepteurs est différent chez chaque individu. Alors, quels sont les risques ? Les stéroïdes sont principalement appliqués par voie orale (bouche, comprimés) ou par injection. Les pilules orales font beaucoup travailler le foie car elles s’y concentrent. Rappelez-vous le groupe en C17. Les stéroïdes oraux sont sujets à une désactivation plus élevée car ils traversent le système digestif et le foie. Il est donc nécessaire d’en prendre de grandes quantités. C’est probablement aussi pour cela que leurs effets secondaires sont plus rapides. Les troubles hépatiques, l’hépatite et les dégradations irréversibles du foie sont d’autres problèmes logiquement liés à ce type de stéroïdes. Les stéroïdes par injection sont appliqués de manière intramusculaire (dans le muscle), et non pas par intraveineuse (dans une veine). Les stéroïdes appliqués par injection ont deux bases fondamentales – une base huileuse et une base aqueuse. La plupart de ces stéroïdes sont appliqués dans la cuisse ou dans les fesses. L’application dans la cuisse est plus douloureuse. Dès que vous violez la couche supérieure de la peau, vous exposez votre corps à un risque d’infection potentielle et ce, plus particulièrement si, en plus, vous n’utilisez pas une aiguille stérile. Vous avez déjà certainement entendu parler des risques de transmission du SIDA et des hépatites entre des personnes qui se prêtent leurs seringues. Lorsque vous vous faites une piqure, vous pouvez également vous appliquer des particules extérieures (par exemple des fibres de coton) qui peuvent provoquer des empoisonnements. Dans les deux à quatre heures qui suivent l’injection, la victime commence à souffrir de crampes musculaires et de nausées. Si les symptômes ne disparaissent pas, elle peut subir un choc, perdre conscience, voire même tomber dans le coma, mais il s’agit-là uniquement de la partie visible de l’iceberg. La plupart des abcès sont provoqués par des stéroïdes à base aqueuse (Winstrol ou suspension de testostérone). Si vous êtes suffisamment habile et que vous arrivez à vous piquer une artère ou une veine, ou au pire la grande artère fémorale où le sang se déplace très rapidement sous l’effet d’une pression importante, vous pourrez perdre tout votre sang en quelques minutes seulement. Une personne encore plus habile arrivera à se piquer un nerf. Comme vous le savez certainement, le système nerveux permet, entre autres, le mouvement des muscles. Si vous avez de la chance, vous vous viderez simplement de manière involontaire et douloureuse. Vous risquez cependant une dégradation permanente du nerf. Vous aurez ensuite le choix entre une dégénération de la cuisse ou, dans certains cas, une paralysie complète de la jambe. La source à partir de laquelle vous avez acquis vos stéroïdes est un autre aspect important dont il convient de tenir compte. Vous disposez du produit original ou d’un produit provenant d’un laboratoire d’essai ? Une menue variation de la température, de la qualité des ingrédients ou du solvant peut entraîner des changements dans le déroulement de la réaction et donc des modifications du produit final. Il existe donc un risque que vous vous appliquiez quelque chose de réellement toxique. Une hypertension artérielle est un effet secondaire lié à la prise de stéroïdes qui a déjà été maintes fois démontré. Toute personne souffrant d’affections du cœur ou de troubles rénaux devrait donc les éviter autant que possible. Les stéroïdes provoquent également une augmentation du taux de cholestérol. Le risque de maladies cardiovasculaires est donc, de ce fait, lui aussi accru. L’effet secondaire le plus connu est l’acné. Elle est probablement due à une activité accrue des glandes sébacées de la peau. On observe principalement l’apparition d’huiles qui sont un excellent terrain de vie pour les bactéries. Lorsque la testostérone se dégrade, elle se transforme en œstrogène, ce qui est une hormone féminine. Vu qu’un grand nombre de récepteurs se trouve dans les alentours des tétons, on observe souvent un gonflement de la poitrine appelé gynécomastie. Vu que la prise de stéroïdes inhibe la production naturelle de testostérone, les testicules qui ne sont pas employés rapetissent. Après une prise de stéroïdes de longue durée, il est même parfois réellement problématique de faire redémarrer cette production naturelle. Le priapisme peut être un effet relativement douloureux des stéroïdes. Le priapisme est en effet une érection de longue durée qui ne cesse pas, même après des stimulations sexuelles. Ces derniers temps, on observe souvent des déchirures des tendons. Ceci est dû au fait que, sous l’effet des stéroïdes, les muscles se renforcent plus vite que les tendons et les tendons ne résistent ensuite pas aux efforts développés par la nouvelle force musculaire. Il est vrai que les stéroïdes peuvent quelque peu « améliorer » vos tendances à adopter des comportements inhabituels. Je ne pense pas que les stéroïdes puissent transformer un homme normal en agresseur, mais vous serez certainement plus agressifs qu’avant la prise. Il existe également des théories traitant de la dépendance. La plupart des consommateurs aura pris du poids une fois qu’ils auront terminé leur programme. Le problème, c’est qu’après avoir arrêté de consommer, ils perdront cette masse. Il arrive donc qu’ils prennent des stéroïdes sans faire de pauses. Il est aussi démontré qu’au plus longtemps quelqu’un prend des stéroïdes, au plus les doses augmentent. Certains cas de dépression sont également cités. Elles sont probablement dues à la modification du taux de neurotransmetteurs cérébraux. Il a été démontré que les stéroïdes ont joué un certain rôle dans plusieurs cas de suicide. Le recours aux stéroïdes chez les femmes est un chapitre à lui tout seul. Vous avez déjà rencontré une femme qui vous parle avec la voix d’un homme poilu ? En résumé Il convient de considérer les stéroïdes comme des médicaments. Il s’agit de substances très actives qui peuvent provoquer différents déséquilibres dans la composition chimique de votre corps et donc, renforcer certains troubles latents. Outre cela, ces substances peuvent provoquer elles-mêmes certains troubles. En raison d’une chaîne complexe de réactions chimiques que nous ne connaissons toujours pas, vous pourrez dégrader de manière irréversible un certain niveau intermédiaire. L’arrêt de la sécrétion d’hormones naturelles après une longue période de prise en est exemple des plus flagrants. Et enfin, il convient de se poser encore une question. Quelle confiance avez-vous envers le distributeur de tels médicaments ? Son activité est illégale et le fait que vous achetiez quelque chose de bon marché au prix d’un produit plus cher ne lui causera certainement pas de problème de conscience. Cela vaut-il vraiment le coup ? Vous vivez vraiment du sport ?

Ben si il a vraiment explosé un nerf il peut être dans la merde...

Tu aurais la gentillesse de détailler la méthode concernant les gens faisant du gras facilement comme moi ou tu la garde pour toi (ce que je comprendrais aisément vu le prix du bouquin)

Tu préconises quoi alors luca pour une PCT ?!

Bon ben tout à l'air nickel

Ben oui normalement la monohydrate c'est 1gr à chaque repas principal et 2gr en post. Soit 5gr sur la journée, mais j'ai pas trop compris le rapport avec le fait qu'il y en ait dans le V4

Et surtout mec si tu décides de vraiment partir du forum, ne serait-ce qu'un petit post sur ce topic de temps en temps pour nous rassurer ça serait cool

J'en prends pas trop cher pour moi (avis perso).

Ouaip 1gr à chaque repas + 2gr en post. Les jours off je reste à 3gr

Ça doit brûler sévère...

C'est pas le fait de cacher ta tronche qui va changer quoi que ce soit... IP, adresse, merci au revoir...

J'ai connu ça j'ai même failli en finir, à ta place justement je resterais, on sera toujours la pour te sortir une connerie