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bulldog

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    bulldog got a reaction from bullrot1700 in Cure 10 semaines Susta/Deca.   
    Là je comprends plus grand chose, tu crées un topic pour annoncer ton intention de suivre une cure
    http://forum.all-steroids.com/topic/8478-cure-sustanon-250/
    puis sur celui-ci tu annonces le type de cure choisi et, patatras, retournement de situation, tu repasses par la case de départ.
    Un vrai jeu de monopoly.
     
    Un des conseils donnés était de t'inspirer d'une cure similaire, regarde-la à nouveau   
    http://forum.all-steroids.com/topic/8463-avis-cure-decasustadiana/
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    bulldog got a reaction from polo in Cure 10 semaines Susta/Deca.   
    Je comprends ça... Alors ne te précipites pas. Tu peux commencer un peu plus tard que la date prévue.
     
    Franchement je vois pas l'intérêt de 200 mg de deca...
    Tu devrais plutôt tester un produit et basta ! Essaie le susta pour voir comment tu réagis.
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    bulldog got a reaction from philoo in Cure 10 semaines Susta/Deca.   
    Je comprends ça... Alors ne te précipites pas. Tu peux commencer un peu plus tard que la date prévue.
     
    Franchement je vois pas l'intérêt de 200 mg de deca...
    Tu devrais plutôt tester un produit et basta ! Essaie le susta pour voir comment tu réagis.
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    bulldog got a reaction from bullrot1700 in Cure Sustanon 250   
    Pas mardi et jeudi mais lundi et jeudi ou mardi et vendredi.
     
    Pour être compris et être efficace, affiche ta cure de façon complète, nombre de semaines avec protection envisagée et PCT.
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    bulldog got a reaction from ANGELA34 in BONJOUR TOUT LE MONDE   
    Bienvenue à toi.
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    bulldog got a reaction from natas01 in Des connaisseurs sur ITPP ? (myo-Inositol Trispyrophosphate)   
    FICHE TECHNIQUE en VO
     
    B*** 30mL may increase the force of heart muscle contraction, thereby increasing blood flow and oxygen to the muscles in Race Horses, Greyhounds, Dogs & Camels
     
    COMPOSITION: 
    200mg/ml Myo-Inositol Trispyrophosphate
     
    ACTIONS:
    B*** may increase oxygen uptake by binding to hemaglobin and helping release oxygen.
     
    DESCRIPTION:
    The active ingredient of this one of a kind peptide is introduced into the bloodstream which then directly goes into the red blood cells. Those cells, then pick up increased amounts of oxygen when they pass through the lungs and deliver it to the muscles at an increased rate and better efficiency.
     
    INDICATIONS:
    -To improve energy and oxygen supply to muscles
    -Increase maximum oxygen uptake and power output
    -Delay onset of fatigue and promote muscle recovery in performance horses
     
    FOR:
    Horses, Greyhounds, Dogs, Camels
     
    DOSAGE & ADMINISTRATION:
    30ml given 4-6hrs prior to anticipated exercise
     
    PRESENTATION:
    30 mL sterile glass vial.
     
    STORAGE:
    Store below 25 C (Air Conditioning)
     
  7. Like
    bulldog got a reaction from kris67 in Bodybuilder Le film   
    Un portrait sans fards et sans complaisance, quelques lignes valorisantes pour le film. Un bel article sur l'univers peu médiatisé du BB.
     
    Yolin François Gauvin, massif du Jura
     
    (Photo Jérôme Bonnet)
     
    PORTRAIT Ce champion de culturisme, qui a monté une salle à Lons-le-Saunier, s’impose dans le nouveau film de Roschdy Zem. Avouons-le, compte tenu du profil pour le moins singulier, c’est avec un sentiment de curiosité empreinte de perplexité que l’on aborde le candidat du jour. Au top de sa rutilance, dans les années 80, Yolin François Gauvin a été champion de France de culturisme, puis, pas plus tard que l’an dernier, champion du monde dans la catégorie vétéran, et aussi deux fois vice-Monsieur Univers - le distingo avec champion du monde n’est pas hyperclair, mais en gros, cela représente le titre ultime, une sorte d’empyrée de l’hypertrophie musculaire.
     
    Aussi, c’est peu de dire qu’à l’approche de la soixantaine, notre homme continue de porter beau - du moins pour qui kiffe ce genre de modèle. D’une élégante sobriété, pantalon et polo noirs, à peine contredite par une gourmette et des bagues aux doigts, Yolin François Gauvin se confie cependant pour un motif inédit. Mercredi, sur les écrans, il occupe les avant-postes dans le troisième film réalisé par le comédien Roschdy Zem, Bodybuilder. La chronique tendue des retrouvailles entre un père et son fils. Le premier, propriétaire d’une salle de muscu accaparé par la préparation d’une compétition, tentant de redresser le second, un jeune glandeur englué dans une série d’embrouilles. Plutôt bien bâti, Bodybuilder bénéficie d’un casting ad hoc : Vincent Rottiers, Marina Foïs et Nicolas Duvauchelle y sont justes. Et Yolin François Gauvin tout bonnement remarquable en géniteur taciturne se coltinant, de force plus que de gré, ce rôle éducatif qu’il n’avait pas su tenir jadis.
     
    A la ville comme à l’écran, il transparaît illico que l’authentique YFG et le père de fiction ne forment qu’un. Profil et parcours connexes, fondés sur les notions de volonté et de courage paroxystiques, jusqu’à une assomption certaine de la souffrance autorisant un éloge raisonné de la méritocratie. «Assez ours» de nature, Yolin François Gauvin croque néanmoins dans son statut tardif d’acteur avec la gourmandise d’un néophyte qui prendrait la lune avec les dents, trop ravi, au passage, de pouvoir s’autoriser des plans clope - Coca-Cola après des mois de sacrifices préparatoires.
     
    Déboulant avec un peu de retard («ça fait une semaine que c’est la course !») dans le cosy salon de thé surplombant le cinéma du Panthéon, il sourit des vanités parisiennes du rodéo promotionnel. Puis, sans même que le rituel des questions - réponses ait formellement débuté, parle. Beaucoup, a fortiori pour un supposé bourru. Voix grave, coordonnée à un propos aussi clair que l’est le regard, le bestiau confirme le soulagement de ne plus devoir carburer au régime blanc de poulet brocolis ; ni calculer le moindre dosage au gramme près, évacuant d’une chiquenaude la question du dopage. «Il existe dans tous les sports, mais donnez ce que vous voulez à un âne, il ne deviendra jamais un cheval de course.»
     
    Du tac au tac, YFG épingle cette «horreur de la différence» perçue chez certaines personnes qui daubent sa morphologie (pour info, 50 centimètres de tour de biceps, 75 de cuisse), alors qu’il assure n’aspirer à rien d’autre qu’une recherche personnelle d’équilibre. «J’ai commencé le bodybuilding à 17 ans, pour me sentir bien dans ma peau et les endorphines secrétées par le cerveau m’ont rendu accro à cette discipline fondée sur une remise en question, voire une insatisfaction permanente. Comme pour toute autre activité physique, libre à chacun d’estimer que cela ne sert à rien de soulever 20 ou 30 tonnes de ferraille en deux heures. Mais a contrario, quel mal y aurait-il à ça, du moment qu’on n’embête pas son voisin ? Lequel pourrait me laisser tout autant songeur quand je le vois enfourcher son vélo un dimanche matin sous la pluie ou la neige ?»
     
    Et le monologue se poursuit, pour évoquer avec une candeur touchante la nouvelle addiction procurée cette fois par les caméras. «Une expérience vécue pendant trois mois comme un formidable cadeau, entouré de personnes humbles et gentilles. Mais avec l’obsession de ne pas décevoir ceux, à commencer par Roschdy Zem, qui avait pris un énorme risque en me faisant confiance. Alors, j’ai travaillé, nuit et jour, notamment pour maîtriser le texte. Mais on n’a rien sans rien… et l’expérience a été si intense qu’après le tournage, pour la première fois de ma vie, j’ai fait une dépression, pris des calmants et consulté un psy.»
     
    YFG a grandi à la Réunion, entre une mère institutrice, puis employée de l’aéroport, et un père au foyer après avoir fait capoter la PME qu’il dirigeait. Sa sœur est douée pour les études. Pas lui, élève chez les moines qui, à 17 ans et demi, part intégrer une compagnie de combat. Parachuté dans le Jura, l’autodidacte devient réparateur de chaudières, puis vendeur de pompes à chaleur et de matériel sanitaire. En parallèle, comme dans le film, il monte une salle municipale, à Lons-le-Saunier, où les critères de réinsertion sociale se juxtaposent au défi athlétique. Les bénéfices dégagés par tel ou tel événement vont à des associations caritatives et une des plus belles récompenses à ses yeux reste ce «père de famille qui a fait un jour cent bornes pour me remercier après que son fils, ex-dealer, soit devenu prof de muscu».
     
    Comme dans Bodybuilder, également, celui que Roschdy Zem a découvert dans un concours à Saint-Etienne, foire sa première vie de famille, laissant en chemin une femme et deux enfants, avant de retisser des liens avec le cadet qui filait un mauvais coton. De même, la Marina Foïs du film existe, en plus «fusionnelle». Au quotidien, sa blonde se nomme Lydie, est éducatrice et voue à l’Apollon de dix-huit ans son aîné, une adoration infinie. Tombée amoureuse à l’adolescence, quand elle fréquentait la salle, cette ex-championne de France de culturisme n’a conquis - et épousé l’été dernier - son chéri qu’à 29 ans. L’ayant observé sous toutes les coutures, elle compare l’âme sœur à la «grosse enveloppe d’un oignon au cœur énorme, une fois qu’on a enlevé toutes les couches», un personnage «droit, déterminé, perfectionniste, mais aussi anxieux, timide, parfois autiste, qu’il faut savoir remettre en place sans aller à l’affrontement».
     
    Récemment, Yolin François Gauvin a quitté son travail pour se rapprocher de sa mère, qui vivait seule à la Réunion. Mais elle est morte peu après la fin du tournage. Son père et sa sœur aussi sont décédés et sa femme a dû surmonter un cancer. Pourtant, «la roue tourne» philosophe-t-il, en écho à cette expérience cinématographique qu’il rêverait de réitérer, tout en concédant qu’«on gagne rarement deux fois au Loto… A trois ans de la retraite, au pire, je pourrai redevenir commercial, ou coach». Un carpe diem que complète l’idyllique Lydie, en aparté : «De toute façon, il a toujours été à la hauteur de tout ce qu’il a entrepris.»
     
    En 7 dates
     
    5 avril 1957 Naissance à Madagascar. 
    1975 Découverte du bodybuilding. 
    1982 Ouverture de sa salle à Lons-le-Saunier (Jura). 
    1986 Naissance de son premier fils et 1er titre de champion de France. 
    1992 Naissance de son deuxième fils.
    2008 et 2013 Champion du monde catégorie vétéran.
    1er octobre 2014 Sortie de Bodybuilder de Roschdy Zem.
     
    Gilles Renault - Libération 28 septembre 2014
  8. Like
    bulldog got a reaction from steguef in Utilisation du légalon   
    De sacrés résultats en 15 jours... Quels ont été les gains réels autres que l'effet placebo possible et la rétention d'eau ?
     
    Toujours la même question pour la première cure : dosage du diana, durée... et pas de protection je présume.
     
    L'action du diana est plus judicieuse en kick start.
    A toi de voir.
  9. Like
    bulldog reacted to musclegeek in Mon body fat, d'après vous?   
    Bonsoir,
    Achète toi une pince adipeuse et tu seras vraiment fixé.
  10. Like
    bulldog got a reaction from Groot in Anastrozol ou Proviron   
    Aujourd'hui c'est jour de BA, profites-en.
    http://forum.all-steroids.com/topic/2039-analyse-de-sang-dosages-principaux-et-interpretation-des-resultats/
  11. Like
    bulldog got a reaction from Groot in I'm Groot   
    Welcome, Monarch of Planet X 
  12. Like
    bulldog got a reaction from Robocop in Bodybuilder Le film   
    Un portrait sans fards et sans complaisance, quelques lignes valorisantes pour le film. Un bel article sur l'univers peu médiatisé du BB.
     
    Yolin François Gauvin, massif du Jura
     
    (Photo Jérôme Bonnet)
     
    PORTRAIT Ce champion de culturisme, qui a monté une salle à Lons-le-Saunier, s’impose dans le nouveau film de Roschdy Zem. Avouons-le, compte tenu du profil pour le moins singulier, c’est avec un sentiment de curiosité empreinte de perplexité que l’on aborde le candidat du jour. Au top de sa rutilance, dans les années 80, Yolin François Gauvin a été champion de France de culturisme, puis, pas plus tard que l’an dernier, champion du monde dans la catégorie vétéran, et aussi deux fois vice-Monsieur Univers - le distingo avec champion du monde n’est pas hyperclair, mais en gros, cela représente le titre ultime, une sorte d’empyrée de l’hypertrophie musculaire.
     
    Aussi, c’est peu de dire qu’à l’approche de la soixantaine, notre homme continue de porter beau - du moins pour qui kiffe ce genre de modèle. D’une élégante sobriété, pantalon et polo noirs, à peine contredite par une gourmette et des bagues aux doigts, Yolin François Gauvin se confie cependant pour un motif inédit. Mercredi, sur les écrans, il occupe les avant-postes dans le troisième film réalisé par le comédien Roschdy Zem, Bodybuilder. La chronique tendue des retrouvailles entre un père et son fils. Le premier, propriétaire d’une salle de muscu accaparé par la préparation d’une compétition, tentant de redresser le second, un jeune glandeur englué dans une série d’embrouilles. Plutôt bien bâti, Bodybuilder bénéficie d’un casting ad hoc : Vincent Rottiers, Marina Foïs et Nicolas Duvauchelle y sont justes. Et Yolin François Gauvin tout bonnement remarquable en géniteur taciturne se coltinant, de force plus que de gré, ce rôle éducatif qu’il n’avait pas su tenir jadis.
     
    A la ville comme à l’écran, il transparaît illico que l’authentique YFG et le père de fiction ne forment qu’un. Profil et parcours connexes, fondés sur les notions de volonté et de courage paroxystiques, jusqu’à une assomption certaine de la souffrance autorisant un éloge raisonné de la méritocratie. «Assez ours» de nature, Yolin François Gauvin croque néanmoins dans son statut tardif d’acteur avec la gourmandise d’un néophyte qui prendrait la lune avec les dents, trop ravi, au passage, de pouvoir s’autoriser des plans clope - Coca-Cola après des mois de sacrifices préparatoires.
     
    Déboulant avec un peu de retard («ça fait une semaine que c’est la course !») dans le cosy salon de thé surplombant le cinéma du Panthéon, il sourit des vanités parisiennes du rodéo promotionnel. Puis, sans même que le rituel des questions - réponses ait formellement débuté, parle. Beaucoup, a fortiori pour un supposé bourru. Voix grave, coordonnée à un propos aussi clair que l’est le regard, le bestiau confirme le soulagement de ne plus devoir carburer au régime blanc de poulet brocolis ; ni calculer le moindre dosage au gramme près, évacuant d’une chiquenaude la question du dopage. «Il existe dans tous les sports, mais donnez ce que vous voulez à un âne, il ne deviendra jamais un cheval de course.»
     
    Du tac au tac, YFG épingle cette «horreur de la différence» perçue chez certaines personnes qui daubent sa morphologie (pour info, 50 centimètres de tour de biceps, 75 de cuisse), alors qu’il assure n’aspirer à rien d’autre qu’une recherche personnelle d’équilibre. «J’ai commencé le bodybuilding à 17 ans, pour me sentir bien dans ma peau et les endorphines secrétées par le cerveau m’ont rendu accro à cette discipline fondée sur une remise en question, voire une insatisfaction permanente. Comme pour toute autre activité physique, libre à chacun d’estimer que cela ne sert à rien de soulever 20 ou 30 tonnes de ferraille en deux heures. Mais a contrario, quel mal y aurait-il à ça, du moment qu’on n’embête pas son voisin ? Lequel pourrait me laisser tout autant songeur quand je le vois enfourcher son vélo un dimanche matin sous la pluie ou la neige ?»
     
    Et le monologue se poursuit, pour évoquer avec une candeur touchante la nouvelle addiction procurée cette fois par les caméras. «Une expérience vécue pendant trois mois comme un formidable cadeau, entouré de personnes humbles et gentilles. Mais avec l’obsession de ne pas décevoir ceux, à commencer par Roschdy Zem, qui avait pris un énorme risque en me faisant confiance. Alors, j’ai travaillé, nuit et jour, notamment pour maîtriser le texte. Mais on n’a rien sans rien… et l’expérience a été si intense qu’après le tournage, pour la première fois de ma vie, j’ai fait une dépression, pris des calmants et consulté un psy.»
     
    YFG a grandi à la Réunion, entre une mère institutrice, puis employée de l’aéroport, et un père au foyer après avoir fait capoter la PME qu’il dirigeait. Sa sœur est douée pour les études. Pas lui, élève chez les moines qui, à 17 ans et demi, part intégrer une compagnie de combat. Parachuté dans le Jura, l’autodidacte devient réparateur de chaudières, puis vendeur de pompes à chaleur et de matériel sanitaire. En parallèle, comme dans le film, il monte une salle municipale, à Lons-le-Saunier, où les critères de réinsertion sociale se juxtaposent au défi athlétique. Les bénéfices dégagés par tel ou tel événement vont à des associations caritatives et une des plus belles récompenses à ses yeux reste ce «père de famille qui a fait un jour cent bornes pour me remercier après que son fils, ex-dealer, soit devenu prof de muscu».
     
    Comme dans Bodybuilder, également, celui que Roschdy Zem a découvert dans un concours à Saint-Etienne, foire sa première vie de famille, laissant en chemin une femme et deux enfants, avant de retisser des liens avec le cadet qui filait un mauvais coton. De même, la Marina Foïs du film existe, en plus «fusionnelle». Au quotidien, sa blonde se nomme Lydie, est éducatrice et voue à l’Apollon de dix-huit ans son aîné, une adoration infinie. Tombée amoureuse à l’adolescence, quand elle fréquentait la salle, cette ex-championne de France de culturisme n’a conquis - et épousé l’été dernier - son chéri qu’à 29 ans. L’ayant observé sous toutes les coutures, elle compare l’âme sœur à la «grosse enveloppe d’un oignon au cœur énorme, une fois qu’on a enlevé toutes les couches», un personnage «droit, déterminé, perfectionniste, mais aussi anxieux, timide, parfois autiste, qu’il faut savoir remettre en place sans aller à l’affrontement».
     
    Récemment, Yolin François Gauvin a quitté son travail pour se rapprocher de sa mère, qui vivait seule à la Réunion. Mais elle est morte peu après la fin du tournage. Son père et sa sœur aussi sont décédés et sa femme a dû surmonter un cancer. Pourtant, «la roue tourne» philosophe-t-il, en écho à cette expérience cinématographique qu’il rêverait de réitérer, tout en concédant qu’«on gagne rarement deux fois au Loto… A trois ans de la retraite, au pire, je pourrai redevenir commercial, ou coach». Un carpe diem que complète l’idyllique Lydie, en aparté : «De toute façon, il a toujours été à la hauteur de tout ce qu’il a entrepris.»
     
    En 7 dates
     
    5 avril 1957 Naissance à Madagascar. 
    1975 Découverte du bodybuilding. 
    1982 Ouverture de sa salle à Lons-le-Saunier (Jura). 
    1986 Naissance de son premier fils et 1er titre de champion de France. 
    1992 Naissance de son deuxième fils.
    2008 et 2013 Champion du monde catégorie vétéran.
    1er octobre 2014 Sortie de Bodybuilder de Roschdy Zem.
     
    Gilles Renault - Libération 28 septembre 2014
  13. Like
    bulldog got a reaction from polo in Il faut que je trolol...   
    Je pense la même chose.
                             COLOSSAL
  14. Like
    bulldog got a reaction from graffcrew in sustatone effet   
    Etrange... Ci-joint la notice d'un fabricant où tu trouveras notamment les précautions d'emploi et les effets indésirables, comme le veut l'usage.
     
    C'est peut-être aussi du stress... Si ça perdure ou s'aggrave, vois un médecin.
    114097.pdf
  15. Like
    bulldog got a reaction from Big™ in Est-ce que stéroïdes font rapetisser ou grossir le pénis ???   
    Les stéroïdes ont bien des effets androgènes mais pas de cet ordre-là chez l'homme adulte. Pas de réduction de la taille du sexe, j'ai rien constaté. Tant mieux ! 
     
    A ma connaissance le seul truc pour faire grossir le pénis c'est l'acte chirurgical.
     
    Un des risques encourus a été évoqué il y peu de temps :  http://forum.all-ste...ospermie-totale
     
    Bonne lecture.
  16. Like
    bulldog reacted to musclegeek in Programme Force Bill Starr   
    Programme simple et efficace !
    Un lien utile:
    http://www.all-musculation.com/AM/images/5x5.xls
  17. Like
    bulldog got a reaction from Kadoche in Presentation Kadoche   
    Bienvenue Kadoche.
  18. Like
    bulldog got a reaction from maxime232 in Photo Maxime232   
    Comme quoi la volonté est payante. Belle évolution !
  19. Like
    bulldog got a reaction from musclegeek in Training Lunoronti ( cycle )   
    Entièrement d'accord avec toi Musclegeek
    Focalise-toi sur les mouvements de base : le squat, le soulevé de terre, le developpé militaire et le développé couché. Base ton entrainement sur 4 séances par semaine au maximum. Ça suffit amplement. Par contre ta séance ne correspond pas au 5/3/1.
    Pour d'informer sur cette méthode : http://www.ucpmuscu.com/531-methode-jim-wendler
    Pour calculer ton cycle 5/3/1 : http://www.strstd.com
    Le cycle est basé sur 4 semaines. Chaque mois on ajoute des kg supplémentaires aux charges d'entrainement...
    La méthode est certes simple mais efficace. Rien ne t'empêche de rajouter des exos pour les biceps ou les triceps.
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