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jackman77

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  1. arrêtons de dire n'importe quoi, les meffaits des aas sont bien connus...Ci-joint un document relatant de tout cela: TECHNIQUES ET PRODUITS DOPANTS Le CIO a proposé une classification en 3 rubriques : · I) La classe des substances interdites (et substances apparentées). · 2) Les méthodes interdites. · 3)Les substances soumises à restriction. I - LES CLASSES DE SUBSTANCES INTERDITES - - A - LES STIMULANTS - De la caféine aux amphétamines….., en passant par la cocaïne ! 1) Effets sur la performance : Ces produits accroissent la concentration, l’attention, réduisent surtout la sensation de fatigue, augmentent l’agressivité, reculent le seuil de la douleur ; ce sont souvent des «coupe-faim». Les plus utilisés restent les amphétamines : ces substances n’ont aucune justification thérapeutique dans le monde du sport et sont donc interdites. 2) Les effets nocifs : localisés sur les systèmes cardio-vasculaire et neurologique, ils provoquent arythmie, troubles neuro-psychiatriques (agressivité, nervosité, troubles caractériels, insomnie) ; ces produits reculent le seuil physiologique de la fatigue, entraînant asthénie puis épuisement ; les états dépressifs, secondaires à l’utilisation des amphétamines sont souvent notés. L’accoutumance nécessite l’augmentation des doses, aggravant ainsi les facteurs de risque. L’Ephédrine, utilisée dans certaines préparations ORL[7], pour traiter rhinites, bronchites et grippe, est interdite. Le médecin doit prescrire dans les affections ORL des produits ne contenant pas de principes actifs proscrits. La Caféine, recherchée dans certains sports de tonus donne un contrôle positif pour un taux de 12 micro-grammes/millilitre d’urine (6 tasses de café serré). La Cocaïne fait partie de la famille des stimulants ; c’est une drogue dure interdite par la loi civile et la loi sur le sport. Les stimulants sont le « doping du pauvre », mais restent toujours très prisés dans les milieux sportifs amateurs, ainsi que dans certains sports collectifs bien que leur détection soit aisée dans les urines. Quelques cas de décès par abus d’utilisation d’amphétamines ont été répertoriés depuis 1965 ; : la mort de Tom SIMPSON fût à l’origine de la loi française de 1965 aujourd’hui caduque, mais les amphétamines furent les premiers produits identifiés dans les urines et interdits par le CIO, puis par l’UCI. - B - LES NARCOTIQUES - De la codéine à la morphine…… en passant par le cannabis ! 1) Effets sur la performance : Utilisés comme analgésiques majeurs, ils sont interdits à cause de leurs effets secondaires : risque de dépression respiratoire, de dépendance psychique. Sont surtout recherchés l’héroïne, la morphine, la méthadone et les substances apparentées. Depuis le 17 juin 1998 (journal officiel de la République Française) un amendement à l’annexe de la convention contre le dopage a été voté autorisant, la codéine, le dextro-propoxyphène, l’éthyl morphine. : grâce à ce décret récent, fièvre, rhume et toux peuvent être traités. Dans cette classe de produit on retrouve le cannabis : cette drogue entraîne dans un premier temps une excitation euphorique communicative puis une phase d’exaltation sensorielle appelée ivresse cannabique ; elle aboutit rapidement à une désorientation temporo-spatiale, enfin à un phénomène passif d’extase avec phase de dépression et sensation d’endormissement. L’utilisation répétée et habituelle de cannabis engendre une apathie avec diminution des réflexes, désintérêt, ralentissement intellectuel, appelé cannabisme chronique. 2) Les méfaits du cannabis : Sur l’entraînement sont connus : diminution de l’attention, de la concentration, de la coordination et de la motricité, perturbant les prises de décision et les choix tactiques. Enfin, effondrement de la condition physique et mentale. Les effets durent 6 à 24 heures, après une prise unique, avec « effet cumulatif » et « effet rebond » si la prise est quotidienne et répétée. L’élimination urinaire du principe actif du cannabis (le THC) est lente : 4 à 5 jours pour une prise unique, plusieurs semaines voire plusieurs mois pour des prises répétées quotidiennes. En France le cannabis est interdit par la loi civile. Depuis 1991, il est inscrit dans la catégorie des narcotiques dans la loi sur le sport. Par contre, le CIO a laissé le cannabis dans la classe des substances soumises à restriction, les Fédérations Internationales ou autorités locales décidant ou non de sa recherche dans les urines. - C - LES AGENTS ANABOLISANTS - 1° LES STEROIDES ANABOLISANTS ou ANDROGENES Produits « dopant-rois » des années 1970, ils sont aujourd’hui supplantés par les hormones de croissance. a) Le but des androgènes est d’accroître la masse musculaire, d’augmenter la performance sportive en favorisant force et puissance musculaire. Si l’action des anabolisants de synthèse est strictement anabolisante, l’action de la testostérone est double, anabolisante et androgénique. Les effets secondaires dépendent donc du produit et des doses utilisés , de la durée de la cure : l’utilisation prolongée et répétée d’androgène sur le plan général provoque une prise de poids exagérée, des lésions musculo-tendineuses, des troubles cardio-vasculaires et biologiques, une agressivité, une modification de la libido. c) Des effets secondaires spécifiques sont décrits chez l’enfant, l’homme et la femme : · Chez l’enfant, la prise d’androgène déclenche une puberté précoce avec flambée puis arrêt rapide et définitif de la croissance. · Chez l’homme, la prise répétée de testostérone est hépatotoxique, induit des lésions prostatiques, déclenche une gynécomastie, un hypogonadisme avec oligospermie. Certains cancers du foie et de la prostate habituellement retrouvés dans la 2ème partie de la vie ont été répertoriés chez des sportifs jeunes. Ces effets secondaires ont été retrouvés chez les haltérophiles, lanceurs, sprinters, sauteurs, body-buldeurs, après de multiples cures d’androgènes. (l’utilisation prolongée de la testostérone entraîne une diminution de la libido. · Chez la femme, l’utilisation des androgènes entraîne une virilisation : pilosité, voix rauque, ensuite modifications des organes sexuels externes avec atrophie mammaire, hypertrophie clitoridienne, aspect androïde sont les effets les plus souvent retrouvés, quelquefois définitifs. Les androgènes éliminés dans les urines donnent un contrôle positif pendant plusieurs mois. Les contrôles inopinés, de plus en plus fréquents doivent dissuader les athlètes d’utiliser les anabolisants hormonaux ; mais la prise de testostérone peut être marquée par la prise d’épitestostérone (produit maintenant le rapport testostérone sur épitestostérone inférieur à 6). Devant l’aspect lucratif généré par l’utilisation des anabolisants, des réseaux de production et de distribution ont été organisés inondant l’Amérique, l’Europe de l’Ouest et de l’Est, l’Asie ; «la filière Mexicaine» (réseau JENKINS) a été démantelée en 1988, mais une «French Connection» sévit toujours : salles de musculation, d’haltérophilie, de culturisme, de gymnastique, de sports de combats et bien des sports collectifs ou individuels bénéficient largement de ces réseaux. Les androgènes sont toujours utilisés dans les milieux culturistes où les contrôles ne sont pas effectués. Dans les autres sports de force, de vitesse et de tonus, seuls les inconscients ou les imbéciles tombent dans les « mailles du filet ». Depuis l’avènement de l’hormone de croissance synthétique, l’ère des androgènes paraît révolue., réduite au stade du « dopage du pauvre ». 2° LES BETA-2-AGONISTES - a) Effets sur la performance : Ces substances sont utilisées en aérosol dans le traitement de l’asthme (broncho-spasme). Administrés de façon régulière et systématique les BETA-2-AGONISTES ont de puissants effets anabolisants et stimulants. C’est la raison pour laquelle ils sont strictement interdits par voie orale, rectale et par injection. Utilisés en inhalation, ils nécessitent une notification préalable du médecin. Aujourd’hui, on voit de plus en plus d’asthmatiques dans les équipes nationales au cours des grandes compétitions légalisant ainsi le dopage au SALBUTAMOL et au CLENBUTEROL. (comment discerner les « vrais » des « faux » asthmatiques ?) Effets secondaires : Les béta –2 agonistes, utilisés de façon quotidienne, peuvent générer hypertension artérielle et troubles du rythme cardiaque. D - LES DIURETIQUES - a) Effets sur la performance : Ces produits, utilisés pour perdre du poids en gymnastique, dans les lancers athlétiques et en haltérophilie, boxe, lutte et culturisme, diminuent la concentration urinaire des autres produits circulants. Ils sont donc aussi des « produits masquants » Effets secondaires : La prise systématique de diurétiques engendre un syndrome de déshydratation, vecteur de fatigue d’apparition rapide, nocive pour la santé et l’équilibre physique et psychique du sportif. Le risque cardiaque, le risque rénal, sont non-négligeables : Il y a 10 ans le champion du monde de culturisme en exercice est décédé par déshydratation aiguë secondaire à un excès de diurétiques pris lors de la compétition (blocage rénal et arrêt cardiaque). E - LES HORMONES PEPTIDIQUES Ces hormones de stimulation des glandes endocrines (ACTH[1]-GH[2]-IGF1[3]-EPO-DHEA) sont interdites car elles peuvent induire insuffisance cardiaque et rénale, diabète, insuffisance sexuelle. Ces produits rares et chers, réservés à des cas cliniques médicaux précis, (nanisme pour l’hormone de croissance, leucémie ou cancer pour l’érythropoïétine), sont très utilisés dans les milieux sportifs de compétition, car, non détectables par les méthodes actuelles de contrôle, ils sont par ailleurs très efficaces sur la performance. L’érythropoïétine et l’hormone de croissance ont aujourd’hui dépassé anabolisants, amphétamines et corticoïdes dans l’escalade infernale du dopage chimique. 1° L’ERYTHROPOIETINE (ou EPO) a) Effets sur la performance : L’ hormone peptidique disponible depuis quelques années sous forme recombinante, stimule l’érythropoïèse, améliore l’oxygénation des tissus, et possède aussi une action de facilitation anabolisante. Effets secondaires : Si les effets recherchés par certains athlètes pour améliorer les performances sont effectifs, les effets secondaires sont d’autant plus dramatiques : augmentation de la viscosité sanguine, risque d’embolie pulmonaire cérébrale, rénale, hépatique, risque de phlébite des membres inférieurs, infarctus du myocarde. Plusieurs dizaines de décès ont été recensés, depuis 10 ans dans des sports d’endurance, course à pied, cyclisme, ski de fond. Aujourd’hui les cyclistes professionnels pédalent la nuit afin de maintenir élevées leurs pulsations cardiaques, prennent des anticoagulants, de l’aspirine par crainte d’embolie pendant le sommeil ou les jours de repos.(le risque étant augmenté par la bradycardie de repos). c) Moyens de contrôle de l’EPO – les nouvelles molécules : Les récentes affaires de dopage lors du Tour de France 1998 et des championnats d’athlétisme, attestent de l’acuité, de l’importance et de la gravité du dopage par l’EPO. L’injection d’EPO par voie sous-cutanée stimule la production des érythroblastes précurseurs des hématies, augmentant ainsi l’oxygénation des tissus musculaires périphériques. Les cures sont d’un mois et l’effet dure 4 mois ; il n’y a plus de trace d’EPO dans l’organisme trois jours après la dernière injection. Jusqu’en septembre 2000, l’EPO n’a pu être mis en évidence dans les urines ou dans le sang, faute de moyens techniques de dépistage ; pourtant une équipe franco-québecoise a mis au point dès 1992 un procédé de détection par étude de l'hématocrite et des marqueurs biologiques. L’UCI, souhaitant lutter contre l’utilisation massive de l’EPO dans les pelotons cyclistes, a institué en 1996 les bilans sanguins : Un taux d’hématocrite supérieur à 50% entraîne l’arrêt du coureur jusqu’à normalisation du test. Mais n’est-ce pas là, un moyen de «légaliser» la prise d’EPO ? En effet grâce aux structures médicales sophistiquées des équipes cyclistes professionnelles, la prise d’EPO peut être adaptée aux possibilités de chaque coureur à concurrence d’un taux d’hématocrite inférieur à 50 % (hémodilution). Enfin en septembre 2000, le CIO et le gouvernement Australien ont agréé une méthode sanguine indirecte et une méthode urinaire direct permettant la détection de la prise d’EPO. Quand à l’UCI, elle a enfin validé le double test de contrôle de l’EPO en avril 2001. Les aveux des coureurs cyclistes professionnels de l’équipe FESTINA confirment ce que nous disons depuis 10 ans : le dopage par l’EPO touche aujourd’hui pratiquement tous les coureurs du peloton. Puisse l’actualité des récents procès inciter les sportifs à arrêter l’utilisation de cette hormone. Mais parle-t-on trop de l’EPO, depuis 1998, que déjà des molécules nouvelles ( hémoglobine réticulée, récombinante, l’EPO retard, le RSR13, les PFC) sont là pour supplanter cette hormone : Ces produits augmentent le pouvoir oxyphorique du sang, sans augmenter l’hématocrite. Par ailleurs, la détection de l’EPO aux contrôles anti-dopage a remis au goût du jour les auto-transfusions ! 2° L’HORMONE DE CROISSANCE - - ses effets : Depuis 20 ans, elle est utilisée dans les sports de vitesse et de force (sprint, lancers, haltérophilie) mais aussi dans les sports de résistance, d’endurance et de tonus (cyclisme, ski, ski de fond, rugby etc..) Le corps humain produit 2 types d’hormone de croissance : la GH sécrétée par l’hypophyse, anabolisante, hyperglycémiante, diabétogène et l’IGF-1, sécrétée par le foie et les tissus mous, anabolisante, hypoglycémiante et lypolitique. Depuis 10 ans l’hormone de croissance de synthèse produite par génie-génétique a inondé le monde du sport de compétition malgré son coût : Elle stimule la captation des acides aminés par les cellules, accélère la synthèse protéique dans le muscle, favorise la lipolyse, accélère la réparation des tissus musculo-tendineux après blessure. Elle est donc largement utilisée avec succès dans les sports de force, de vitesse, de saut, de tonus. - Parmi les effets secondaires indésirables, notons le diabète ainsi que les modifications morphologiques de type acromégalie avec élargissement des extrémités (doigts, mains, pieds crane) épaississement du maxillaire inférieur, durcissement de la peau et des tissus.
  2. j'avoue que les remarques, les idées reçues des gens (boulot, connaissances etc..) m'enervais trés fortement quand j'ai démarré la musculation...aprés 8 ans de pratique...je m'en cogne le coquillou!!! un C...reste un C...et on peut rien y faire.... le plus dure pour moi et encore aujourd'hui, est de faire face aux inquietudes de madame...ah oui, que je vous dise, j'ai pris l'option de la franchise avec ma femme concernant la prise d'AAS car je souhaitais qu'elle le sache, c'est quand même la personne qui vis avec moi...et s'il se passait quelque chose un jour...elle sera pourquoi et quoi faire!!! aprés tu as les suspisions de la famille proche, qui te voit prendre 10kg en deux mois puis en reperdre 5 les trois mois d'aprés mais personne n'ose poser la question franchement, cela me fait marrer!!!
  3. Je suis assez d'accord avec ChrisLeFourling...perso,je ne suis pas inscrits depuis trés lontemps mais suis assez present sur le forum depuis mon inscription et essaie de conseiller avec ma "petite experience" (8ans) ceux qui en ont besoin. Pour ma part, je suis venu ici avant tout pour avoir de l'information mais aussi pour le plaisir d'échanger avec des mecs sympas sur le body!et ici il y a plein des mecs sympas! Cependant, ce que je constate c'est que certains se prennent un peu trop au sérieux...restons sur terre les gars, nous ne sommes que des amateurs avec des experiences plus ou moins grandes...restons humbles!!!! De plus, ne tombons pas dans la ségregation...même les plus anciens en musculation...ont été nouveaux un jour...à entendre certain gailloux, tous les novices en musculation sont des abrutis qui posent des questions bêtes (bon d'accord il y en a quelques uns LOL). Enfin, que vous soyez nouveau ou ancien sur le forum pour moi ne fait aucune différence...la confiance c'est une affaire de personne et "le temps" n'est pas forcement un gage de loyauté mais parfois d'interêts. voili voila, j'ai dit ce que j'avais à dire sur le sujet...pour le reste...je suis prêt a m'investir sur le forum pour ma part sans aucun soucis (bien entendu sur le temps dont je dispose). A+ sur ce forum
  4. Effectivement l'ami...mais nos avis diverges concernant leur efficacité...une intramusculaire restera toujours plus efficace sinon tout les body aurait privilégié cette solution plutot que se piquer le cul!!!
  5. eb bien écoute chacun fait ce qu'il veut...comme il veut...mais when you need to be sure....tu prends du pregnyl!!!
  6. je ne suis pas d'accord avec toi... a partir du moment ou tu prends de la testo et quelque soit le dosage...tu arretes ta production naturel de testo donc je le repete necessité de prendre le HCG!!!! Aprés chacun fait comme il veut mais quand tu vas te retrouver avec des billes a la place de couille....
  7. non je ferais proviron ou arimidex pendant la cure...et novaldex+ pregnyl apres cure le proviron et le novaldex n'ont pas la même fonctionnement...je conseil de bien lire les posts sur le sujets.
  8. pas d'accord avec toi, comme le dit superzigounette, il y a un filtrage du fois et des reins qui s'opere et donc l'effet est moindre qu'en injection intramusculaire... la oui je suis d'accord avec ce que tu dis, c'est qu'effectivement en plus d'effet moindre , les adjuvants et le benzyl font pas bon ménage dans l'estomac...
  9. faut être honnête cela coute un bras et pour que cela soit efficace, il faut prendre 300 à 400mg par jour ...et comme le dis ziva 3000, cela ne sera jamais aussi efficace qu'une intra musculaire... ....ce genre de cure sont trés coûteuses pour des effets dérisoires..
  10. Si avec 5g tu ressents des bienfaits...heureux pour toi mais perso et pour avoir échangé de nombreuses fois sur la créatine avec d'autres BODY...l'avis est unanime: les effets positifs sont minimes (on peut espérer 3à 5% de prise de force supplementaire sur une longue cure car les effets sont a long terme)pour un budget qui reste elevé car tu es obligé de prendre bien plus de 6g par jour pour esperer avoir des effets en terme de récupération et de force pure.
  11. +1 les phases de charges n'ont de justification que le marketing !!! en ce qui concerne d'en prendre toute l'année, j'y suis pas pour car une fois de plus tu vas charger tes reins....pour une efficacité trés relative même pris correctement.
  12. Au vu des nombreux débats sur le forum à ce sujet, je voulais vous faire partager cet article que je trouve trés bien. C’est quoi les protéines ? Une protéine est une chaîne d’acides aminés, des molécules contenant de l’azote, à la différence des glucides et des graisses. Les protéines sont les « briques du corps » et composent notre corps (sang, organes, muscles, hormones) ; elles ne servent donc pas seulement à bâtir du muscle! On compte 22 acides aminés, dont 8 sont dits essentiels car ils ne peuvent pas être synthétisés par le corps et doivent donc être apportés par l'alimentation. Les acides aminés essentiels sont la leucine, lysine, isoleucine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane et la valine. Les autres acides aminés peuvent venir de l'alimentation ou être synthètisés par le corps à partir des autres acides aminés. Les protéines sont donc fabirquées à partir des acides aminés, mais dès qu’il manque un des essentiels, la synthèse dans les cellules s’arrête. Les meilleures sources de protéines sont celles qui contiennent tous les acides aminés dans les bonnes proportions, comme les œufs par exemple. Les protéines végétales, dites incomplètes, sont de moins bonne qualité car seulement un faible pourcentage de ce que l’on consomme peut se transformer en tissu humain. Combien faut-il prendre de proteines ? Pour la musculation, on recommande un prise de protéines de 2g par kilo de poids du corps. Un athlète de 80 kilos de vra donc prendre 160g de protéines par jour, sous forme d'aliments et/ou suppléments. Besoins en proteines (g/kg de poids du corps) Adulte sédentaire 0.8 Sportif 1.5 Musculation 2.0 Bodybuilder Pro >3.0 Cela peut paraître beaucoup 2g/kg de poids du corps de protéines, mais rappelez-vous que le pratiquant de musculation détruit ses muscles avec les entraînements épuisants, qu’il faut compenser ces pertes et en plus en gagner. Aussi, un taux élevé de proteines permet de diminuer la destruction des tissus musculaires en plus d'augmenter la synthèse protéique. Prendre plus de protéines ne sera pas utile et ne vous fera pas prendre plus de muscle. Des taux supérieurs sont indiqués pour les bodybuilders professionnels, car ils utilisent des substances dopantes qui permettent, au détriment de la santé, d'augmenter l'assimilation des proteines. Pour aller plus loin, nous vous recommandons la lecture de la question de la FAQ : Combien faut-il de proteines pour la musculation ? En pratique, il faudra donc que votre corps reçoive une certaine quantité de protéines à des intervalles réguliers de sorte à ne pas manquer de proteines, et que votre bilan en azote soit positif. On entend souvent le chiffre de 30 grammes de proteines toutes les 3 heures mais il est aussi possible d'avoir un apport en «dent de scie», en veillant à prendre les collations les plus proteinées après l'entrainement et le matin au réveil. Un bon apport en protéines est nécessaire pour la musculation car elles ont un pouvoir anti-catabolisant, c'est à dire contre la destruction du muscle, et permettent donc de préserver notre masse musculaire. Pourquoi le corps détruirait ses réserves de tissu musculaire alors qu’il reçoit des acides aminés déjà plus que nécessaire ? Cela préservera l'athlète du catabolisme musculaire et le placera dans l'anabolisme. Il faudra bien évidemment apporter au corps suffisamment d’énergie et de calories grâce aux glucides et aux lipides. On ne voudrait quand même pas que les protéines soient transformées en sucres pour la libération d’énergie ! Mangez des glucides pour épargner les protéines : un dicton plein de bon sens ! Combien faut-il faire de repas par jour ? Il est plus logique de faire plusieurs petits repas tout au long de la journée que 2 ou 3 gros repas copieux. Les études montrent que diviser ses repas régule l'appétit, stimule le métabolisme et permet d'avoir une glycémie plus stable. Mangez donc toutes les 3 heures environ 30 grammes de protéines selon votre poids et la qualité de vos sources protéiques, de sorte à maintenir un bilan azoté positif. Les moments clés pour la prise de protéines, sont le matin au levé, après l'effort et avant de se coucher. Que faut-il manger avant l'entraînement ? Il faut bien sur manger avant l'entrainement de musculation. Il est conseillé de s'alimenter 1 heure ou plus avant d’attaquer sa séance. Ce temps augmente en fonction de l’importance du repas. Il faut éviter les sucres simples avant l'entraînement et privilégier les sucres dit «lents». Ce sont en fait les glucides à index glycémique bas qui ont comme caractéristique de ne pas entrainer une réponse insulinique trop forte, ce qui pourrait mener à un coup de barre pendant l'entrainement. Pour les protéines avant la séance, choisissez une source peu grasse et bien digeste. Voici quelques exemples de collations: un sandwich de thon ou poulet avec du pain complet, des pâtes ou du riz complet avec un verre de protéines en poudres, de la dinde et des pommes de terres au four, etc. Évitez d'arriver à la salle le ventre vide car le risque de fatigue ou d'hypoglycémie sera augmenté. A l'inverse, avoir trop mangé juste avant la séance est un mauvais choix car la digestion mobilise du sang et la musculation aussi ! Vous risquez d'avoir la nausée et d efaire une mauvaise séance. Bien s'alimenter après la musculation ! Il y a une théorie qui dit que juste après un dur entraînement de musculation, on est capable d’absorber son poids en grammes de protéines. Par exemple, un athlète de 75kg pourra assimiler 75 grammes de protéines après l'effort. Cette théorie est un peu exagérée, car une quantité de 75 grammes de protéines correspond à 300 grammes de viande de bœuf, mais il est judicieux de mettre le paquet sur les protéines après l’entraînement de musculation. En pratique, vous pouvez par exemple avaler juste après l’entraînement 40 grammes de whey protéine avec une source de sucres rapides, comme deux ou trois cuillères de miel et une banane. Une ou deux heures après, vous pourrez manger votre repas solide habituel. Explications ! Juste après l’entraînement le corps essaie de se rétablir pour être prêt à recevoir une nouvelle dose de fonte. Le corps veut récupérer car les niveaux d’énergie et d’hormones sont bas, les muscles contiennent beaucoup de déchets, les fibres musculaires sont traumatisées par micro déchirures et des acides aminés ont été détruits. De quoi a-t-on besoin et quoi prendre ? Juste après l’entraînement le corps veut reconstituer ses réserves de glycogène et ses fibres musculaires. Il faut donc ingérer de la protéine et des sucres le plus tôt possible ou au maximum dans l’heure qui suit la séance. Si vous optez pour un repas solide, préférez des aliments peu gras que vous digérez bien pour que le repas soit vite absorbé. Si vous optez pour une collation à base de poudres, avalez de la whey proteine et de la maltodextrine ou du dextrose pour les glucides. Si vous avez trop la nausée, ni faim, ni soif après l’entraînement, attendez que ça passe et mangez dés que possible, mais ne trainez pas trop. Et ça fait quoi tout ça ? La source glucidique va stimuler la libération d’insuline. Grâce à cette hormone, plus de nutriments seront apportés aux cellules musculaires. Il y aura une amélioration de la rapidité de synthèse du glycogène et donc la reconstitution des réserves. De plus, elle diminuera la destruction des protéines intramusculaires (catabolisme). La source protidique quant à elle va diminuer la destruction des tissus musculaires et augmenter la synthèse protéique. Faut-il manger avant de se coucher ? Oui, il faut encore s'alimenter avant d'aller se coucher. Je sais bien que ce n’est pas le meilleur moment, mais c'est important car votre corps va rester plusieurs heures sans être alimenté. Il faut privilégier les protéines lentes comme la caséine qu'on trouve principalement dans le lait. Elles sont digérées lentement et permettent d’alimenter le corps pendant la nuit. On dit qu'elles sont «anti-catabolisantes». Par exemple, vous pouvez manger du fromage blanc et deux bananes ou des flocons d'avoine avant d'aller au lit. Il faudra compléter cette collation protéinée avec des glucides dont l' index glycémique est bas. De nombreuses études montrent qu'un apport important de glucides à index glycémique haut favorise l'accumulation de tissus adipeux. Il faut donc absolument éviter les sucres rapides le soir. Les culturistes chevronnés se relèvent même la nuit pour encore s’alimenter. Ces bodybuilders n'hésitent pas à interrompre leur sommeil pour avaler une collation de plus dans le but de stopper le catabolisme musculaire qu'engendre le long jeun de la nuit. Faut-il boire plus quand on prend des proteines ? Il faut boire régulièrement pendant la séance de musculation, au rythme d'une gorgée toutes les dix minutes, même si on n'en ressent pas le besoin. Quand on ressent la soif, il est trop tard pour boire car le corps manque déjà d'eau. Plus généralement, il faut bien s'hydrater tout au long de la journée et penser à boire bien avant la séance sportive dans le but de placer son corps dans des conditions optimales. Sachez que les muscles sont constitués de 75% d’eau et qu'un petit déficit affectera grandement la performance sportive. Pour les quantités, partez sur 2 litres d’eau par jour mais c'est un minimum. Si vous mangez beaucoup de protéines, pensez à augmenter vos apports en eau pour assister les reins dans leur rôle de filtration et d'élimination des déchets Sources: http://www.musculaction.com/bases_proteines.htm
  13. oui et bien vous avez bien raison de ne pas négliger les étirements car moi j'avoue ne pas être un bon éleve en la matiere et cela me vaut d'aller voir mon osteo tous les deux mois car ton corps travail enormement et sans l'étirer, tu peux bloquer des zones articulaires....ou te coincer/écraser un nerf.... moralité vaudrait mieux prendre 20 minutes a chaque fin de seance...
  14. je suis assez d'accord avec cet article...le probléme avec la créatine, c'est que si tu veux en sentir les effets, il faut en prendre 10g par jour...et le probléme que tu rencontres c'est la retention d'eau....
  15. Oui mais franchement autant acheter la version oral...car les effets novifs pour le foie sont les mêmes!!!
  16. perso je prendrais du pregnyl 250UI 2 fois par semaine sur les deux semaines qui suivent l'arrêt de ta cure...
  17. oui sur une courte période pendant ta cure...et encore lorsqu' il a une perspective de compétition...mais quand tu es amateurs...je réitere pour moi c'est de l'argent foutu en l'air et tu te bousilles la santé pour rien mais c'est juste mon humble avis.
  18. +1 c'est ce que je me dis aussi.... Tu n'auras jamais autant d'efficacité que par injection intramusculaire....car lorsque tu avales un produit il est filtré par le foie et les reins donc dégradé... Deplus,si tu as peur des injection, je ne vois pas l'interet de boire un aas par injection...autant acheter des aas en cachets...
  19. tu dis un truc trés juste...moi j'arrive à 35 ans et tout comme toi, je vise plus le physique de compétititon...mais je m'entraine pour avoir le corp qu'il me plait. perso, je prefere massif que sec mais tout cela est une question de goût de chacun.
  20. tu as complétement raison jackman77 ! mais reconnais qui y a un non sens dans la course à l'hypertrophie musculaire tu te bourre de protéine plus x compléments ,stéroïdes en tous genre ! et inévitablement tes enzymes hépatique et tes reins vont être en état de stress! forcément tes analyses de sang vont faire le yo yo en réalité tous les culturistes digne de ce nom! savent très bien qu-ils sont souvent dans le rouge dans leurs analyses il faut pas faire la politique de l'autruche.... en gros si tu veux que tes analyses de sang soient clin tu t’entraine naturel ... C'est sur... mais encore une fois si tu ne contrôle rien...les risques sont bien plus grands et comme gds le dit si bien, notre corps est ce qu'il y a de plus important donc quand on se dit un grand sportif , il est necessaire de faire un suivi. Par exemple, perso, je vais chez l'osteo , tous les deux mois , cela me permet d'éviter beaucoup de blessures au vu des charges lourdes que l'on fait subir à notre corps.
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