Commandes (Pharmax, Clomid...)

[Freneziik]

Alors voila la photo de ma premiere commande qui comprend 2x100tabs Dianabol Pharmax, 2x100tabs Winstrol Pharmax, 5x12tabs Clomid, et 10tabs Anapolon (que j'ai eu offert).

Tout ça en oraux, pour une cure (les injects j'y songe mais pas maintenant...).

http://img211.imageshack.us/img211/9585 ... 334191.jpg

Puis une photo de relances que j'ai acheté à un particulier très sérieux à un prix défiant toute concurence.

Il y a 8x10tabs Fertomid (generic Clomid) puis 4x10tabs Tamoxifen.

http://img690.imageshack.us/img690/2884 ... 212822.jpg

A premiere vue cela semble du vrai? Aucun detail qui prouverait le contraire? Merci.

J'attends une autre grosse commande d'oraux, je posterai.

[jackman77]

sans faire le vieux c...tu mes parais bien jeune pour commencer une cure de AAS.

Quelles sont tes motivations et objectifs?

[kaneda03]

19 oué c'est chaud , fait gaffe quand même

[roudoudou]

pour ma part c'est trop trop jeune, tu as encore de gdes possibilités de gains sans AAS

[kaneda03]

pour ma part c'est trop trop jeune, tu as encore de gdes possibilités de gains sans AAS

+100 mais bon quand on est pressait et jeune ! quess tu peut peut dire ? sa ne s"explique pas et sa peut se comprendre ..

[Tibor]

Sans parler de ton âge je t'invite à lire ce sujet :

viewtopic.php?f=22&t=2006&hilit=Deux+oraux

[roudoudou]

pour ma part c'est trop trop jeune, tu as encore de gdes possibilités de gains sans AAS

+100 mais bon quand on est pressait et jeune ! quess tu peut peut dire ? sa ne s"explique pas et sa peut se comprendre ..

je dirai juste que l'on a qu'une vie, et quoi que l'on en dise les AAS sont des produits dangereux si tres aml utilisé

a 19/20 ans on croit que l'in est immortel que tin peut arriver .... puis on paye les pots casses a 40 piges...

je dis ca car j'ai fait ma premiere cure a 17 ans, et cela m'a filé des pbs: hypothyroidie due aux aas, bipolarité kindling due aux aas...

je suis a plus de 7 medocs par jour juste pour etre "normal", ceci car j'ai commencé trop tot

si j'ouvre ma gueule c'est que je sais les effets secondaires...

pitin si je pouvais revenir en arriere je commencerai rien avant 30ans

et pourtant j'etais suivi medicalement car en equipe de france de powerlifting

[roudoudou]

comment vois tu que tu as une modif de l'humeur profonde?

y a rien qui te l'indique... aucun test ne te permet de le savoir, c'est au bout de 2 ans apres la cure que l'on m'a dit que j'avais ca, et la premiere question fut: tu as deja touché aux AAS?

pour l'hypothyroidie, pareil c'est venu plus tard, d'un coup, et meme question...

lors de la cure, les tests sanguins etc etc permettent de savoir si tout va bien en un temps T, mais tu as une foule d'autres effets qui viennent quelques annees plus tard, et plus tu es jeune plus c'est grave...

heureusement j'ai evité l'hypotesto. qui arrive tres souvent qd tu commences a prendre les AAS qd tu es tres tres jeune (pour moi avant 20 ans c'est tres tres jeune...)

Maintenant cela m'empeche de faire une nvelle cure... Mais bon j'ai 37 ans...

[kaneda03]

c'est un documentaire.. lui c'est une expérience vécu donc le gars il c'est de quoi il parle je pense ..

[jackman77]

Et pour toi c'est lié aux AAS ?

Dans le docu "Bigger, Faster" ils disent bien qu'à ajd, JAMAIS les AAS n'ont été prouvés et tenus responsables pour n'importe quelle maladie que ce soit.

arrêtons de dire n'importe quoi, les meffaits des aas sont bien connus...Ci-joint un document relatant de tout cela:

TECHNIQUES ET PRODUITS DOPANTS

Le CIO a proposé une classification en 3 rubriques :

· I) La classe des substances interdites (et substances apparentées).

· 2) Les méthodes interdites.

· 3)Les substances soumises à restriction.

I - LES CLASSES DE SUBSTANCES INTERDITES -

- A - LES STIMULANTS - De la caféine aux amphétamines….., en passant par la cocaïne !

1) Effets sur la performance :

Ces produits accroissent la concentration, l’attention, réduisent surtout la sensation de fatigue, augmentent l’agressivité, reculent le seuil de la douleur ; ce sont souvent des «coupe-faim».

Les plus utilisés restent les amphétamines : ces substances n’ont aucune justification thérapeutique dans le monde du sport et sont donc interdites.

2) Les effets nocifs :

localisés sur les systèmes cardio-vasculaire et neurologique, ils provoquent arythmie, troubles neuro-psychiatriques (agressivité, nervosité, troubles caractériels, insomnie) ; ces produits reculent le seuil physiologique de la fatigue, entraînant asthénie puis épuisement ; les états dépressifs, secondaires à l’utilisation des amphétamines sont souvent notés.

L’accoutumance nécessite l’augmentation des doses, aggravant ainsi les facteurs de risque.

L’Ephédrine, utilisée dans certaines préparations ORL[7], pour traiter rhinites, bronchites et grippe, est interdite. Le médecin doit prescrire dans les affections ORL des produits ne contenant pas de principes actifs proscrits.

La Caféine, recherchée dans certains sports de tonus donne un contrôle positif pour un taux de 12 micro-grammes/millilitre d’urine (6 tasses de café serré).

La Cocaïne fait partie de la famille des stimulants ; c’est une drogue dure interdite par la loi civile et la loi sur le sport.

Les stimulants sont le « doping du pauvre », mais restent toujours très prisés dans les milieux sportifs amateurs, ainsi que dans certains sports collectifs bien que leur détection soit aisée dans les urines.

Quelques cas de décès par abus d’utilisation d’amphétamines ont été répertoriés depuis 1965 ; : la mort de Tom SIMPSON fût à l’origine de la loi française de 1965 aujourd’hui caduque, mais les amphétamines furent les premiers produits identifiés dans les urines et interdits par le CIO, puis par l’UCI.

- B - LES NARCOTIQUES - De la codéine à la morphine…… en passant par le cannabis !

1) Effets sur la performance :

Utilisés comme analgésiques majeurs, ils sont interdits à cause de leurs effets secondaires : risque de dépression respiratoire, de dépendance psychique.

Sont surtout recherchés l’héroïne, la morphine, la méthadone et les substances apparentées.

Depuis le 17 juin 1998 (journal officiel de la République Française) un amendement à l’annexe de la convention contre le dopage a été voté autorisant, la codéine, le dextro-propoxyphène, l’éthyl morphine. : grâce à ce décret récent, fièvre, rhume et toux peuvent être traités.

Dans cette classe de produit on retrouve le cannabis : cette drogue entraîne dans un premier temps une excitation euphorique communicative puis une phase d’exaltation sensorielle appelée ivresse cannabique ; elle aboutit rapidement à une désorientation temporo-spatiale, enfin à un phénomène passif d’extase avec phase de dépression et sensation d’endormissement.

L’utilisation répétée et habituelle de cannabis engendre une apathie avec diminution des réflexes, désintérêt, ralentissement intellectuel, appelé cannabisme chronique.

2) Les méfaits du cannabis :

Sur l’entraînement sont connus : diminution de l’attention, de la concentration, de la coordination et de la motricité, perturbant les prises de décision et les choix tactiques. Enfin, effondrement de la condition physique et mentale.

Les effets durent 6 à 24 heures, après une prise unique, avec « effet cumulatif » et « effet rebond » si la prise est quotidienne et répétée. L’élimination urinaire du principe actif du cannabis (le THC) est lente : 4 à 5 jours pour une prise unique, plusieurs semaines voire plusieurs mois pour des prises répétées quotidiennes.

En France le cannabis est interdit par la loi civile. Depuis 1991, il est inscrit dans la catégorie des narcotiques dans la loi sur le sport. Par contre, le CIO a laissé le cannabis dans la classe des substances soumises à restriction, les Fédérations Internationales ou autorités locales décidant ou non de sa recherche dans les urines.

- C - LES AGENTS ANABOLISANTS -

1° LES STEROIDES ANABOLISANTS ou ANDROGENES

Produits « dopant-rois » des années 1970, ils sont aujourd’hui supplantés par les hormones de croissance.

a) Le but des androgènes est d’accroître la masse musculaire, d’augmenter la performance sportive en favorisant force et puissance musculaire. Si l’action des anabolisants de synthèse est strictement anabolisante, l’action de la testostérone est double, anabolisante et androgénique.

Les effets secondaires dépendent donc du produit et des doses utilisés , de la durée de la cure : l’utilisation prolongée et répétée d’androgène sur le plan général provoque une prise de poids exagérée, des lésions musculo-tendineuses, des troubles cardio-vasculaires et biologiques, une agressivité, une modification de la libido.

c) Des effets secondaires spécifiques sont décrits chez l’enfant, l’homme et la femme :

· Chez l’enfant, la prise d’androgène déclenche une puberté précoce avec flambée puis arrêt rapide et définitif de la croissance.

· Chez l’homme, la prise répétée de testostérone est hépatotoxique, induit des lésions prostatiques, déclenche une gynécomastie, un hypogonadisme avec oligospermie.

Certains cancers du foie et de la prostate habituellement retrouvés dans la 2ème partie de la vie ont été répertoriés chez des sportifs jeunes. Ces effets secondaires ont été retrouvés chez les haltérophiles, lanceurs, sprinters, sauteurs, body-buldeurs, après de multiples cures d’androgènes. (l’utilisation prolongée de la testostérone entraîne une diminution de la libido.

· Chez la femme, l’utilisation des androgènes entraîne une virilisation : pilosité, voix rauque, ensuite modifications des organes sexuels externes avec atrophie mammaire, hypertrophie clitoridienne, aspect androïde sont les effets les plus souvent retrouvés, quelquefois définitifs.

Les androgènes éliminés dans les urines donnent un contrôle positif pendant plusieurs mois.

Les contrôles inopinés, de plus en plus fréquents doivent dissuader les athlètes d’utiliser les anabolisants hormonaux ; mais la prise de testostérone peut être marquée par la prise d’épitestostérone (produit maintenant le rapport testostérone sur épitestostérone inférieur à 6).

Devant l’aspect lucratif généré par l’utilisation des anabolisants, des réseaux de production et de distribution ont été organisés inondant l’Amérique, l’Europe de l’Ouest et de l’Est, l’Asie ; «la filière Mexicaine» (réseau JENKINS) a été démantelée en 1988, mais une «French Connection» sévit toujours : salles de musculation, d’haltérophilie, de culturisme, de gymnastique, de sports de combats et bien des sports collectifs ou individuels bénéficient largement de ces réseaux.

Les androgènes sont toujours utilisés dans les milieux culturistes où les contrôles ne sont pas effectués. Dans les autres sports de force, de vitesse et de tonus, seuls les inconscients ou les imbéciles tombent dans les « mailles du filet ». Depuis l’avènement de l’hormone de croissance synthétique, l’ère des androgènes paraît révolue., réduite au stade du « dopage du pauvre ».

2° LES BETA-2-AGONISTES -

a) Effets sur la performance :

Ces substances sont utilisées en aérosol dans le traitement de l’asthme (broncho-spasme). Administrés de façon régulière et systématique les BETA-2-AGONISTES ont de puissants effets anabolisants et stimulants. C’est la raison pour laquelle ils sont strictement interdits par voie orale, rectale et par injection.

Utilisés en inhalation, ils nécessitent une notification préalable du médecin.

Aujourd’hui, on voit de plus en plus d’asthmatiques dans les équipes nationales au cours des grandes compétitions légalisant ainsi le dopage au SALBUTAMOL et au CLENBUTEROL. (comment discerner les « vrais » des « faux » asthmatiques ?)

Effets secondaires :

Les béta –2 agonistes, utilisés de façon quotidienne, peuvent générer hypertension artérielle et troubles du rythme cardiaque.

D - LES DIURETIQUES -

a) Effets sur la performance :

Ces produits, utilisés pour perdre du poids en gymnastique, dans les lancers athlétiques et en haltérophilie, boxe, lutte et culturisme, diminuent la concentration urinaire des autres produits circulants. Ils sont donc aussi des « produits masquants »

Effets secondaires :

La prise systématique de diurétiques engendre un syndrome de déshydratation, vecteur de fatigue d’apparition rapide, nocive pour la santé et l’équilibre physique et psychique du sportif.

Le risque cardiaque, le risque rénal, sont non-négligeables : Il y a 10 ans le champion du monde de culturisme en exercice est décédé par déshydratation aiguë secondaire à un excès de diurétiques pris lors de la compétition (blocage rénal et arrêt cardiaque).

E - LES HORMONES PEPTIDIQUES

Ces hormones de stimulation des glandes endocrines (ACTH[1]-GH[2]-IGF1[3]-EPO-DHEA) sont interdites car elles peuvent induire insuffisance cardiaque et rénale, diabète, insuffisance sexuelle. Ces produits rares et chers, réservés à des cas cliniques médicaux précis, (nanisme pour l’hormone de croissance, leucémie ou cancer pour l’érythropoïétine), sont très utilisés dans les milieux sportifs de compétition, car, non détectables par les méthodes actuelles de contrôle, ils sont par ailleurs très efficaces sur la performance.

L’érythropoïétine et l’hormone de croissance ont aujourd’hui dépassé anabolisants, amphétamines et corticoïdes dans l’escalade infernale du dopage chimique.

1° L’ERYTHROPOIETINE (ou EPO)

a) Effets sur la performance :

L’ hormone peptidique disponible depuis quelques années sous forme recombinante, stimule l’érythropoïèse, améliore l’oxygénation des tissus, et possède aussi une action de facilitation anabolisante.

Effets secondaires :

Si les effets recherchés par certains athlètes pour améliorer les performances sont effectifs, les effets secondaires sont d’autant plus dramatiques : augmentation de la viscosité sanguine, risque d’embolie pulmonaire cérébrale, rénale, hépatique, risque de phlébite des membres inférieurs, infarctus du myocarde.

Plusieurs dizaines de décès ont été recensés, depuis 10 ans dans des sports d’endurance, course à pied, cyclisme, ski de fond.

Aujourd’hui les cyclistes professionnels pédalent la nuit afin de maintenir élevées leurs pulsations cardiaques, prennent des anticoagulants, de l’aspirine par crainte d’embolie pendant le sommeil ou les jours de repos.(le risque étant augmenté par la bradycardie de repos).

c) Moyens de contrôle de l’EPO – les nouvelles molécules :

Les récentes affaires de dopage lors du Tour de France 1998 et des championnats d’athlétisme, attestent de l’acuité, de l’importance et de la gravité du dopage par l’EPO. L’injection d’EPO par voie sous-cutanée stimule la production des érythroblastes précurseurs des hématies, augmentant ainsi l’oxygénation des tissus musculaires périphériques. Les cures sont d’un mois et l’effet dure 4 mois ; il n’y a plus de trace d’EPO dans l’organisme trois jours après la dernière injection.

Jusqu’en septembre 2000, l’EPO n’a pu être mis en évidence dans les urines ou dans le sang, faute de moyens techniques de dépistage ; pourtant une équipe franco-québecoise a mis au point dès 1992 un procédé de détection par étude de l'hématocrite et des marqueurs biologiques.

L’UCI, souhaitant lutter contre l’utilisation massive de l’EPO dans les pelotons cyclistes, a institué en 1996 les bilans sanguins : Un taux d’hématocrite supérieur à 50% entraîne l’arrêt du coureur jusqu’à normalisation du test.

Mais n’est-ce pas là, un moyen de «légaliser» la prise d’EPO ? En effet grâce aux structures médicales sophistiquées des équipes cyclistes professionnelles, la prise d’EPO peut être adaptée aux possibilités de chaque coureur à concurrence d’un taux d’hématocrite inférieur à 50 % (hémodilution).

Enfin en septembre 2000, le CIO et le gouvernement Australien ont agréé une méthode sanguine indirecte et une méthode urinaire direct permettant la détection de la prise d’EPO.

Quand à l’UCI, elle a enfin validé le double test de contrôle de l’EPO en avril 2001.

Les aveux des coureurs cyclistes professionnels de l’équipe FESTINA confirment ce que nous disons depuis 10 ans : le dopage par l’EPO touche aujourd’hui pratiquement tous les coureurs du peloton. Puisse l’actualité des récents procès inciter les sportifs à arrêter l’utilisation de cette hormone.

Mais parle-t-on trop de l’EPO, depuis 1998, que déjà des molécules nouvelles ( hémoglobine réticulée, récombinante, l’EPO retard, le RSR13, les PFC) sont là pour supplanter cette hormone : Ces produits augmentent le pouvoir oxyphorique du sang, sans augmenter l’hématocrite. Par ailleurs, la détection de l’EPO aux contrôles anti-dopage a remis au goût du jour les auto-transfusions !

2° L’HORMONE DE CROISSANCE -

- ses effets :

Depuis 20 ans, elle est utilisée dans les sports de vitesse et de force (sprint, lancers, haltérophilie) mais aussi dans les sports de résistance, d’endurance et de tonus (cyclisme, ski, ski de fond, rugby etc..)

Le corps humain produit 2 types d’hormone de croissance : la GH sécrétée par l’hypophyse, anabolisante, hyperglycémiante, diabétogène et l’IGF-1, sécrétée par le foie et les tissus mous, anabolisante, hypoglycémiante et lypolitique. Depuis 10 ans l’hormone de croissance de synthèse produite par génie-génétique a inondé le monde du sport de compétition malgré son coût : Elle stimule la captation des acides aminés par les cellules, accélère la synthèse protéique dans le muscle, favorise la lipolyse, accélère la réparation des tissus musculo-tendineux après blessure. Elle est donc largement utilisée avec succès dans les sports de force, de vitesse, de saut, de tonus.

- Parmi les effets secondaires indésirables, notons le diabète ainsi que les modifications morphologiques de type acromégalie avec élargissement des extrémités (doigts, mains, pieds crane) épaississement du maxillaire inférieur, durcissement de la peau et des tissus.

[jackman77]

Cet article a été écrit par le Docteur Christian BENEZIS de MONTPELLIER – FRANCE ( Médecin du Sport, Médecin Rééducateur ) .

Prenez vraiment le temps de tout lire .......

source : proteindiscount.com

[roudoudou]

dire que les AAS c'est le dopage du pauvre >>> LOL

cela doit etre encore grandement utilisé, tout le monde n'a pas les moyens et l'envie d'utiliser de l'hormone de croissance

[jackman77]

c'est pas si faux que cela...quand je vois autour de moi...ce qui arrete les mecs avec les hormones de croissance, c'est le prix (et je m'inclus dedans).

[roudoudou]

moi c'est pas trop le prix c'est tout ce qu'il y a autour :?

[jackman77]

tu sais au final 4ui d'hormone de croissance par jour, ou des cures de multiples AAS...je ne sais pas ce qui est le pire!!!

et certain font les deux alors...

[jackman77]

c'est que tu ne lis pas les bons articles

[alfred]

n importe quoi que tu prenne tu as le bon et mauvais coté des produits c est comme changer le boitier electronique de ton vehicule pour qu il ailles mieux et tu prends le risque de cassé le moteur et les produits c est idem

[kaneda03]

mdrr j'aime bien la comparaison ^^

[X92]

Je sais pas les gars, en fait on entend tout et son contraire sur les AAS... Au final tu sais plus rien...

L'hormone avec ses effets secondaires comme la croissance des organes et osseux franchement ça fait pas envie. Un mec à ma salle a fini avec un pancréas de 37 cm quoi. :?

OK pour le pancréas de ton gars mais je suppose qu'il n'y a pas que le pancréas qui est devenu énorme!

Donc si c'est devenu un espèce d'Hulk c'est qu'il a dû s'en injecter de belles doses depuis pas mal de temps! C'est pas après des années de cure et après être devenu énorme, hors norme avec toutes les parties de corps devenues hypertrofiées que tu te poses la question : "tiens est-ce que quelquechose n'est pas un peu plus gros que la normal ? "

A-t-il fait des analyses, des tests sanguins? Voyait-il un doc régulièrement, ...

Moi un gars qui utilise les AAS ou la HGH et qui ne se fait pas suivre c'est un peu du suicide!

Idem s'il s'injecte des seringues de 10ml de son cocktail maison toutes les 2 heures...

C'est pas quand le mal est fait qu'il faut se poser des questions!

A chacun d'être intelligent et de mesurer les conséquences avant !

Malheureusement il y en aura toujours des plus intélligents que les autres et qui n'en feront qu'à leur tête!

Alors si ça passe, tant mieux! Si ça passe pas... faut pas venir se plaindre après!!!

J'ai l'exemple d'un gars avec lequel je dialais sur le net!

Il avait acheter 200$ de produits aux USA, il ne se souvenait même pas du nom des produits.

Il n'avait aucun idée des doses, ni des fréquences des IM!

D'ailleurs, il n'avait même percuté sur le fait qu'il fallait des seringues!!!!!

Alors ne parlons pas de la relance...

Enfin, ...

[jackman77]

Je suis d'accord avec toi X,

En fait, je pars du principe que si quelqu'un décide de partir en cure il connait un minimum de choses, après c'est vrai que pour beaucoup ce n'est pas le cas. Ma foi, c'est leurs problèmes.

Ce qui m'interpelle c'est d'entendre/lire/voir des contradictions, ça me dérange, je ne sais plus à quoi me référencer...

ce qui est sur maestro c'est que tous ces produits (les ASS et Hormones de croissances) ne sont pas anodins et peuvent avoir des effets secondaires trés grave allant même jusqu'a la mort...cela a été prouvé scientifiquement par des medecins, ce que nous ne sommes pas d'ailleurs.

D'ailleurs, beaucoup de sportifs en on malheureusement faient les frais.

comme le dis X92, il faut que les mecs soient responsables, un point c'est tout!!! quand tu prends des AAS(ce qui semble être le cas de beaucoup ici), tu te protéges le mieux possible, tu ne prends pas des surdose completement délirante, tu te fais suivre par un medecin et tu fais des analyse régulierement.

C'est la base!!! je suis surpris que nous soyons obligé de le dire!!!

[jackman77]

bhein ce qui te démontre que les risques ne sont pas neutres et que même en etant suivi, si tu fais des exces pendant lontemps, tu le paies!!!

d'autant plus que chacun peu réagir plus ou moins différemment en fonction de ces predispositions....

[evomuscle]

Cure trop dangereuse !!!! Au revoir le foie même avec les protections sa fait trop à la "foie" Après libre à toi de jouer avec ta santé .

[boyka]

C'est vrai,

Mais c'est valable pour tout, même de la flotte. Si j'en bois 10 litres, je claque. :mrgreen:

Il y a des dosages à respecter, etc, ça c'est clair, il faut réduire les risques au minimum.

Mais ce qui m'induit en erreur c'est d'entendre des témoignages comme celui de GDS qui dit que même suivi et avec toutes les précautions nécessaires, il a eu des effets secondaires irréversibles.

:?

Je tiens à rebondir un peu là dessus... Car j'ai un ami, un ancien culturiste de haut niveau qui a eu des soucis de santé vers la quarantaine...

Les reins et le coeur... Il a 2 collègues à lui qui eux ont des soucis de coeur...

Pour être plus clair ces personnes là n'ont aucune envie de témoigner davantage sur leur sort (en public)... Pourquoi me direz vous?!... Simplement parce qu'ils ont du mal aujourd'hui à accepter la réalité...

Et donc, ils font leur méa culpa tout seuls entre anciens athlètes...

Tout devient un engrenage...

Avant, jeune je ne voyais pas le soucis de forcer délibérement... Faute de ne savoir faire un créneau correctement, je garrais ma voiture à la main, j'étais fière de cela, au moin la muscu, me démontrait encore que dans la vie cela me servait à quelquechose (sans compter les déménagement où je portais toujours le plus lourd tout seul quand il y avait possibilité)... Jusqu'au jour où : "craccccc"... Lumbago... Ensuite, 1.5 ans après une sciatique et quelques mois après une hernie discale qui m'a fait prendre conscience que si je continuais à squatter (donc faire subir ma colonne des pressions importantes), j'allais finir en petite chaise...

Car m'arrêter au squat à 100 kg m'aurait été impossible...

Donc depuis cette hernie même si je me déplace correctement (cela ne se voit pas), je n'ai jamais voulu prendre le risque de remettre une barre sur mon dos...

J'ai pris 10 ans dans la "geule" le jour où cela a fait "craccc"... Pendant un an je portais sytèmatiquement en voiture pour les trajet de plus d'une demie heure une ceinture pour mon dos...

C'est la première fois que je témoigne de cela en public même si en effet, c est légérement à l'écart du sujet, quoiqu'il concerne tout de même la santé...

C'est juste pour dire que l'engrenage se prend très très vite et il faut arrêter à temps où y aller avec précaution, un peu comme si l'on marchait sur des oeufs en ne sachant vraiment savoir si l'on arrivera jusqu'au bout sans en casser un...

Les AAS amènent le confort, la "sécurité mentale" et donc en effet on est plus sur de soi et l'on ne sait jauger les limites car tant que tout va bien l'on continue...

Donc plus tard on commence mieux c'est...

PS : je vous rassure, je bosses les cuisses mais seulement à la presse...

[Freneziik]

Bon je viens de faire 10 jours à 50mg de Anapolon (cachet vert) et pas 1g de prit malgré une superbe diet stricte et un bon programme muscu. Je vais continuer a 50 jours à 40mg de Diana Pharmax et on verra bien...

Si aucun résultat je posterai le nom de la source dans Arnaque.

Vraiment pas 1g avec Anapolon de la merde.

[Lobber]

A la question : Si on vous placait seul sur une ile déserte, prendriez-vous des AAS ?

Si NON, pourquoi ? Ah ah ! je rigole d'avance des réponses où j'en ai été la victime. Plaire, se sentir supérieur, combler un manque, cacher un complexe... etc. sont autant de raisons à mettre avec la naïveté de se laisser entrainer par des potes.

Les AAS sont comme les médicaments, il y a des effets secondaires et à fortes doses dans le temps ça dérègle d'autres choses dans le système.. c'es le principe de l'halopathie, même si les stéroides sont différents ils sont là pour combler une degénerescence, certains pour soigner les asthmatiques... etc. ils sont donc un remède à des maux et ceci, pas à vie ni sur des périodes longues et qui plus est sur les plus belle années entre 20 et 40 ans où on est en forme.

Il faut évite la dépendance et clairement définir un but, si ce de la compétition, un vrai médecin du sport est primordial avec des analyses sanguines à faire régulièrement pour prévenir. Le foie est aussi une cible envers laquelle il ne faut pas négliger la protection (surtout pour les prises d'oraux) je dirai qu'à ce stade les injections sont moins nocives et plus productives à petites doses.

Il faut plutôt combattre un complexe de maigreur que de le cacher par une prise de produit, car il se crée une dépendance vicieuse aux produits et un trouble dépressif dès qu'on enregistre une perte de masse. J'ai vu cela chez certains... et jusqu'à prendre des doses de chevaux pour prendre un petit kilo de muscle. Dans ce sport il faut savoir apprécier, se contenter, se prendre au jeu du moindre progrès et ne voir dans les produits qu'un booster pour parfaire sa ligne et non pour la construire. On construit avant et on peaufine après, pas l'inverse.

Bien que rien n'empêchera personne de prendre des AAS, il faudrait vraiment trouver le filon sur et sans problèmes de ces satanés fakes. Comment font les pros pour avoir le NEC ?