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Pas mal. Ça va te laisser à 80-81 kg propre. Nickel ! Le nutella... moi perso, je préfère le beurre de cacahuète (Dakatine), affaire de goût.
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Un site où l'on trouve le Jack3D que tu recherches : http://suppz.com/cheap-usp-labs-jack3d.html
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Dans ta présentation c'est pas je souhaiterai que tu aurais du mettre mais je souhaite utiliser tels produits à savoir... Drôle de démarche. Dans la rapidité, les choses sont faites dans le désordre. Tu as mis la charrue avant les bœufs.
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Comme d'hab Son Pas de fioriture, que du concret. Sobre et utile. C'est clair, net et précis. Merci pour ces informations très détaillées.
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Rien à rajouter, tout a été dit. Aucun crédit à accorder à cet épiphénomène.
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Benflex je me suis peut-être mal exprimé. Le travail de Gundill, son savoir-faire, est énorme, mais son faire-savoir est trop brut de décoffrage. Ses anecdotes sont intéressantes, il n'a pas besoin de faire comme l'oncle Paul en disant « j'y étais ». Pour moi, voilà en quoi sa prestation pèche. Seule ombre au tableau. Sans être un adepte du régime McDo, comment ne pas accorder de crédit aux propos tenus par Son et Tanatheos ?
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Welcome, Monarch of Planet X
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Durant une cure c'est niet à beaucoup de tentations... Difficile en effet d'échapper au fameux apéro après des réunions de travail ou des fêtes... Là c'est eau plate, jus de fruit, ou sodas. Je n'ai qu'un foie et j'y tiens. Quant au discours Michael Grundill sur le régime McDo, qui peut agacé en raison du ton employé ( «...comme beaucoup ne parlent pas l'anglais et ne veulent pas apprendre et ne veulent pas faire d'efforts et croient tout ce qu'il y a dans les magazines...» ) et autocentré par ses références personnelles ( «Quand j'allais au Fibo... Quand je m'entrainais au Gold's Gym en Caliofornie...en 92...».), on ne peut pas lui dénier toute son honnêteté intellectuelle : « Le régime McDo est peut-être moins efficace en France qu'aux Etats-Unis. Il y a quand même des restrictions à ce régime, d'abord c'est pas du tout sain pour la santé, après c'est voir ce qu'on est prêt à sacrifier pour avoir du muscle, et la deuxième chose, ça ne marche évidemment que si une personne est naturellement assez sèche. Donc si la première chose qu'on prend c'est du gras, le régime McDo ne marchera pas, pourtant c'est un régime, pour résumé, très utilisé chez les champions américains... » Il précise bien que le régime en question est suivi par des culturistes de haut niveau aux Etats-unis, avec comme exemple à l'appui, celui de Dave Palumbo, qui durant 7 ans de sa carrière, tous les jours, mangea 6 cheeseburgers, une frite super size et 2 apple pies. Il note tout de même que régime est moins efficace en France, ceci pouvant être du à la qualité de la viande employée. Certes la malbouffe McDo donne du muscle mais à quel prix ? Il y a d'autres façons d'être rassasié en période de cure, in my opinion (pour les non anglophones : à mon avis). mens sana in corpore sano (un esprit sain dans un corps sain)
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Bodybuilder Le film
bulldog replied to Luca's topic in Films , Series , Emissions, Geek, Musiques ...
Un portrait sans fards et sans complaisance, quelques lignes valorisantes pour le film. Un bel article sur l'univers peu médiatisé du BB. Yolin François Gauvin, massif du Jura (Photo Jérôme Bonnet) PORTRAIT Ce champion de culturisme, qui a monté une salle à Lons-le-Saunier, s’impose dans le nouveau film de Roschdy Zem. Avouons-le, compte tenu du profil pour le moins singulier, c’est avec un sentiment de curiosité empreinte de perplexité que l’on aborde le candidat du jour. Au top de sa rutilance, dans les années 80, Yolin François Gauvin a été champion de France de culturisme, puis, pas plus tard que l’an dernier, champion du monde dans la catégorie vétéran, et aussi deux fois vice-Monsieur Univers - le distingo avec champion du monde n’est pas hyperclair, mais en gros, cela représente le titre ultime, une sorte d’empyrée de l’hypertrophie musculaire. Aussi, c’est peu de dire qu’à l’approche de la soixantaine, notre homme continue de porter beau - du moins pour qui kiffe ce genre de modèle. D’une élégante sobriété, pantalon et polo noirs, à peine contredite par une gourmette et des bagues aux doigts, Yolin François Gauvin se confie cependant pour un motif inédit. Mercredi, sur les écrans, il occupe les avant-postes dans le troisième film réalisé par le comédien Roschdy Zem, Bodybuilder. La chronique tendue des retrouvailles entre un père et son fils. Le premier, propriétaire d’une salle de muscu accaparé par la préparation d’une compétition, tentant de redresser le second, un jeune glandeur englué dans une série d’embrouilles. Plutôt bien bâti, Bodybuilder bénéficie d’un casting ad hoc : Vincent Rottiers, Marina Foïs et Nicolas Duvauchelle y sont justes. Et Yolin François Gauvin tout bonnement remarquable en géniteur taciturne se coltinant, de force plus que de gré, ce rôle éducatif qu’il n’avait pas su tenir jadis. A la ville comme à l’écran, il transparaît illico que l’authentique YFG et le père de fiction ne forment qu’un. Profil et parcours connexes, fondés sur les notions de volonté et de courage paroxystiques, jusqu’à une assomption certaine de la souffrance autorisant un éloge raisonné de la méritocratie. «Assez ours» de nature, Yolin François Gauvin croque néanmoins dans son statut tardif d’acteur avec la gourmandise d’un néophyte qui prendrait la lune avec les dents, trop ravi, au passage, de pouvoir s’autoriser des plans clope - Coca-Cola après des mois de sacrifices préparatoires. Déboulant avec un peu de retard («ça fait une semaine que c’est la course !») dans le cosy salon de thé surplombant le cinéma du Panthéon, il sourit des vanités parisiennes du rodéo promotionnel. Puis, sans même que le rituel des questions - réponses ait formellement débuté, parle. Beaucoup, a fortiori pour un supposé bourru. Voix grave, coordonnée à un propos aussi clair que l’est le regard, le bestiau confirme le soulagement de ne plus devoir carburer au régime blanc de poulet brocolis ; ni calculer le moindre dosage au gramme près, évacuant d’une chiquenaude la question du dopage. «Il existe dans tous les sports, mais donnez ce que vous voulez à un âne, il ne deviendra jamais un cheval de course.» Du tac au tac, YFG épingle cette «horreur de la différence» perçue chez certaines personnes qui daubent sa morphologie (pour info, 50 centimètres de tour de biceps, 75 de cuisse), alors qu’il assure n’aspirer à rien d’autre qu’une recherche personnelle d’équilibre. «J’ai commencé le bodybuilding à 17 ans, pour me sentir bien dans ma peau et les endorphines secrétées par le cerveau m’ont rendu accro à cette discipline fondée sur une remise en question, voire une insatisfaction permanente. Comme pour toute autre activité physique, libre à chacun d’estimer que cela ne sert à rien de soulever 20 ou 30 tonnes de ferraille en deux heures. Mais a contrario, quel mal y aurait-il à ça, du moment qu’on n’embête pas son voisin ? Lequel pourrait me laisser tout autant songeur quand je le vois enfourcher son vélo un dimanche matin sous la pluie ou la neige ?» Et le monologue se poursuit, pour évoquer avec une candeur touchante la nouvelle addiction procurée cette fois par les caméras. «Une expérience vécue pendant trois mois comme un formidable cadeau, entouré de personnes humbles et gentilles. Mais avec l’obsession de ne pas décevoir ceux, à commencer par Roschdy Zem, qui avait pris un énorme risque en me faisant confiance. Alors, j’ai travaillé, nuit et jour, notamment pour maîtriser le texte. Mais on n’a rien sans rien… et l’expérience a été si intense qu’après le tournage, pour la première fois de ma vie, j’ai fait une dépression, pris des calmants et consulté un psy.» YFG a grandi à la Réunion, entre une mère institutrice, puis employée de l’aéroport, et un père au foyer après avoir fait capoter la PME qu’il dirigeait. Sa sœur est douée pour les études. Pas lui, élève chez les moines qui, à 17 ans et demi, part intégrer une compagnie de combat. Parachuté dans le Jura, l’autodidacte devient réparateur de chaudières, puis vendeur de pompes à chaleur et de matériel sanitaire. En parallèle, comme dans le film, il monte une salle municipale, à Lons-le-Saunier, où les critères de réinsertion sociale se juxtaposent au défi athlétique. Les bénéfices dégagés par tel ou tel événement vont à des associations caritatives et une des plus belles récompenses à ses yeux reste ce «père de famille qui a fait un jour cent bornes pour me remercier après que son fils, ex-dealer, soit devenu prof de muscu». Comme dans Bodybuilder, également, celui que Roschdy Zem a découvert dans un concours à Saint-Etienne, foire sa première vie de famille, laissant en chemin une femme et deux enfants, avant de retisser des liens avec le cadet qui filait un mauvais coton. De même, la Marina Foïs du film existe, en plus «fusionnelle». Au quotidien, sa blonde se nomme Lydie, est éducatrice et voue à l’Apollon de dix-huit ans son aîné, une adoration infinie. Tombée amoureuse à l’adolescence, quand elle fréquentait la salle, cette ex-championne de France de culturisme n’a conquis - et épousé l’été dernier - son chéri qu’à 29 ans. L’ayant observé sous toutes les coutures, elle compare l’âme sœur à la «grosse enveloppe d’un oignon au cœur énorme, une fois qu’on a enlevé toutes les couches», un personnage «droit, déterminé, perfectionniste, mais aussi anxieux, timide, parfois autiste, qu’il faut savoir remettre en place sans aller à l’affrontement». Récemment, Yolin François Gauvin a quitté son travail pour se rapprocher de sa mère, qui vivait seule à la Réunion. Mais elle est morte peu après la fin du tournage. Son père et sa sœur aussi sont décédés et sa femme a dû surmonter un cancer. Pourtant, «la roue tourne» philosophe-t-il, en écho à cette expérience cinématographique qu’il rêverait de réitérer, tout en concédant qu’«on gagne rarement deux fois au Loto… A trois ans de la retraite, au pire, je pourrai redevenir commercial, ou coach». Un carpe diem que complète l’idyllique Lydie, en aparté : «De toute façon, il a toujours été à la hauteur de tout ce qu’il a entrepris.» En 7 dates 5 avril 1957 Naissance à Madagascar. 1975 Découverte du bodybuilding. 1982 Ouverture de sa salle à Lons-le-Saunier (Jura). 1986 Naissance de son premier fils et 1er titre de champion de France. 1992 Naissance de son deuxième fils. 2008 et 2013 Champion du monde catégorie vétéran. 1er octobre 2014 Sortie de Bodybuilder de Roschdy Zem. Gilles Renault - Libération 28 septembre 2014 -
Tanatheos Pour en savoir plus sur la fiabilité des produits, tiens-nous en courant de la suite des (més)aventures de ton pote qui a commandé...
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Je me rallie aux trois derniers posts. Je ne vois franchement pas beaucoup d'intérêt à ce procédé. Au fait j'aurais bien aimé lire le fameux doc
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Steguef Bravo pour avoir trouvé cet article... mais passé au Google traduction c'est illisible. C'est devenu du charabia !
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Tanatheos En tant qu'entreprise bien placée tant au niveau national que mondial, comme tout grand groupe, Sanofy Aventis a des pratiques de lobbyiste et des influences énormes à tout point de vue (avec les dérives possibles que ça comporte). Ça sera intéressant, en effet, pour certains de connaître l'autre nom commercial du Yohimbine houdé. Pour l'Ostarine, je rappelle l'existence sur le forum d'un topic qui est consacré et aussi l'expérience d'une cure de MK-2866 durant 6 semaines à raison de 25mg/j : http://forum.all-steroids.com/topic/3348-ostarine-mk-2866/ http://forum.all-ste...sur-6-semaines/ Le MK-2866 est également connu sous le nom d'Enobosarm (labo GTx). Pour l'avoir testé, peux-tu nous faire part de ton expérience ?
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Tu as raison. Et en plus un moral d'acier. Continue Maxime... C'est bien parti pour Saint-Etienne !
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Tanatheos Sans vouloir insister, ci-dessus un article identique à celui que l'on peut trouver dans le Moniteur des pharmacies. S'agit-il du même Yohimbine houdé ? YOHIMBINE HOUDE 2 mg comprimé, arrêt de commercialisation début mars 2013 Jeudi, 21 Février 2013 | Écrit par VIDAL News Officine N°271Chlorhydrate de yohimbine : antagoniste des récepteurs alpha-2-adrénergiques Le laboratoire sanofi-aventis France annonce l'arrêt de commercialisation de YOHIMBINE HOUDE 2 mg comprimé à compter de début mars 2013. Le laboratoire précise que des alternatives thérapeutiques sont disponibles. Pour mémoire : YOHIMBINE HOUDE 2 mg comprimé est indiqué dans le traitement d'appoint : de l'hypotension orthostatique en particulier celle induite par les antidépresseurs tricycliques ; de l'impuissance masculine. 22/02/2013 - L'OFFICIEL DU MÉDICAMENT / Arrêt de commercialisation
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Pour information, le Yohimbine houdé a été retiré de la vente en avril 2013. Même propos que Musclegeek pour l'ostarine, les avis sont très partagés.
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Tanatheos Je connais l'action de l'hexomédine pour l'avoir utilisé quoique je me suis toujours demandé si son emploi répété n'était pas trop agressif pour la peau. A mon avis ça reste un traitement d'appoint. Peux-tu en dire plus pour l'ajout du talc ? el gigii Beau travail, ça se voit. Continue.
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Une formule s'impose : l'essayer c'est l'adopter
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50ème Mr Olympia Fin du suspens... Phil Heath défend son titre et remporte la compétition pour une quatrième fois. Flex Lewis domine la scène pour la troisième fois. Jeremy Buendia détrône Mark Anthony Wingson. http://streaming.bodybuilding.com/2014-olympia-webcast/ http://www.youtube.com/watch?v=LkLULVRNE9o#t=38 LES RESULTATS IFBB Pro Men 1. Phil Heath 2. Kai Greene 3. Shawn Rhoden 4. Dennis Wolf 5. Dexter Jackson 6. Branch Warren 7. Mamdouh Elssbiay 8. Victor Martinez 9. Steve Kuclo 10. Juan Morel 11. Johnnie Jackson 12. Roelly Winklaar 13. Fred Smalls 14. Jonathan Delarosa 15. William Bonac 16. Ibrahim Fahim 16. JoJo Ntiforo IFBB Pro 212 1. Flex Lewis 2. Eduardo Correa 3. Jose Raymond 4. Hidetada Yamagishi 5. Baitollah Abbaspour 6. Aaron Clark 7. Sami Al-Haddad 8. Guy Cisternino 9. David Henry 10. Charles Dixon 11. Ahmad Ahmad 12. Mark Dugdale 13. Mboya Edwards 14. Raul Carrasco-Jimenez IFBB Pro Bikini 1. Ashley Kaltwasser 2. Janet Layug 3. Stacey Alexander 4. Yeshaira Robles 5. Amanda Latona 6. India Paulino 7. Sarah LeBlanc 8. Tawna Eubanks 9. Noemi Olah 10. Stephanie Mahoe 11. Candice Conroy 12. Narmin Assria 13. Vladmira Krasova 14. Lacey DeLuca 15. Christie Marquez 16. Noy Alexander 16. Jessica Arevalo 16. Taylor Bentson 16. Kelsie Clark 16. Christina Fjaere 16. Sandi Forsythe 16. Jenee Leger 16. Dayna Maleton 16. Angela Marquez 16. Crystal Matthews 16. Brittany Taylor 16. Nikola Weiterova IFBB Pro Figure 1. Nicole Wilkins 2. Candice Keene 3. Candice Lewis 4. Ann Titone 5. Latorya Watts 6. Gennifer Strobo IFBB Pro Fitness 1. Oksana Grishina 2. Regiane Da Silva 3. Tanji Johnson 4. Bethany Cisternino 5. Myriam Capes 6. Fiona Harris 7. Trish Warren 8. Whitney Jones 9. Danielle Ruban 10. Marta Aguiar 11. Amanda Hatfield 12. Somkina Liudmila IFBB Pro Women's Physique 1. Juliana Malacarne 2. Dana Linn Bailey 3. Tycie Coppett 4. Karina Nascimento 5. Sabrina Taylor 6. Mindi OBrien 7. La'Drissa Bonivel 8. Jillian Reville 9. Jennifer Robinson 10. Frances Mendez 11. Karin Hobbs 12. Jacklyn Sutton Abrams 13. Patricia Mello 14. Heather Grace 15. Tamee Marie 16. Rachel Baker 16. Roxie Beckles 16. Olga Beliakova 16. Nathalie Falk 16. Samantha Hill 16. Sandra Lombardo 16. Leila Thompson 16. Toni West IFBB Pro Men's Physique 1. Jeremy Buendia 2. Sadik Hadzovic 3. Jason Poston 4. Matthew Acton 5. Steve Cook 6. Mark Anthony Wingson 7. Anton Antipov 8. Michael Anderson 9. Xavisus Gayden 10. Tyler Anderson 11. Tory Woodward 12. German Pacheco 13. Jeff Seid 14. Arya Saffaie 15. Felipe Franco 16. Matt Christianer 16. Tonnell Rodriguez 16. Jonathan Sebastian IFBB Pro Women 1. Iris Kyle 2. Alina Popa 3. Debi Laszewski 4. Alana Shipp 5. Yaxeni Oriquen 6. Anne Freitas 7. Sheila Bleck 8. Jennifer Sedia 9. Rita Bello 10. Margie Martin 11. Christine Envall 12. Lisa Giesbrecht 13. Simone Oliveira
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Interro surprise...
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tendinopathie des supra et infra épineux
bulldog replied to steguef's topic in Blessures & Pathologies
Pour le moment je ne suis pas tenté par le tb500. Après les infiltrations, les séances d'ondes chez le kiné, du repos mais sûrement pas assez, je vais essayer d'endiguer cette foutue tendinite avec ma prochaine cure. Si ça ne marche pas, ce peptide sera alors peut-être la solution à ce problème (récurrent en BB).