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BodyB

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    BodyB got a reaction from wilm in "gros muscles et petit cerveau"... et bien non !   
    Voici un article intéressant d'un neurologue et psychiatre qui explique que l'activité musculaire développe le cerveau beaucoup plus que ce que l'on croyait : Boris Cyrulnik détricote le mythe du "gros muscles et petit cerveau" (L'express - 31/07/2012)
    Pour (enfin) clouer le bec à certains !
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    BodyB got a reaction from jeanp in 6 règles pour bien utiliser le sucre   
    Devinette : quel est le nutriment le plus important pour les bodybuilders ? Au cas où vous auriez répondu les protéines, mes condoléances! Si restreindre l'apport en glucides et ingurgiter des tonnes de protéines maigres peut sembler une bonne idée, cette démarche ne vous mettra pas sur la voie rapide de l'hypertrophie musculaire pour obtenir le physique auquel vous aspirez. Le nutriment le plus important est le glucose, un sucre simple. Sans cet important élément régulateur du métabolisme, vos muscles ne pourraient pas atteindre leur potentiel de développement, quelle que soit la quantité de protéines que vous leur apportez. En fait, si le corps ne reçoit pas assez de glucose, il transformera les protéines des aliments et de vos muscles en glucose, provoquant un état catabolique peu réjouissant.
    Il est certain si vous consommez du sucre alimentaire aux mauvais moments et de façon excessive, vous n'arriverez jamais au sommet de votre forme. Pourtant, la démarche inverse, c'est-à-dire éviter le sucre comme la peste, est tout aussi néfaste. Si vous tenez vraiment à vous bâtir des muscles denses dont le galbe semble étirer la peau, vous devez apprendre à exploiter le potentiel de ce puissant nutriment anabolisant: dans cet article, nous vous montrons comment et quand l'utiliser (il ne s'agit pas ici uniquement du sucre de table ou saccharose) pour contrôler votre environnement hormonal et optimiser le développement musculaire. Appliquez dès aujourd'hui ces six règles simples et vous n'aurez jamais eu autant de masse, de force et de tonus avant vos entraînements !
    Potentiel postexercice
    Comme vous lisez régulièrement M&F, vous êtes sans doute au courant des propriétés anabolisantes puissantes de l'insuline. Après l'effort, la sécrétion insulinique stoppe la dégradation du tissu musculaire et des substrats énergétiques, et ramène l'équilibre hormonal du catabolisme vers l'anabolisme.
    Mieux vous comprendrez comment utiliser le sucre pour agir sur la sécrétion d'insuline, mieux vous serez à même de contrôler ce mécanisme. Espérons que vous savez au moins qu'après l'entraînement, le sucre est nécessaire pour endiguer au plus vite la phase de catabolisme dans laquelle on se trouve. Mais (et c'est un grand mais), il faut fournir au corps assez de sucre pour causer une montée brusque de l'insuline, satisfaire les besoins du foie en glycogène et saturer complètement les muscles en glycogène. (Le glycogène est la forme de stockage du glucose dans l'organisme). Une barre protéinée pauvre en glucides, prise après votre séance, ne fera pas du tout l'affaire. Comme l'affirme Craig Titus, pro IFBB: "Cette notion de régime hypoglucidique est aberrante! Pour prendre du muscle, il faut des sucres et on doit en faire le plein après l'entraînement."
    Remplir vos muscles de sucre après l'effort ne vous fera pas prendre de graisse et ne voilera pas votre définition musculaire car votre corps sera trop occupé à absorber tout ce glucose pour le mettre en réserve sous forme de glycogène et l'utiliser comme carburant destiné à faire démarrer la synthèse des protéines. C'est systématiquement que Craig sature ses muscles de sucre après ses séances, conformément à un plan élaboré par un autre pro IFBB, Milos Sarcev, et il affirme que "ses muscles n'ont jamais été aussi gros et aussi denses." Pour que votre métabolisme tourne à plein régime, il faut l'alimenter en sucre et récupérer après chaque entraînement. Encore une excellente raison d'être bodybuilder !
    Mettre l'anabolisme en route
    Avant de vous donner le feu vert pour vous mettre à recouvrir de sucre, de sirop et de miel tout ce qui est dans votre assiette et ainsi, faire exploser votre taux d'insuline, sachez qu'il y a des règles à observer: il faut que tout soit fait au bon moment.
    1. PRIVILÉGIEZ LES SUCRES DE FORT INDEX GLYCÉMIQUE DANS LA PHASE DE RÉCUPÉRATION POSTEXERCICE.
    Les recherches indiquent que, pour favoriser la resynthèse du glycogène, les sucres de fort IG (index glycémique) l'emportent nettement sur une quantité équivalente de sucres de faible IG. (Sur l'échelle des IG, où le glucose a la valeur de 100, on trouve, par ex.: Gatorade: 78; flocons d'avoine: 84, et Cheerios: 83). Néanmoins, vous avez tout intérêt à vous en tenir à des préparations liquides conçues spécifiquement pour la récupération après l'effort: elles sont riches en sucres consistant essentiellement en glucose, saccharose ou dextrose, peu de protéines et très peu de lipides. Attention à ne pas prendre des barres ou des poudres riches en protéines et pauvres en sucres. En ingérant plus de protéines que de glucides, vous risquez de stimuler la production de glucagon, créant ainsi un environnement hormonal qui ne sera guère propice à un remplacement optimal du glycogène. Visez un ratio glucides à fort IG/protéines d'environ 3:1.
    2. SI VOUS POUVEZ CHOISIR DES SUCRES PARTICULIERS (PLUTÔT QUE DE MANGER DES ALIMENTS), PRENEZ EN PRIORITÉ DU GLUCOSE OU DU DEXTROSE.
    Ce sont des monosaccharides, c'est-à-dire que comme ils ne peuvent pas être dégradés en éléments plus simples, ils sont très vite digérés et passent rapidement dans le sang: à ce titre, ils sont parfaits pour renflouer les réserves de glycogène et faire grimper l'insuline.
    Autre monosaccharide présent dans le miel et les fruits, le fructose, chimiquement semblable au glucose, mais ayant une structure différente. Il doit d'abord être métabolisé par le foie avant de pouvoir être absorbé par les muscles, ce qui en fait une excellente source de sucres pour restaurer le glycogène. Le fructose à lui seul ne serait pas ce qu'il y a de mieux pour renouveler les stocks de glycogène musculaire ou potentialiser l'insuline; par contre, un mélange de glucose et de fructose est très efficace. (NB: le saccharose, sucre courant alimentaire, est un disaccharide composé de glucose et de fructose).
    3. FAITES-LE, DE FAÇON SYSTÉMATIQUE, APRÈS CHAQUE SÉANCE D'ENTRAÎNEMENT.
    Même si vous tenez à suivre à tout prix un régime hypoglucidique, ne réduisez pas les sucres dans les repas de récupération post-entraînement, au risque de voir votre organisme se mettre à puiser dans les protéines musculaires pour y trouver son carburant! Si vous ne renflouez pas complètement les stocks de glycogène après chaque séance, vos muscles ne se développeront jamais jusqu'au maximum de leur potentiel. L'appauvrissement des réserves de glycogène vous
    obligera à réduire l'intensité et le volume d'entraînement des séances suivantes, limitant alors les possibilités de surcharger vos muscles. En raison de la perte progressive d'eau et de glycogène des cellules musculaires en état de déplétion, vos muscles n'auront plus leur densité: si vous souhaitez les développer jusqu'à leurs limites, au sens propre comme au sens figuré, il importe de tirer le meilleur parti de cette fenêtre métabolique pour amorcer l'anabolisme immédiatement après chaque séance.
    4. LA QUANTITÉ DE SUCRE REQUISE APRÈS VOTRE SÉANCE DÉPEND DE L'INTENSITÉ, DE LA DURÉE ET DU TYPE D'ENTRAÎNEMENT QUE VOUS AUREZ RÉALISÉ.
    La plupart de ceux qui pratiquent la musculation de loisir à une intensité relativement élevée pendant 60-80 minutes devront consommer environ 0,88 g à 1,76 g de glucides à IG élevé par kilo de poids: cela
    correspond à 80-160 g d'hydrates de carbone pour un athlète de 91 kg. (Cela veut dire que vous prendrez, en gros, entre 25 et 50 g de protéines, sur la base du ratio 3:1 mentionné plus haut). Craig prend 100 g de dextrose avec 30 g de whey (plus 10 g de créatine et 10 g de glutamine) dès qu'il a reposé ses charges à la fin de la dernière série. Quinze minutes plus tard, il avale encore 50 g de dextrose et 30 g de whey (protéine de lactosérum). Une heure après, il fait un gros repas et reprend ensuite son plan d'alimentation normal. C'est là un exemple classique de programme de récupération postexercice pour un bodybuilder de 122,5 kg.
    5. LES BODYBUILDERS UTILISANT DES TECHNIQUES AVANCÉES, COMME LE TRAVAIL NÉGATIF LOURD ET LES REPS FORCÉES, DOIVENT INSISTER DAVANTAGE SUR l'APPORT EN SUCRES APRÈS LEURS SÉANCES.
    Les recherches indiquent que la resynthèse du glycogène musculaire est entravée par l'entraînement excentrique lourd; ceci est très probablement dû aux microtraumatismes infligés aux cellules musculaires et qui interfèrent avec le transport du glucose vers ces cellules. Si vos séances comprennent du travail négatif lourd, des reps forcées et des charges lourdes, il faut vous assurer de fournir à vos muscles des quantités adéquates de sucres à fort IG pour surmonter la dépression de la resynthèse du glycogène induite par l'atteinte musculaire. Votre apport devra aussi se situer dans la valeur haute de la fourchette des doses de renouvellement en sucres si vous vous entraînez à une intensité relativement élevée (en faisant des séries dégressives, ou jusqu'à épuisement, ou avec des temps de repos courts). Comme ce type de techniques d'entraînement vide rapidement les stocks de glycogène, vous devrez veiller à ingérer suffisamment de glucides pour qu'une resynthèse complète s'opère dans les muscles et le foie.
    6. PENSEZ À PRENDRE UNE PETITE QUANTITÉ DE SUCRE AVANT ET PENDANT UN ENTRAÎNEMENT POUR ÉVITER UN CATABOLISME TROP MARQUÉ ET POUR AMORCER LE PROCESSUS DE RÉCUPÉRATION.
    Avant votre séance, la prise d'une petite quantité de glucose et de fructose (10-20 g, associés à 10 g de protéines) pourrait stopper l'effondrement des concentrations de glucose sanguin et d'insuline pendant l'effort. Si les taux de sucre sanguin et d'insuline sont bas, il est beaucoup plus difficile de remettre l'anabolisme en route après la séance. Sachez que l'énergie pour vous entraîner vient essentiellement du glycogène stocké dans les muscles; certes, cet apport avant l'effort ne va pas donner à vos muscles beaucoup de carburant, mais il permettra d'équilibrer le niveau hormonal et de prévenir un catabolisme trop aigu. Il pourrait également être utile de prendre une boisson de récupération avant votre séance de musculation ou de cardio si elle va dépasser 60 minutes. De cette façon, vous amènerez un peu de sucre dans le sang ainsi que des nutriments dans les muscles et vous éviterez un catabolisme protéique exacerbé.
    La puissance de l'insuline
    La sécrétion insulinique est stimulée par l'augmentation du taux de sucre sanguin. Comme celui-ci est très finement régulé dans une fourchette étroite par le centre de contrôle du métabolisme, la moindre élévation de la glycémie agit sur le pancréas qui libère l'insuline: cette hormone va alors mettre en réserve l'excès de glucose dans le sang. Quand les stocks de glycogène hépatique et musculaire sont relativement pleins, ce glucose excédentaire dans le sang peut être mis de côté sous forme de graisse, d'où la mauvaise image de marque des sucres simples, potentialisateurs de l'insuline.
    Néanmoins, juste après un entraînement éprouvant, quand les stocks de glycogène sont épuisés et qu'ils réclament du glucose, la prise de sucre crée une situation de très fort anabolisme dans le corps. Libérée en réponse au glucose ingéré, l'insuline fait entrer le sucre dans les cellules musculaires à une vitesse étonnante afin de remplir de nouveau les muscles de glycogène. Beaucoup d'autres nutriments, dont les acides aminés, sont entraînés dans cet apport massif et finissent dans les cellules musculaires qui absorbent tout comme une éponge.
    En outre, la conversion du glucose en glycogène fait entrer l'eau dans les cellules musculaires; donc, en facilitant l'optimisation de la resynthèse du glycogène, on pousse les muscles jusqu'à leurs limites pour ce qui est des quantités que chacune de leurs cellules peut assimiler. Cet afflux de nutriments entraîne l'accroissement optimal du volume de la cellule musculaire qui se gonfle pour retenir le maximum de ces nutriments, d'où possibilité de stimulus anabolisant très poussé qui incite le muscle à grossir.
    Sucres simples ?
    Les sucres dits "simples" ne sont en réalité pas si simples que cela. La méthode élémentaire de classement des sucres en "simples" et "complexes" est peut-être adéquate pour les abonnés du canapé, mais pour le bodybuilder qui s'entraîne et suit un régime précis, elle constitue un système nettement trop sommaire. En fait, beaucoup de diététiciens et de spécialistes de l'entraînement considèrent les appellations "simples" et "complexes" comme dépassées. Bon nombre d'entre eux ont maintenant recours au système de l'IG (index glycémique) car il permet de prédire avec bien plus de précision ce que sera la réponse physiologique que l'on peut anticiper après l'ingestion d'aliments glucidiques particuliers.
    En gros, l'IG d'un aliment glucidique reflète la vitesse à laquelle il va être dégradé en sucre dans l'intestin. De nombreux sucres soi-disant "simples" ou "complexes" n'agissent pas tout à fait comme on l'aurait supposé en se basant sur la classification simpliste utilisée autrefois. Ainsi, les fruits, souvent répertoriés comme sucres simples, ont un IG relativement bas et tendent à ne pas élever la glycémie et le taux d'insuline aussi rapidement que les pommes de terre, pourtant classées dans les sucres complexes.
    La digestion et l'absorption sont des facteurs-clés dans la mesure de l'IG d'un aliment particulier. Il est donc important de comprendre que, quand on mange d'au-tres aliments avec ceux qui sont glucidiques, on modifie l'indice glycémique global du repas. Par exemple, manger des glucides à IG élevé en ajoutant davantage de fi-bres, de protéines et/ou de lipides aura tendance à ralentir la digestion et l'absorption des sucres: de ce fait, un tel repas n'aura qu'un effet modéré sur la concentration de sucre sanguin et d'insuline. C'est là une bonne chose le jour où l'on veut que ces deux concentrations soient stables. En revanche, le repas post-entraînement devra avoir un IG élevé si l'objectif est de reconstituer le stock glucidique de réserve et de prendre du muscle.


    Source : Mark Casselman - M&F

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    BodyB got a reaction from Lepe in Astuces pour (mieux) manger lors d'une sortie   
    Voici quelques trucs que j'utilise pour pouvoir sortir en limitant les excès, tout en restant sociable...
    Avant de partir manger (resto ou amis) :
    - Prendre un mélange de son d'avoine et de fromage blanc. Celui-ci permettra de ralentir la digestion et limitera l'absorption de glucides et lipides par l'organisme.
    - si vous savez ce que vous allez manger et que tout va flinguer votre diet (soirée raclette, par exemple)... Manger alors avant de partir. Vous n'aurez qu'à grignoter durant le repas en prétextant que vous n'avez pas trop faim.
    Si la sortie est au resto :
    - privilégiez les salades et les viandes (précisez "sauce à part")
    - préférez une entrée copieuse à un dessert
    - prenez une eau minérale
    Si la sortie est chez des amis :
    - s'il s'agit d'une soirée barbecue, amenez des blancs de poulet marinés, des légumes à griller... Bref des choses que vous aller manger et pouvoir partager avec les autres en évitant les merguez et autres saucisses.
    - pour l'apéro, vous pouvez éventuellement apporter des olives, du saucisson "de jambon" (faible en MG), des légumes croquant avec une sauce à base de FB...
    - refusez l'alcool soit pour la route, soit parce que vous êtes sujet aux migraines et que l'alcool vous en provoque. Au pire, acceptez un demi-verre de vin, pour faire plaisir. Ne le finissez qu'en fin de repas pour éviter qu'on ne vous remplisse votre verre vide.
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    BodyB got a reaction from TestoMo in Steroides : Le piège   
    L'article vaut la peine d'être lu.
    Mais comme disent certains d'entre vous, il faut être dans la mesure et dans le raisonnable. Il faut distinguer ceux qui font de la compet', ou ceux qui veulent avant tout toujours être plus énorme, de ceux qui veulent un coup de pouce. C'est comme ceux qui fument 2 paquets par jour et ceux qui prennent 2,3 clopes.
    Moi maintenant je fais une cure deca/susta par an, avec un faible dosage (200mg de susta tous les 3 jours et 250mg deca par semaine). Ca me semble raisonnable.
    Je pense que le risque est pour les newbies, souvent jeunes qui tombent à fond dedans. Pour ma part, j'ai la quarantaine, je prends des roro depuis 4 ans. Et ma motivation est d'améliorer mon physique avant que l'age fasse l'inverse !
    Par ailleurs, je rejoins un point de l'article où on trouve que les extrêmes : les antis-roro et les pros-roro. Pour moi un certain nombre de personne (et je pense aux toubibs) devrait avoir une meilleure connaissance pour accompagner et échanger avec ceux qui en prennent. A titre de comparaison, je pense que les toxicos sont mieux accompagnés (tant mieux pour eux).
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    BodyB reacted to Requiem_For_Kelly in Rudy Coia - Mes Secrets pour Sécher   
    Ou peut être des gens qui n'ont rien demandé à personne et qui sont pourtant la cible des railleries de ce pseudo messie de la musculation qui s'imagine avoir la science infuse et détenir la vérité absolue dans le vaste monde de notre passion.
    Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne se prend pas pour de la merde et a cette facheuse tendance à dédaigner et rabaisser tous ceux qui ne partagent pas "sa" vision des choses. Ce garçon pue l'arrogance et s'octroie le droit de nous insulter publiquement !
    Il a cette facilité déconcertante à se comporter de façon hautaine avec les débutants comme si tout le monde était sensé tout connaître sur la musculation... Je veux dire, tout connaître de sa doctrine !
    Je ne le connais pas personnellement mais pour appuyer mes propos, j'ai passé de longues heures sur son soit disant forum "naturel" et la suffisance qui se dégage de l'ensemble de ses messages m'a répugné. Je ne me suis jamais inscrit sur son forum de merde et je ne m'y inscrirai jamais !
    De toute façon, ça m'est interdit par le règlement de notre chère communauté que je ne regrette carrément pas d'avoir rejoint.
    Cependant, je ne dis pas que tous leurs membres sont dopés. Mais certains le sont et continuent à bénéficier du soutien de leur gourou Rudy Coia, le grand défenseur de la cause naturelle. Ben voyons !
    D'ailleurs, Sean et plusieurs autres ici seront sûrement d'accord avec moi concernant la mentalité générale de ce forum ou se retrouvent beaucoup de frustrés qui passent leur temps à nous cracher dessus.
    Alors je peux comprendre qu'untel ressente de l'animosité envers ce clown.
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    BodyB reacted to Luca in Cure/Cycle pour débutant : Le guide Du débutant aux steroides   
    CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR:
    1. Bonne connaissance sur l'alimentation et de sa mise en place (sans cela, vous n'avez pas votre place ici)
    2. Connaissance de base des androgènes et leurs effets secondaires (une recherche Google devrait suffire)
    3. 3-5 ans de musculation/training
    4. Age 24 ou plus
    5. Connaissances Basiques sur les injections intra musculaires
    ça déja pas grand monde la respecté...
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    BodyB reacted to jeanp in Cure pour veterans   
    Ce post est pour les débutants et les veterans à la recherche de cycles pour des objectifs spécifiques.
    Maintenant, avant de commencer, Le training, la diet et le repos est la clé pour atteindre vos objectifs. Tous les cycles peuvent être transformés en un cycle de masse ou de seche en fonction de votre consommation alimentaire.
    * Thérapie clomid: 36 comprimés. 300mg jour 1, 100mg prochaine 10, 50mg final 10.
    ** Thérapie HCG est instituée pour la prévention de l'atrophie testiculaire. L'ancienne pratique était efficace, mais la prévention est plus productif que d'essayer de guerir le problème en fin de cycle.
    Premier cycle Solide
    Semaine 1 à 10: 400 mg d'EQ
    OU
    Semaine 1 à 10: 4-500 mg d'essai
    Semaine 13 à 15: clomid Therapy *
    MASSE Cycle n ° 1
    Semaine 1 à 16: 0,5 mg d'Arimidex EOD
    Semaine 1 à 12: 300 500ius de HCG tous les 4 ou 5 jours **
    Semaine 1 à 6: 30 mg de D-bol ED
    Semaine 1 à 10: 600mg d'EQ
    Semaine 1 à 10: 750mg test
    Semaine 13 à 15: clomid Therapy *
    MASSE Cycle n ° 2
    Semaine 1 à 16: 0,5 mg d'Arimidex EOD
    Semaine 1 à 12: 300 500ius de HCG tous les 4 ou 5 jours **
    Semaine 1 à 5: 50 mg de Anadrol ED
    Semaine 1 à 6: 750mg test
    Semaine 1 à 10: 400mg de Deca
    Semaine 7 à 12 : 75 mg de Fina ED
    Semaine 7 à 12 : 100 mg de Prop ED
    Semaine 7 à 12:: 50 mg de Winny ED
    Semaine 13 à 15: clomid Therapy *
    Cycle de Seche n ° 1
    Semaine 1 à 8: 300-500ius de HCG tous les 4 ou 5 jours **
    Semaine 1 à 8: 50 mg de Prop ED
    Semaine 1 à 8: 75mg de Fina ED
    Semaine 1 à 8: 50 mg de Winny ED
    Semaine 1 à 10: 50 mg de Proviron ED
    Semaine 13 à 15: traitement clomid *
    Cycle de Seche n ° 2
    Semaine 1 à 16: 0,5 mg d'Arimidex EOD
    Semaine 1 à 12: 300 500ius de HCG tous les 4 ou 5 jours **
    Semaine 1 à 10: 400 mg d'EQ
    Semaine 1 à 8: 40 mg de Oxandralone ED
    Semaine 4 à 12 : 50 mg de Prop ED
    Semaine 7 à 12 : 50 mg de Winny ED
    Semaine 13 à 15: clomid Therapy *
    Cycle de masse maigre
    Semaine 1 à 16: 0,5 mg d'Arimidex EOD
    Semaine 1 à 12: 300 500ius de HCG tous les 4 ou 5 jours **
    Semaine 1 à 12: 2ius de GH 5 sur 2 off
    Semaine 1 à 10: 500 mg test
    Semaine 1 à 12 : 400 mg d'EQ
    Semaine 7 à 12 : 40 mg de Oxanadralone
    Semaine 14 à 16 : clomid Therapy *
    entre cure basique
    Semaine 1 à 8: 30 mg de Oxandralone ED
    Semaine 1 à 8: 10 grammes de créatine et 20 grammes de glutamine Ed
    entre cure expérimenté
    Semaine 1 à 8: 10ius de insuline avant la séance d'entraînement
    Semaine 1 à 8: 10 grammes de créatine et 20 grammes de glutamine Ed
    Semaine 1 à 8: 100 grammes de dextrose 10 minutes après l'inject d'insuline
    Semaine 1 à 8: 150 grammes (3 shakes) de WPI (whey isolate) pendant le temps actif de l'insuline
    Il ya beaucoup de différentes combinaisons que nous pouvons tous utiliser . Je ne l'ai utilisé quelques-uns. Ce sont des cycles de base qui va bien travailler pour de nombreux utilisateurs. Je n'ai inclus le deca dans un cycle car ses effets négatifs sur une HPTA sont facilement évités grâce à l'utilisation de EQ. Certains diront Fina va faire la même chose, mais parce que son ester travaille beaucoup plus vite, je crois que ce n'est pas aussi suppressif que le Deca.
    Rappelez-vous l'alimentation est la clé de tous les cycles. Si vous ne mangez pas assez, vous n'aurez rien, si vous mangez pour 12, vous ne sécherais pas.
    L'alimentation est la clé de la réussite !
    Les gars, bonne chance et soyez prudents!
    Big
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    BodyB reacted to FLEX in Etude sur les AAS   
    Bonjour à tous !
    je partage avec vous une étude tres interessante que je viens de lire, qui n'a d'autre vocation que celle d'informer
    En espérant que le lien fonctionne...
    https://campusvirtue...idReq=SPORTCAPA
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    BodyB reacted to polo in A lire pour les noobs   
    Les stéroïdes: mythes, réalité et dangers !
    Il était inévitable de parler de ce sujet.
    Nous nous efforçons de vous donner du contenu de qualité pour vous forger un corps parfait et une vie saine, par le biais de la nutrition, exercice, et style de vie.
    Mais il existe aussi un côté obscur à la force.
    Les stéroïdes anabolisantsne sont plus restreint à un petit cercle de quelques privilégiés et ont tendance à se démocratiser.
    Dans les films ce sont les grands méchants qui y touchent, mais le héros finit toujours par triompher quand même.
    Est-ce pour autant la réalité?
    Tout d'abord, nous tenons à préciser un fait important: les informations qui vont être données relèvent de lectures, de témoignages.
    Ce ne sont donc qu'à titre INFORMATIF qu'elles vous sont données.
    Nous déconseillonsTOTALEMENT l'usage de ces produits, cet article a pour but de vous informer pour mieux vous en tenir écarté !
    I - Présentations:
    Les stéroïdes anabolisants sont les dérivés de l'hormone mâle: la testostérone.
    Il en existe plusieurs types qui ont été modifiés chimiquement pour augmenter ou diminuer certaines propriétés à certaines fins.
    Ils sont utilisés médicalement pour soigner les grands brûlés, personnes atteintes de cancer ou SIDA, retards de croissances...
    A des fins d'augmentation de la masse musculaire et d'amélioration de la performance (dopage), les utilisateurs semblent utiliser des doses de 6 à 8 fois la production normale d'un homme en bonne santé au minimum.
    Ca n'est pas rien !
    Ce genre de produits s'annonce très efficace pour atteindre ces objectifs, ce pourquoi ils sont entourés d'une aura si mystique...
    Mais les dangers sont tout aussi importants.
    Il ne faut pas oublier que le gain de masse musculaire n'est qu'un effet secondaire parmi les autres.
    Plus le stéroïde sera puissant, plus les effets secondaires seront prononcés et plus il sera dangereux !
    II - Vous risques de ne plus jamais produire de testostérone:
    La prise de stéroïdes anabolisants va faire chuter votre propre taux de testostérone aussi sûrement que si vous sautiez du 15e étage.
    Le système est simple: plus votre corps détecte d'hormones sexuelles, moins il va en sécréter.
    Quand vous avez 5 à 8 fois minimum le taux que vous aviez normalement, c'est comme si vous écrasiez le frein de votre voiture au plancher: la glande de votre cerveau qui contrôle la production de testostérone en perçoit tellement qu'elle n'en fait absolument plus produire.
    Voyez comme si elle se mettait sur "off".
    Le danger?
    Plus votre cure sera sévère et longue, plus une fois terminé vous mettrez de temps à la remettre en route. Cela peut prendre 1 mois, 2 mois, 3 mois... comme jamais si vous êtes prédisposé !
    En attendant, vous avez un taux de testostérone proche de celui de votre compagne.
    Pour être clair: à chaque cure, vous risquez de ne plus jamais produire votre propretestostérone.
    Comme nous l'avons vu, la glande se met sur "off".
    Mais ça ne s'arrête pas là, car ce sont vos testicules qui sont chargés de produire latestostérone. Puisqu'elles n'ont plus à en faire, elles se mettent "au repos".
    C'est ce qui explique le rétrécissement de vos bijoux de famille pendant le traitement !
    Des médicaments existent pour "contrer" ce phénomène, mais si à la fin de votre cure la glande ne "redémarre" pas, ou pas correctement, vous êtes perdu !
    Certains stéroïdes sont plus durs que d'autres sur ce point, et bien sûr plus ils sont efficaces plus ils sont suppressifs !
    Notez aussi que si vous êtes adolescent (avant 21-23 ans), la glande n'est pas encore totalement développée: c'est dans cette période qu'elle se "fixe".
    Si vous la mettez sur "off", vous prenez un risque incroyable de ne plus jamais la voir repartir...
    III - Les stéroïdes sont mauvais pour la santé !
    Les androgènes pris à ces doses vont tout simplement faire exploser vos taux de cholestérol, faire chuter le bon et augmenter le mauvais.
    En partie parce que le cholestérol sert à à les fabriquer, mais comme vous n'en fabriquez plus...
    De plus, ils sont directement mauvais sur vos lipides sanguins.
    Les plus durs sont ceux qui sont pris par voie orale, et ceux qui ne se transforment pas en œstrogènes (les hormones femelles vous "protègent" en temps normal !).
    Il est difficile de prédire votre réaction, et le déséquilibre est tellement marqué que vous ne pourrez quasiment pas le contrôler !
    Les stéroïdes sont mauvais pour vos artères !
    Les androgènes augmentent encore une fois latension artérielle, surtout à ces doses.
    Ce qui est renforcé par la rétention d'eau que peut donner certains produits qui se transforment excessivement en hormones femelles (œstrogènes), ou agissent comme laprogestérone (hormone femelle aussi !).
    Votre coeur va supporter énormément de tensions aussi.
    Imaginez ce qu'il doit supporter au quotidien si vous prenez 10kgs de muscles, eau, gras en quelques mois...
    De toute façon, si vous en consommez vous le remarquerez sûrement par vous même !
    Certains stéroïdes sont extrêmement toxiques pour le foie.
    C'est notamment le cas de ceux qui sont consommés oralement (cachets).
    Pour pouvoir être assimilés sans être détruits par le foie, ils ont été modifiés chimiquement.
    Le problème, c'est qu'ils sont mauvais, très mauvais surtout à ces doses supra-thérapeuthiques.
    Si vous en consommez faites vous une faveur:
    limitez vos cycles, utilisez des protections pour votre foie, supprimez l'alcool et autres médicaments qui lui sont mauvais, et faites des prises de sang pour contrôler ses valeurs !
    IV - Les stéroïdes entrainent des effets secondaires notables et indésirables !
    Bon, les stéroïdes anabolisants sont des dérivés de l'hormone mâle, vous vous souvenez ?
    En espérant ne pas me tromper sur le fait que vous, lecteurs, êtes des mâles, vous y êtes exposés.
    J'imagine aussi que vous êtes des adultes, ou adolescents.
    La puberté est un peut comme le "big bang" dans votre corps: des changements se mettent en place partout pour faire de vous, l'enfant d'autrefois, l'adulte de demain !
    Eh bien, ce ne sont ni plus ni moins que les effets secondaires d'un taux de testostérone qui crève le plafond.
    Ca reste d'ailleurs toujours moins élevé que les doses nécessaires pour améliorer les performances...
    Vous vous souvenez de l'horrible acné qui couvrait votre visage, vos épaules et votre dos?
    Les boutons rouges et jaunes qui sortaient des ports de votre peau aussi luisante que vos chaussures de costume...
    Quand vous deviez appliquer 36 crèmes, prendre comprimés matins, midi et soir pour limiter le phénomène mais que malgré tout il n'était pas totalement enraillé.
    Et encore, de l'acné à 14 ou 16 ans reste normal.
    Mais qu'en est-t-il à 30, 40 ans?
    Pince-téton est un vilain jeu.
    Surtout quand on a les tétons qui font mal, avec une espèce de petite boule sous le mamelon.
    Eh bien c'est une gynécomastie en développement.
    Mais à cette époque c'est relativement normal et généralement ça s'en va.
    C'est dû à votre
    testostérone qui se converti en œstrogènes: plus vous en avez, plus elle va se transformer.
    Là, c'est ce qui se passait quand vous étiez ado...
    Que se passerait-il avec 3 ou 4 fois plus d'hormones dans votre sang?
    Des seins vous pousseraient tout simplement: les œstrogènes vont faire grossir vos glandes mammaires et déposer du gras autour.
    Dans le meilleur des cas vous en viendrez à bout avec certains médicaments spéciaux, dans le pire il faudra passer sur le billard !
    Certains stéroïdes agissent comme de la progestérone en se fixant sur le récepteur.
    Le corps ne fait pas la différence entre les deux: tant que le récepteur est activé, l'effet se produit.
    Ce qui peut produire une perte de libido, provoquer une gynécomastie qui se sera pas évitée par les mêmes médicaments que si elle était due aux œstrogènes, voire vous faire produire du lait maternel (paternel plutôt?).
    Non, vous avez bien lu: vous allez allaiter !
    Une autre caractéristique masculine est bien évidemment les poils.
    Prendre des androgènes va faire pousser des poils un peut partout: sur vos épaules, trapèzes, dos, lombaires, torse, ventre, bras, mains, pieds...
    Partout où ça peut pousser !
    Et il ne s'agit pas de duvet, mais réellement de poils, comme votre barbe, vos poils pubiens ou encore de cuisses.
    En plus de cela ils vont repousser plus vite, plus dru...
    Réfléchissez-y bien !
    Chez ceux qui y sont prédisposés, la calvitiesera incontournable et apparaitra d'autant plus vite selon le stéroïde que vous prenez.
    Étant donné que vous ne consommez pas spécialement de la testostérone, les médicaments, traitements ou autres shampooings anti chute seront inefficaces !
    Les stéroïdes anabolisants font aussi grossir la prostate, éliminent ou boostent la libido, l’agression, le bien être, certains vont rendreimpuissant...
    Liste non exhaustive !
    V - Les progrès ne sont pas durables:
    Ne vous attendez pas à garder vos gains après le cycle.
    Si vous êtes encore dans ce que votre génétique vous permet d'obtenir à la fin du traitement, vous pourrez espérer garder une bonne partie de vos gains. 
    Mais vous auriez aussi pu arriver à ce résultat sans prendre tous ces risques, mettre votre santé en danger !
    Si vous avez dépassé les limites de votre génétique en terme de progrès, vous ne pourrez pas conserver les gains.
    La seule issue serait d'entamer un autre cycle avant que les gains ne s'estompent, ou de ne jamais stopper la cure.
    Les deux cas sont vraiment mauvais pour votre santé sur le long et court terme, vous savez à présent pourquoi !
    C'est ainsi que l'on rentre dans un engrenage vicieux !
    Notez que les effets secondaires comme lapilosité, calvitie, vergetures, cicatrices d'acné, prostate... sont bel et bien définitifs !
    VI - Les stéroïdes sont illégaux !
    Que croyez-vous !
    En plus de mettre votre propre santé (et vie) en jeu, vous vous mettez aussi en travers de la loi.
    Le jeu en vaut-il la chandelle?
    Si vous êtes compétiteur dans votre sport, il s'agit purement et simplement de dopage. 
    Vous vous exposez aux sanctions prévues par la loi à cet effet !
    P.S: Le jeu en vaut-il la chandelle?
    http://alpham3n.blogspot.com/2012/05/steroides-anabolisants-mythe-realite.html?m=1
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    BodyB got a reaction from Robocop in Du soutien des femmes et de leur point de vue   
    Moi Chistophe Salengro
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    BodyB got a reaction from VeuveBlack in Du soutien des femmes et de leur point de vue   
    Quelle chance vous avez !
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    BodyB got a reaction from youri in aas et METABOLISME !! ^^   
    Il peut effectivement se planter... Et je suis d'accord avec toi que la progression est autre chose. Mais elle est quand même relative à ta génétique de base. J'ai pris 25kg en muscu, mais partant de loin, j'arrive à un physique correct. Même si je suis très content de ma progression, la morphologie de base détermine vraiment le potentiel de développement indépendamment des AAS qui peuvent éventuellement aider (avec bonne diet et bon training !)
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    BodyB reacted to Robocop in Facteurs de modification de l'index glycémique   
    Facteurs de modification de l'index glycémique
    La grande majorité des glucides entrant dans la consommation courante humaine sont des glucides complexes, composés essentiellement d’amidon qui appartiennent donc à la catégorie des aliments amylacés parmi lesquels on distingue quatre familles : (voir tableau en lien)
    Tous ces amidons, pour être absorbés et apparaître dans la circulation sanguine doivent être transformés en glucose. Ce sont les enzymes digestives (alpha-amylases notamment) qui réalisent ce travail.
    La digestion commence dans la bouche avec la mastication et se poursuit dans l’intestin grêle après un transit par l’estomac.
    La montée en glycémie témoigne du niveau d’absorption du glucose et donc de la digestibilité d’un amidon particulier.
    En savoir plus sur la physiologie de l’absorption intestinale
    C’est cette amplitude qui est mesurée sur l’échelle des index glycémiques.
    L’observation a montré que pour une même quantité de glucides, d’un aliment à l’autre, l’amplitude glycémique post prandiale pouvait être très différente, car il existe dans l’aliment une fraction d’amidon qui résiste à la digestion, d’où une plus ou moins grande absorption.
    Plusieurs facteurs sont à l’origine de cette variation de la digestibilité des amidons dont l’amplitude est mesurée par l’index glycémique.
    En savoir plus sur le concept de l’index glycémique
    Structure de l’amidon :
    Le grain d’amidon est constitué de deux types de composants moléculaires : l’amylose et l’amylopectine. Ils peuvent être associés à des lipides, des protéines, des fibres et des micronutriments (vitamines, sels minéraux …).
    C’est essentiellement la proportion d’amylose par rapport à l’amylopectine qui détermine la nature physico-chimique des aliments amylacés et leurs effets nutritionnels sur l’organisme humain.
    Ce rapport amylose / amylopectine peut-être très différent d’une famille botanique à l’autre mais aussi d’une variété à l’autre à l’intérieur d’une même famille.
    Les amidons de céréales contiennent en général, entre 15 et 28% d’amylose.
    Mais certaines variétés de maïs en contiennent moins de 1% (maïs cireux dont les extraits sont utilisés dans l’industrie alimentaire comme épaississants).
    D’autres variétés de maïs en revanche en contiennent de 55 à 80% mais ils sont peu cultivés, car plus le taux d’amylose est élevé, plus le rendement est bas.
    Les amidons des tubercules (appelés encore fécules), ce qui est le cas de la pomme de terre, ont une teneur en amylose beaucoup plus faible (de 17% à 22%).
    Quant aux amidons de légumineuses (lentilles, haricots secs, pois chiches …), ils sont au contraire beaucoup plus chargés en amylose (de 33 à 66%).

    Les variations de l’index glycémique
    L’index glycémique d’un aliment amylacé est fonction de plusieurs paramètres :
    Le rapport amylose-amylopectine



    Soumis à un chauffage en excès d’eau, la structure de l’amidon se modifie. Les grains d’amidons en s’hydratant progressivement gonflent et une fraction d’amylopectine passe en solution, puis ultérieurement si le chauffage se prolonge une fraction d’amylose passe elle aussi en solution.
    Le résultat se traduit donc par une viscosité plus ou moins importante de la suspension. C’est le phénomène de la gélatinisation de l’amidon.
    Or, plus la proportion d’amylose est faible, plus la gélatinisation est importante et inversement.
    Il a pu être démontré que plus un amidon se gélatinisait (du fait de son faible taux d’amylose) plus il était aisément hydrosable par les alpha-amylases (enzymes digestives de l’amidon), plus sa propension à se transformer en glucose était forte et plus la glycémie avait évidemment tendance à s’élever.
    En d’autres termes, moins il y a d’amylose dans un amidon, plus son index glycémique est élevé. Inversement, plus la proportion d’amylose est forte, moins la gélatinisation est importante, moins il y a transformation en glucose et plus l’index glycémique est bas.
    Ainsi, on peut facilement comprendre pourquoi la pomme de terre qui a un taux d’amylose très faible, a un index glycémique élevé. Alors que la lentille qui a un taux d’amylose élevé a un index glycémique très bas.
    L’exemple du maïs est lui aussi tout à fait significatif.
    Le maïs « Waxy » (dit maïs cireux) qui est pratiquement dépourvu d’amylose, a été précisément sélectionné par l’industrie agro-alimentaire pour la très grande viscosité de son amidon. Il est ainsi couramment utilisé pour épaissir les gelées de fruits, texturer les aliments en boîtes ou surgelés. Il est mentionné sur les étiquettes sous la rubrique : amidon de maïs.
    Son index glycémique étant très élevé ( très proche de 100 ) il contribue donc à introduire dans toutes les préparations culinaires industrielles où il entre, un facteur important d’amplification de la glycémie.
    Inversement, une expérience intéressante été faite en Australie où un fabricant de pain industriel a rajouté une proportion d’un maïs spécial, ayant un taux très élevé d’amylose (>80) afin d’abaisser l’index glycémique d’un pain de mie traditionnel. L’accueil du public est paraît-il très favorable notamment celui des enfants qui ont habituellement tendance a refuser de consommer du pain complet.Le type de traitement technique et thermique dont l’aliment est l’objet



    L’hydratation et la chaleur ont pour effet d’augmenter l’index glycémique d’un aliment. La carotte par exemple a unindex glycémique de 20 quand elle est crue. Dès qu’elle est bouillie dans l’eau son index grimpe à 50 du fait de la gélatinisation de son amidon.
    Certains processus industriels conduisent à maximaliser la gélatinisation. C’est le cas pour la fabrication des flocons (purée de pomme de terre instantanée) ou encore des cornflakes, mais aussi des liants tels que les amidons modifiés et les amidons dextrinisés.
    Ces opérations ont donc pour effet d’amplifier considérablement l’index glycémique (85 pour les cornflakes, 95 pour la purée en flocons, 100 pour les amidons modifiés).
    De même, l’explosion du grain de maïs conduisant au pop-corn ou du grain de riz pour réaliser du riz soufflé augmente de 15 à 20% l’index glycémique d’origine.
    La « pastification » diminue l’index glycémique
    Il existe en revanche un processus technique naturel qui tend à freiner l’hydratation de l’amidon. C’est le cas de la « pastification » du blé dur. L’extrusion de la pâte à travers une filière entraîne en effet un échauffement qui se traduit par la constitution d’un film protecteur qui contribuera à ralentir la gélatinisation des amidons lors de la cuisson.
    Mais ce qui est surtout valable pour les spaghettis ou encore certaines tagliatelles, qui sont précisément « pastifiées », c’est à dire extrudées sous l’effet d’une forte pression, ne l’est ni pour les ravioles, ni pour les lasagnes, ni même pour les pâtes fraîches découpées avec une petite machine à main et dont l’index glycémique est ainsi beaucoup plus élevé, alors qu’elles sont composées de la même farine de blé dur.
    A partir d’une même farine, on peut donc aboutir à des produits dont les index glycémiques vont du simple au double (ravioles 70, spaghettis 40).
    Mais la cuisson domestique, qui aura lieu juste avant leur consommation, fera encore varier l’index glycémique final.
    Une cuisson al dente (5 à 6 minutes) permettra de conserver l’index glycémique des spaghettis à son niveau le plus bas alors qu’une cuisson prolongée de 15 à 20 minutes entraînerait une élévation de l’index du fait de l’accélération de la gélatinisation de l’amidon.La rétrogradation : processus inverse de la gélatinisation



    Après avoir fait l’objet d’une cuisson entraînant la gélatinisation, l’amidon lorsqu’il refroidit, fait l’objet de nouvelles modifications.
    Progressivement, le gel évolue vers une nouvelle réorganisation des macro-molécules d’amylose et d’amylopectine. C’est le phénomène de la rétrogradation c’est à dire un retour (plus ou moins important cependant) à la structure moléculaire antérieure. Le phénomène de rétrogradation augmente d’ailleurs avec le temps et avec la diminution de la température.
    La conservation prolongée à basse température (5°) d’aliments amylacés (plats cuisinés sous vide) favorise donc la rétrogradation. Le même phénomène est obtenu en laissant sécher certains aliments. Par exemple, plus le pain est rassis, plus l’humidité en migrant vers l’extérieur favorise la rétrogradation de l’amidon. C’est aussi le cas lors de la réalisation du pain grillé.
    Même si la rétrogradation n’entraîne pas une réversibilité totale de la gélatinisation il n’empêche qu’elle permet une diminution de l’index glycémique. C’est ainsi que des spaghettis (même blancs) cuits al dente puis refroidis et consommés en salade auront un index glycémique de 35.
    On peut aussi en déduire qu’un pain fabriqué avec la même farine, selon qu’il est fraîchement cuit (et encore chaud) rassis ou toasté, n’aura pas le même index glycémique.
    De même, on peut penser que le fait de congeler un pain frais puis de le décongeler à température ambiante conduit à lui abaisser sensiblement son index glycémique d’origine.
    D’autre part, il est intéressant de savoir que des lentilles vertes froides (a fortiori si elles sont restées 24 heures au frigo) ont un index glycémique encore plus bas que fraîchement cuites (entre 10 et 15). Car plus l’amidon d’origine est riche en amylose, plus le phénomène de rétrogradation est efficace.
    Cependant, il a été montré que le fait de rajouter des lipides à un amidon qui a fait l’objet d’une gélatinisation, entraîne un ralentissement de la rétrogradation.
    Par ailleurs, il est bon de savoir qu’un amidon rétrogradé qui est réchauffé perd une partie de son pouvoir de gélatinisation. Une fraction (10% environ) de l’amidon rétrogradé devient thermorésistant, ce qui tendrait à montrer que le réchauffage d’un glucide après le stockage au froid, contribuerait à en abaisser l’index glycémique.
    Enfin il est important de mentionner que l’amidon à l’état natif (brut et naturel) n’est pas présent uniquement dans les aliments crus. Il peut dans certains cas persister sous cette forme après cuisson lorsque la teneur en eau du produit a été localement insuffisante pour permettre sa gélatinisation. C’est notamment le cas de la croûte de pain et des biscuits de type sablés où la structure granulaire de l’amidon persiste en partie après la cuisson diminuant d’autant leur index glycémique par rapport aux amidons qui eux auront été gélatinisés (celui de la mie de pain par exemple).
    C’est aussi pourquoi la cuisson à la vapeur douce ou à l’étouffée qui a un faible pouvoir d’hydratation comparé à la cuisson par immersion entraîne une moindre gélatinisation.Le contenu en protéines, et en fibres



    Pour certains glucides, le contenu naturel en protéines peut être à l’origine d’une moindre hydrolisation (digestion) des amidons et en conséquence d’une diminution de l’index glycémique.
    C’est notamment le cas de la famille des céréales.
    Le phénomène est particulièrement évident dans le cas des pâtes alimentaires. La présence de gluten ralentit en effet l’action des amylases digestives ce qui limite d’autant l’absorption de glucose.
    Il apparaît d’autre part que la teneur en fibres alimentaires d’un amidon peut constituer une barrière à l’action des amylases et ainsi diminuer encore d’autant l’absorption du glucose. Toutefois, il semble que ce soit essentiellement les fibres solubles (que l’on retrouve le plus souvent dans les légumineuses mais aussi dans l’avoine) qui peuvent jouer un rôle direct ou indirect sur la diminution de l’absorption intestinale du glucose et ainsi faire baisser l’index glycémiquede l’amidon en question.
    En savoir plus sur la physiologie de l’absorption intestinaleLe degré de mûrissement et de vieillissement



    Les fruits amylacés augmentent leur index glycémique en fonction de leur degré de mûrissement. Le phénomène est particulièrement important pour la banane (beaucoup moins pour la pomme). Une banane verte aura un index glycémique assez bas (environ 40), au terme de son mûrissement l’index sera beaucoup plus élevé (65) du fait de la transformation de son amidon qui au fur et à mesure du mûrissement devient de moins en moins résistant. Le fait de cuire la banane verte entraîne le même phénomène.
    Pour essayer d’être le plus exhaustif possible, il faut aussi noter que la conservation de certains aliments, la pomme de terre notamment, entraîne une augmentation de l’IG du fait de la transformation naturelle de leurs amidons. Les pommes de terre qui ont été conservés plusieurs mois ont donc un index glycémique plus élevé que les pommes de terre nouvelles.La taille des particules

    Lorsqu’un amylacé fait l’objet d’un broyage, plus les particules d’amidon sont fines, plus l’hydrolysation des molécules d’amidon est facilitée ce qui a pour conséquence d’augmenter l’index glycémique.
    Ceci est notamment le cas pour les céréales lorsqu’elles sont réduites en farine.
    La farine de riz a donc un IG plus important que le riz d’origine.
    Le blé, lorsqu’il était autrefois moulu à la meule de pierre était réduit en grosses particules. Même s’il faisait l’objet d’un tamisage, ce dernier était sommaire et la farine qui en résultait restait somme toute grossière (bise).
    Le pain dit « blanc » de l’époque avait donc un IG qui pouvait se situer entre 60 et 65 ce qui était plutôt raisonnable. L’un des rares pains aujourd’hui qui correspond à ce standard est le fameux pain « Poilâne ». Ce type de pain est d’autant plus intéressant qu’il est exclusivement fabriqué avec du levain naturel, ce qui contribue encore à diminuer l’index glycémique.
    Le pain du peuple, lui, était fait autrefois avec une farine brute non blutée qui avait conservé l’intégralité des composants du grain de blé d’où son nom de « pain intégral ». Comme les particules étaient assez grossières et qu’il comportait un taux de fibres et de protéines élevé et de surcroît qu’il était fait au levain, l’index glycémique était évidemment encore plus bas (entre 35 et 45).
    (voir lien pour tableau)


    Avec l’invention du moulin à cylindre en 1870, la fabrication de la farine blanche s’est généralisée, en Occident d’abord, puis dans tous les pays du monde. Ce nouveau moyen technique considéré évidemment, mais à tort, comme un « progrès », allait se traduire par un appauvrissement de la qualité nutritionnelle du pain.



    Depuis, grâce à un matériel de meunerie de plus en plus sophistiqué, les farines sont de plus en plus « pures », au sens technique du terme. Ce qui se traduit nutritionnellement parlant par : moins de fibres, moins de protéines et de micro nutriments (vitamines, minéraux, acides gras essentiels…) et des particules de plus en plus fines. D’où un
    index glycémique de plus en plus élevé de tous les aliments dans lesquels cette farine hyper-raffinée est l’un des composants majeurs.
    Conclusion


    L’ampleur de la variation des aspects nutritionnels des glucides mérite donc une très grande attention.
    Car il n’existe pas « un amidon » mais « des amidons ».



    Ils sont différents, d’abord à l’origine, du fait de leur structure moléculaire (rapport amylose/amylopectine) ainsi que du contenu et de la nature des nutriments additionnels qui leur sont associés (protéines, fibres).



    Les propriétés physico-chimiques des amidons évoluent constamment sous l’influence de l’eau, des variations de température et du temps.



    Chaque traitement hydrothermique, industriel ou culinaire entraîne une transformation de l’aliment qui lui confère des propriétés et une digestibilité spécifique.



    Il en résulte une absorption intestinale spécifique qui se traduit par une réponse glycémique et insulinique en rapport.



    L’
    index glycémique d’un aliment est donc la résultante de nombreux paramètres dont il convient impérativement de tenir compte dans nos choix nutritionnels.


    En négligeant l’intérêt de ces notions scientifiques, pourtant connues depuis plus de 15 ans, la « Diététique traditionnelle » a laissé l’industrie agro-alimentaire développer, non seulement des variétés botaniques suspectes, mais aussi et surtout des techniques industrielles de traitement, de cuisson et de conservation qui concourent indirectement à élever d’une manière alarmante les glycémies post-prandiales des consommateurs des aliments modernes.



    Nous savons aujourd’hui que l’hyperinsulinisme qui est la conséquence finale de ces effets métaboliques pervers est à l’origine de la prévalence de l’obésité, du diabète et de nombreuses affections cardio-vasculaires.



    Dès lors nous pouvons mesurer l’imprudence des recommandations nutritionnelles officielles actuelles à l’égard du Grand Public à qui il est conseillé de consommer 50 à 55% de glucides par rapport à leurs apports alimentaires quotidiens sans qu’il soit mentionné de quel glucide il s’agit. Pire encore, si par hasard cette mention existe, elle fait toujours référence à la classification des sucres lents/sucres rapides qui est totalement fausse.



    En savoir plus sur l’inexactitude des sucre lents/sucres rapides


    Car comme le dénonce le Pr. Walter WILLET du Harvard Medical School, ces recommandations ne sont jamais assorties d’explications complémentaires permettant à la fois le choix et le traitement (cuisson, conservation..) de ces glucides eût égard à leur
    index glycémique.Tout au plus est-il « officiellement » conseillé de consommer de préférence des glucides complexes ce qui ne veut pas dire grand chose au regard des connaissances nutritionnelles actuelles.
    Car comme le disent les chercheurs F. Bornet et le Professeur G. Slama, non seulement « les glucides complexes ne sont pas interchangeables » comme on l’a cru pendant longtemps, mais il faut être conscient « que certains amidons ou aliments amylacés, bien que complexes, sont plus hyperglycémiants que des sucres simples ». C’est par exemple le cas de la pomme de terre frite (IG 95) qui est plus hyperglycémiante que le sucre (IG 70).



    Michel Montignac, qui est le premier nutritionniste au Monde à avoir proposé l’utilisation du concept de l’
    index glycémique dans l’amaigrissement, a bien montré depuis une quinzaine d’années,dans l’ensemble de ses publications, comment la dérive des habitudes alimentaires depuis 50 ans a entraîné une augmentation phénoménale de la prévalence de l’obésité dans le Monde.En passant d’un mode alimentaire peu glycémiant (composé majoritairement de glucides à index glycémique bas et très bas) qui était celui de nos ancêtres, à un mode alimentaire hyperglycémiant (composé très majoritairement de glucides à index glycémiques élevés et très élevés), une proportion de plus en plus importante d’individus ont développés des pathologies métaboliques et principalement l’hyperinsulinisme qui est facteur de prise de poids et de diabète.

    source http://www.montignac...dex-glycemique/
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    BodyB got a reaction from Ufcboy in Astuces pour (mieux) manger lors d'une sortie   
    Voici quelques trucs que j'utilise pour pouvoir sortir en limitant les excès, tout en restant sociable...
    Avant de partir manger (resto ou amis) :
    - Prendre un mélange de son d'avoine et de fromage blanc. Celui-ci permettra de ralentir la digestion et limitera l'absorption de glucides et lipides par l'organisme.
    - si vous savez ce que vous allez manger et que tout va flinguer votre diet (soirée raclette, par exemple)... Manger alors avant de partir. Vous n'aurez qu'à grignoter durant le repas en prétextant que vous n'avez pas trop faim.
    Si la sortie est au resto :
    - privilégiez les salades et les viandes (précisez "sauce à part")
    - préférez une entrée copieuse à un dessert
    - prenez une eau minérale
    Si la sortie est chez des amis :
    - s'il s'agit d'une soirée barbecue, amenez des blancs de poulet marinés, des légumes à griller... Bref des choses que vous aller manger et pouvoir partager avec les autres en évitant les merguez et autres saucisses.
    - pour l'apéro, vous pouvez éventuellement apporter des olives, du saucisson "de jambon" (faible en MG), des légumes croquant avec une sauce à base de FB...
    - refusez l'alcool soit pour la route, soit parce que vous êtes sujet aux migraines et que l'alcool vous en provoque. Au pire, acceptez un demi-verre de vin, pour faire plaisir. Ne le finissez qu'en fin de repas pour éviter qu'on ne vous remplisse votre verre vide.
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    BodyB got a reaction from CHRSTM13 in 6 règles pour bien utiliser le sucre   
    Devinette : quel est le nutriment le plus important pour les bodybuilders ? Au cas où vous auriez répondu les protéines, mes condoléances! Si restreindre l'apport en glucides et ingurgiter des tonnes de protéines maigres peut sembler une bonne idée, cette démarche ne vous mettra pas sur la voie rapide de l'hypertrophie musculaire pour obtenir le physique auquel vous aspirez. Le nutriment le plus important est le glucose, un sucre simple. Sans cet important élément régulateur du métabolisme, vos muscles ne pourraient pas atteindre leur potentiel de développement, quelle que soit la quantité de protéines que vous leur apportez. En fait, si le corps ne reçoit pas assez de glucose, il transformera les protéines des aliments et de vos muscles en glucose, provoquant un état catabolique peu réjouissant.
    Il est certain si vous consommez du sucre alimentaire aux mauvais moments et de façon excessive, vous n'arriverez jamais au sommet de votre forme. Pourtant, la démarche inverse, c'est-à-dire éviter le sucre comme la peste, est tout aussi néfaste. Si vous tenez vraiment à vous bâtir des muscles denses dont le galbe semble étirer la peau, vous devez apprendre à exploiter le potentiel de ce puissant nutriment anabolisant: dans cet article, nous vous montrons comment et quand l'utiliser (il ne s'agit pas ici uniquement du sucre de table ou saccharose) pour contrôler votre environnement hormonal et optimiser le développement musculaire. Appliquez dès aujourd'hui ces six règles simples et vous n'aurez jamais eu autant de masse, de force et de tonus avant vos entraînements !
    Potentiel postexercice
    Comme vous lisez régulièrement M&F, vous êtes sans doute au courant des propriétés anabolisantes puissantes de l'insuline. Après l'effort, la sécrétion insulinique stoppe la dégradation du tissu musculaire et des substrats énergétiques, et ramène l'équilibre hormonal du catabolisme vers l'anabolisme.
    Mieux vous comprendrez comment utiliser le sucre pour agir sur la sécrétion d'insuline, mieux vous serez à même de contrôler ce mécanisme. Espérons que vous savez au moins qu'après l'entraînement, le sucre est nécessaire pour endiguer au plus vite la phase de catabolisme dans laquelle on se trouve. Mais (et c'est un grand mais), il faut fournir au corps assez de sucre pour causer une montée brusque de l'insuline, satisfaire les besoins du foie en glycogène et saturer complètement les muscles en glycogène. (Le glycogène est la forme de stockage du glucose dans l'organisme). Une barre protéinée pauvre en glucides, prise après votre séance, ne fera pas du tout l'affaire. Comme l'affirme Craig Titus, pro IFBB: "Cette notion de régime hypoglucidique est aberrante! Pour prendre du muscle, il faut des sucres et on doit en faire le plein après l'entraînement."
    Remplir vos muscles de sucre après l'effort ne vous fera pas prendre de graisse et ne voilera pas votre définition musculaire car votre corps sera trop occupé à absorber tout ce glucose pour le mettre en réserve sous forme de glycogène et l'utiliser comme carburant destiné à faire démarrer la synthèse des protéines. C'est systématiquement que Craig sature ses muscles de sucre après ses séances, conformément à un plan élaboré par un autre pro IFBB, Milos Sarcev, et il affirme que "ses muscles n'ont jamais été aussi gros et aussi denses." Pour que votre métabolisme tourne à plein régime, il faut l'alimenter en sucre et récupérer après chaque entraînement. Encore une excellente raison d'être bodybuilder !
    Mettre l'anabolisme en route
    Avant de vous donner le feu vert pour vous mettre à recouvrir de sucre, de sirop et de miel tout ce qui est dans votre assiette et ainsi, faire exploser votre taux d'insuline, sachez qu'il y a des règles à observer: il faut que tout soit fait au bon moment.
    1. PRIVILÉGIEZ LES SUCRES DE FORT INDEX GLYCÉMIQUE DANS LA PHASE DE RÉCUPÉRATION POSTEXERCICE.
    Les recherches indiquent que, pour favoriser la resynthèse du glycogène, les sucres de fort IG (index glycémique) l'emportent nettement sur une quantité équivalente de sucres de faible IG. (Sur l'échelle des IG, où le glucose a la valeur de 100, on trouve, par ex.: Gatorade: 78; flocons d'avoine: 84, et Cheerios: 83). Néanmoins, vous avez tout intérêt à vous en tenir à des préparations liquides conçues spécifiquement pour la récupération après l'effort: elles sont riches en sucres consistant essentiellement en glucose, saccharose ou dextrose, peu de protéines et très peu de lipides. Attention à ne pas prendre des barres ou des poudres riches en protéines et pauvres en sucres. En ingérant plus de protéines que de glucides, vous risquez de stimuler la production de glucagon, créant ainsi un environnement hormonal qui ne sera guère propice à un remplacement optimal du glycogène. Visez un ratio glucides à fort IG/protéines d'environ 3:1.
    2. SI VOUS POUVEZ CHOISIR DES SUCRES PARTICULIERS (PLUTÔT QUE DE MANGER DES ALIMENTS), PRENEZ EN PRIORITÉ DU GLUCOSE OU DU DEXTROSE.
    Ce sont des monosaccharides, c'est-à-dire que comme ils ne peuvent pas être dégradés en éléments plus simples, ils sont très vite digérés et passent rapidement dans le sang: à ce titre, ils sont parfaits pour renflouer les réserves de glycogène et faire grimper l'insuline.
    Autre monosaccharide présent dans le miel et les fruits, le fructose, chimiquement semblable au glucose, mais ayant une structure différente. Il doit d'abord être métabolisé par le foie avant de pouvoir être absorbé par les muscles, ce qui en fait une excellente source de sucres pour restaurer le glycogène. Le fructose à lui seul ne serait pas ce qu'il y a de mieux pour renouveler les stocks de glycogène musculaire ou potentialiser l'insuline; par contre, un mélange de glucose et de fructose est très efficace. (NB: le saccharose, sucre courant alimentaire, est un disaccharide composé de glucose et de fructose).
    3. FAITES-LE, DE FAÇON SYSTÉMATIQUE, APRÈS CHAQUE SÉANCE D'ENTRAÎNEMENT.
    Même si vous tenez à suivre à tout prix un régime hypoglucidique, ne réduisez pas les sucres dans les repas de récupération post-entraînement, au risque de voir votre organisme se mettre à puiser dans les protéines musculaires pour y trouver son carburant! Si vous ne renflouez pas complètement les stocks de glycogène après chaque séance, vos muscles ne se développeront jamais jusqu'au maximum de leur potentiel. L'appauvrissement des réserves de glycogène vous
    obligera à réduire l'intensité et le volume d'entraînement des séances suivantes, limitant alors les possibilités de surcharger vos muscles. En raison de la perte progressive d'eau et de glycogène des cellules musculaires en état de déplétion, vos muscles n'auront plus leur densité: si vous souhaitez les développer jusqu'à leurs limites, au sens propre comme au sens figuré, il importe de tirer le meilleur parti de cette fenêtre métabolique pour amorcer l'anabolisme immédiatement après chaque séance.
    4. LA QUANTITÉ DE SUCRE REQUISE APRÈS VOTRE SÉANCE DÉPEND DE L'INTENSITÉ, DE LA DURÉE ET DU TYPE D'ENTRAÎNEMENT QUE VOUS AUREZ RÉALISÉ.
    La plupart de ceux qui pratiquent la musculation de loisir à une intensité relativement élevée pendant 60-80 minutes devront consommer environ 0,88 g à 1,76 g de glucides à IG élevé par kilo de poids: cela
    correspond à 80-160 g d'hydrates de carbone pour un athlète de 91 kg. (Cela veut dire que vous prendrez, en gros, entre 25 et 50 g de protéines, sur la base du ratio 3:1 mentionné plus haut). Craig prend 100 g de dextrose avec 30 g de whey (plus 10 g de créatine et 10 g de glutamine) dès qu'il a reposé ses charges à la fin de la dernière série. Quinze minutes plus tard, il avale encore 50 g de dextrose et 30 g de whey (protéine de lactosérum). Une heure après, il fait un gros repas et reprend ensuite son plan d'alimentation normal. C'est là un exemple classique de programme de récupération postexercice pour un bodybuilder de 122,5 kg.
    5. LES BODYBUILDERS UTILISANT DES TECHNIQUES AVANCÉES, COMME LE TRAVAIL NÉGATIF LOURD ET LES REPS FORCÉES, DOIVENT INSISTER DAVANTAGE SUR l'APPORT EN SUCRES APRÈS LEURS SÉANCES.
    Les recherches indiquent que la resynthèse du glycogène musculaire est entravée par l'entraînement excentrique lourd; ceci est très probablement dû aux microtraumatismes infligés aux cellules musculaires et qui interfèrent avec le transport du glucose vers ces cellules. Si vos séances comprennent du travail négatif lourd, des reps forcées et des charges lourdes, il faut vous assurer de fournir à vos muscles des quantités adéquates de sucres à fort IG pour surmonter la dépression de la resynthèse du glycogène induite par l'atteinte musculaire. Votre apport devra aussi se situer dans la valeur haute de la fourchette des doses de renouvellement en sucres si vous vous entraînez à une intensité relativement élevée (en faisant des séries dégressives, ou jusqu'à épuisement, ou avec des temps de repos courts). Comme ce type de techniques d'entraînement vide rapidement les stocks de glycogène, vous devrez veiller à ingérer suffisamment de glucides pour qu'une resynthèse complète s'opère dans les muscles et le foie.
    6. PENSEZ À PRENDRE UNE PETITE QUANTITÉ DE SUCRE AVANT ET PENDANT UN ENTRAÎNEMENT POUR ÉVITER UN CATABOLISME TROP MARQUÉ ET POUR AMORCER LE PROCESSUS DE RÉCUPÉRATION.
    Avant votre séance, la prise d'une petite quantité de glucose et de fructose (10-20 g, associés à 10 g de protéines) pourrait stopper l'effondrement des concentrations de glucose sanguin et d'insuline pendant l'effort. Si les taux de sucre sanguin et d'insuline sont bas, il est beaucoup plus difficile de remettre l'anabolisme en route après la séance. Sachez que l'énergie pour vous entraîner vient essentiellement du glycogène stocké dans les muscles; certes, cet apport avant l'effort ne va pas donner à vos muscles beaucoup de carburant, mais il permettra d'équilibrer le niveau hormonal et de prévenir un catabolisme trop aigu. Il pourrait également être utile de prendre une boisson de récupération avant votre séance de musculation ou de cardio si elle va dépasser 60 minutes. De cette façon, vous amènerez un peu de sucre dans le sang ainsi que des nutriments dans les muscles et vous éviterez un catabolisme protéique exacerbé.
    La puissance de l'insuline
    La sécrétion insulinique est stimulée par l'augmentation du taux de sucre sanguin. Comme celui-ci est très finement régulé dans une fourchette étroite par le centre de contrôle du métabolisme, la moindre élévation de la glycémie agit sur le pancréas qui libère l'insuline: cette hormone va alors mettre en réserve l'excès de glucose dans le sang. Quand les stocks de glycogène hépatique et musculaire sont relativement pleins, ce glucose excédentaire dans le sang peut être mis de côté sous forme de graisse, d'où la mauvaise image de marque des sucres simples, potentialisateurs de l'insuline.
    Néanmoins, juste après un entraînement éprouvant, quand les stocks de glycogène sont épuisés et qu'ils réclament du glucose, la prise de sucre crée une situation de très fort anabolisme dans le corps. Libérée en réponse au glucose ingéré, l'insuline fait entrer le sucre dans les cellules musculaires à une vitesse étonnante afin de remplir de nouveau les muscles de glycogène. Beaucoup d'autres nutriments, dont les acides aminés, sont entraînés dans cet apport massif et finissent dans les cellules musculaires qui absorbent tout comme une éponge.
    En outre, la conversion du glucose en glycogène fait entrer l'eau dans les cellules musculaires; donc, en facilitant l'optimisation de la resynthèse du glycogène, on pousse les muscles jusqu'à leurs limites pour ce qui est des quantités que chacune de leurs cellules peut assimiler. Cet afflux de nutriments entraîne l'accroissement optimal du volume de la cellule musculaire qui se gonfle pour retenir le maximum de ces nutriments, d'où possibilité de stimulus anabolisant très poussé qui incite le muscle à grossir.
    Sucres simples ?
    Les sucres dits "simples" ne sont en réalité pas si simples que cela. La méthode élémentaire de classement des sucres en "simples" et "complexes" est peut-être adéquate pour les abonnés du canapé, mais pour le bodybuilder qui s'entraîne et suit un régime précis, elle constitue un système nettement trop sommaire. En fait, beaucoup de diététiciens et de spécialistes de l'entraînement considèrent les appellations "simples" et "complexes" comme dépassées. Bon nombre d'entre eux ont maintenant recours au système de l'IG (index glycémique) car il permet de prédire avec bien plus de précision ce que sera la réponse physiologique que l'on peut anticiper après l'ingestion d'aliments glucidiques particuliers.
    En gros, l'IG d'un aliment glucidique reflète la vitesse à laquelle il va être dégradé en sucre dans l'intestin. De nombreux sucres soi-disant "simples" ou "complexes" n'agissent pas tout à fait comme on l'aurait supposé en se basant sur la classification simpliste utilisée autrefois. Ainsi, les fruits, souvent répertoriés comme sucres simples, ont un IG relativement bas et tendent à ne pas élever la glycémie et le taux d'insuline aussi rapidement que les pommes de terre, pourtant classées dans les sucres complexes.
    La digestion et l'absorption sont des facteurs-clés dans la mesure de l'IG d'un aliment particulier. Il est donc important de comprendre que, quand on mange d'au-tres aliments avec ceux qui sont glucidiques, on modifie l'indice glycémique global du repas. Par exemple, manger des glucides à IG élevé en ajoutant davantage de fi-bres, de protéines et/ou de lipides aura tendance à ralentir la digestion et l'absorption des sucres: de ce fait, un tel repas n'aura qu'un effet modéré sur la concentration de sucre sanguin et d'insuline. C'est là une bonne chose le jour où l'on veut que ces deux concentrations soient stables. En revanche, le repas post-entraînement devra avoir un IG élevé si l'objectif est de reconstituer le stock glucidique de réserve et de prendre du muscle.


    Source : Mark Casselman - M&F

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    Doigts + clavier + cerveau + google + sites
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    BodyB got a reaction from VeuveBlack in Steroides : Le piège   
    L'article vaut la peine d'être lu.
    Mais comme disent certains d'entre vous, il faut être dans la mesure et dans le raisonnable. Il faut distinguer ceux qui font de la compet', ou ceux qui veulent avant tout toujours être plus énorme, de ceux qui veulent un coup de pouce. C'est comme ceux qui fument 2 paquets par jour et ceux qui prennent 2,3 clopes.
    Moi maintenant je fais une cure deca/susta par an, avec un faible dosage (200mg de susta tous les 3 jours et 250mg deca par semaine). Ca me semble raisonnable.
    Je pense que le risque est pour les newbies, souvent jeunes qui tombent à fond dedans. Pour ma part, j'ai la quarantaine, je prends des roro depuis 4 ans. Et ma motivation est d'améliorer mon physique avant que l'age fasse l'inverse !
    Par ailleurs, je rejoins un point de l'article où on trouve que les extrêmes : les antis-roro et les pros-roro. Pour moi un certain nombre de personne (et je pense aux toubibs) devrait avoir une meilleure connaissance pour accompagner et échanger avec ceux qui en prennent. A titre de comparaison, je pense que les toxicos sont mieux accompagnés (tant mieux pour eux).
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    BodyB got a reaction from polo in Steroides : Le piège   
    L'article vaut la peine d'être lu.
    Mais comme disent certains d'entre vous, il faut être dans la mesure et dans le raisonnable. Il faut distinguer ceux qui font de la compet', ou ceux qui veulent avant tout toujours être plus énorme, de ceux qui veulent un coup de pouce. C'est comme ceux qui fument 2 paquets par jour et ceux qui prennent 2,3 clopes.
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    BodyB got a reaction from tribal in Médocs de relance et douane.   
    un petit truc pour acheter en pharmacie, s'il te pose la question de savoir pourquoi tu achètes ça : c'est pour faire injecter de la colle dans mes maquettes (modélisme)...
    Ce qui est vrai, un pote en achète que pour ça..,
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    BodyB reacted in Les plus belles demandes de sources par MP !   
    Faire du Hors Sujet dans la rubrique Hors Sujet? c'est du haut vol ça les meks
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    BodyB reacted to son in la psychologie du gars de la salle   
    Il faut être aware, ce n'est pas toi qui regarde le miroir mais le miroir qui te regarde.
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    BodyB reacted in la psychologie du gars de la salle   
    La chose essaye de communiquer.. donnons lui impression de la comprendre ...
    Oui oui c'est dur la vie d'un BB, tout à fait=)
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    BodyB reacted to chris85190 in Vidéos et photos de Chris85190   
    Fin du cycle: 85kg avec bf plus bas! Ca se dessine au fur et a mesure Que du bon haha






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    BodyB reacted to Yves Gasser in serie 100reps rattrapage   
    LES SERIES DE 100
    Vous ne rêvez pas ! Il s’agit bien de faire des séries de cent répétitions.
    Mais pourquoi ? Les séries de 20 on a déjà du mal à y croire mais alors des séries de 100 ! Là il s’agit bien de séries légères… On s’en fout qu’il s’agit de séries légères ou non, ce qui est important c’est de savoir à quoi cela peut bien nous servir de faire des séries de 100. Quels sont les avantages pour notre croissance musculaire qu’elles vont pouvoir nous apporter ?
    Et bien, il y en a beaucoup et le premier c’est de nous permettre de rattraper nos points faibles. Ceci grâce au travail de fond accéléré que les séries de 100 procurent et l‘augmentation de l‘irrigation sanguine des muscles en retard qui vont mieux congestionner. Si ce n’est pas suffisant comme argument pour passer à la pratique, il faut savoir qu’en plus elles permettent d’accélérer la récupération et accroît l’endurance. La cerise sur le gâteau c’est qu’un travail en séries de 100 permet à la longue d’améliorer la définition sur des endroits récalcitrants comme les abdominaux, fessiers, bas du dos, etc.
    Comment faire vos séries de 100 ? Choisir un ou deux muscles en retard que vous n’entraînez pas le jour même, ni le lendemain. Mettez la charge qui vous permet de faire 25 répétitions sans trop forcer et allez jusqu’au bout, 30 à 35 répétitions. Puis après une pause de 5 à 10 secondes faites 10 à 15 répétitions et avancez comme cela jusqu’à 100. Choisissez un exercice d’isolation, à la machine ou à la poulie.
    EXEMPLES
    Triceps cool
    XfZaaln6Nm8
    Biceps moins cool
    XonJDS8Kol4
    Triceps pas cool du tout
    B7HyuFnAWuQ
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    BodyB reacted to VeuveBlack in truc simple sans danger   
    Ben en fait il nous dit qu'il prend tous les matins guarana et baie d'açaï... Que c'est sympa et que quand il pète il troue son slip...
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