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On vous en parle chaque année. Oui mais cette fois ça commence à devenir très sérieux. Des chercheurs de l’université de Floride viennent de découvrir un facteur clef de la croissance musculaire et ont mis au point un médicament capable de provoquer la croissance sans aucun entraînement sportif, en tout cas, sur des souris. Depuis quelques années on nous a beaucoup parlé de la myostatine, un facteur de croissance dont le rôle est de bloquer la différenciation cellulaire et la croissance des muscles. Les adeptes de bodybuilding rêvaient déjà à des inhibiteurs de myostatine pour accélérer leur développement physique et atteindre des sommets. Oui mais voilà, l’inhibition directe de la myostatine s’accompagne d’une fragilité des tendons. Des gros muscles donc, mais inutilisables et pouvant se déchirer facilement. Depuis peu un nouveau facteur de transcription a été identifié en amont, on l’appelle “forkhead box O” ou plus simplement “FoxO”. Il appartient à une grande famille appelée “protéines FOX” dont les rôles et actions sont encore partiellement définis mais qui comprennent toutes les actions de différenciation et de prolifération cellulaire. Un rôle dans le développement du cancer et sur la longévité est également relevé. Au sein du muscle, FoxO active ou désactive certains gênes et contrôle l’expression de facteurs de transcriptions et notamment de la myostatine. Les chercheurs ont mis un point un inhibiteur de FoxO qu’ils ont injecté à des souris : sur un groupe de souris en bonne santé, un groupe de souris atteintes d’un cancer induit (provoquant un état de dénutrition et de fonte musculaire) et un groupe de souris atteintes d’une infection (provoquant une altération de l’état général et une fonte musculaire). Dans les groupes atteints de cancer et d’infection, l’inhibition de FoxO a rapidement bloqué la fonte musculaire mais… dans le groupe de contrôle… L’inhibiteur de FoxO a augmenté la masse musculaire! Sans aucune activité physique de la part des souris! Une première. Plus précisément, les chercheurs ont constaté que l’inhibition de FoxO avait pour effet d’augmenter la synthèse protéique, diminuer l’expression de la myostatine et provoquer la prolifération des cellules satellites, tous les éléments nécessaires à la croissance musculaire. Les chercheurs en profitent pour rappeler que “l’homme est fait pour bouger”. En tout cas, si un tel médicament venait à être mis au point sur l’homme, ses bénéfices seraient multiples, pour les malades comme pour le dopage. Reste à savoir quels seront les effets secondaires. Le fonctionnement de FoxO laisse supposer un risque possible de cancer ou de dégénérescence. Référence : Reed SA, Sandesara PB, Senf SM, Judge AR. Inhibition of FoxO transcriptional activity prevents muscle fiber atrophy during cachexia and induces hypertrophy. FASEB J. 2011 Nov 18.
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Et sur villefranche il y a des salles?? J'y vais de temps en temps je me suis deja entrainé a lyon a la confluence c'était bof mais seance d'essai donc gratuit c'est pratique quand tu pars en weekend
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super mais pourquoi des haricots blanc ?? lol
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Dosage un peu faible et diana seul c'est pas terrible pendant la cure en protec le nolva et le liv52 et pour la relance va voir dans la section pct tout est expliqué
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Rajoute du proviron à ta cure sinon tu auras un effet rebond après ta cure. hein? :?
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oublis pas si tu prends du clenbu supplémentes en taurine et en potassium Attention avec ce produit quand meme.
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Parmi les aliments glucidiques, certains sont meilleurs que d’autres. On trouve dans les pâtes des sucres complexes, dans les bonbons des sucres simples. Pour comparer tous ces aliments à la fois on utilise l’index glycémique (IG). Cet indice permet de mesurer le pouvoir sucrant de chaque aliment, il est basé sur le taux de glucose dans le sang après leur ingestion (glycémie). Un pratiquant de musculation ne doit pas négliger cet indice pour éviter toute prise de poids inutile. Glycémie et insuline Une forte concentration de glucose dans le sang correspond à une glycémie élevée. Ce glucose est indispensable pour fournir de l’énergie aux muscles et pour alimenter le cerveau. Mais une glycémie trop élevée entraîne inévitablement une sécrétion d’insuline par le pancréas. Cette hormone permet de stocker les sucres en excès sous forme de glycogène et de lipides, elle est en partie responsable de la prise de poids. Le glucagon est une hormone antagoniste à l’insuline qui déclenche la transformation du glycogène en glucose utilisable directement par les muscles. Elle participe également à la régulation de la glycémie lorsque celle-ci est trop faible. Sucres simples et complexes Les glucides simples (ou rapides) sont des assemblages basiques de molécules qui sont rapidement dégradables par l’organisme lors de la digestion. Les enzymes les décomposent donc rapidement, et une quantité importante de glucose est libérée d’un coup dans l’organisme. Fatalement la glycémie augmente et la sécrétion d’insuline est au rendez-vous. Les glucides complexes (ou lents) agissent de manière différente car leur structure moléculaire est plus longue. Les enzymes vont mettre un certain temps à les décomposer, libérant du glucose progressivement et régulièrement dans l’organisme. Cette libération progressive est idéale car la glycémie reste constante ce qui n’entraîne pas de sécrétion d’insuline (donc pas de prise de poids). De plus les glucides complexes fournissent de l’énergie sur une durée plus longue, d’où le terme de sucres lents. On en déduit que l’index glycémique d’un aliment dépend de sa teneur en tel ou tel type de glucides. Plus l’aliment sera composé de sucres rapides, plus sont IG sera élevé. En diététique un IG élevé est supérieur à 70, un IG moyen est compris entre 50 et 70 et un IG faible est inférieur à 50. La préparation des aliments Faire cuire un aliment fragilise considérablement sa structure moléculaire. La digestion de cet aliment devient plus rapide et par conséquent la libération du glucose aussi. Par exemple l’index glycémique des carottes crues est égal à 40. Faire cuire ces carottes revient à augmenter leur IG à 85 ! C’est pourquoi un pratiquant de musculation en période de sèche doit consommer de préférence des aliments crus (salades). Le même phénomène se produit pour les aliments broyés ou réduits en purée. Les pommes de terre entières font moins grossir que la purée de pommes de terre car leur décomposition dans l’estomac est plus lente. Concernant les légumineuses, retirer leur coque revient à augmenter leur index glycémique. Des lentilles entières ont un IG plus faible qu’un velouté de lentilles car leur enveloppe rend la digestion plus longue. La charge glycémique Un aliment dont l’IG est élevé n’entraînera pas forcément un pic d’insuline. L’index glycémique est un indice qui nous donne des informations sur la composition des glucides comme la valeur biologique chez les protéines. Pour connaître le pouvoir sucrant d’un aliment, il faut aussi tenir compte de sa teneur réelle en glucides. En multipliant la teneur totale en glucides d’un aliment avec son index glycémique, on obtient un nouvel indice : la charge glycémique (CG). Cet indice représente la capacité d’un aliment à faire augmenter la glycémie et par conséquent la sécrétion insulinique. Prenons un exemple : le melon possède un IG de 72. Pourtant vous savez que la famille des fruits aqueux est très peu calorique, alors comment expliquer un IG aussi élevé ? C’est simple, le melon contient seulement 5g de glucides pour 100g. Sa charge glycémique reste donc très faible malgré son IG important. L’absorption des sucres va être très rapide mais aussi très courte. Musculation et index glycémique Comment vous parler de l’index glycémique sans vous parler de la fenêtre métabolique ? En phase de prise de masse, elle est le moment idéal pour consommer des glucides très rapides ! Au réveil votre organisme est dans le besoin depuis déjà quelques heures, il est inutile de le faire patienter plus longtemps en lui donnant des glucides complexes. N’oubliez pas que lorsque l’organisme est en manque de glucides, ce sont vos protéines qui sont sacrifiées. La situation est la même après une séance de musculation (post-training). Faire augmenter sa sécrétion d’insuline revient à améliorer l’assimilation des nutriments, notamment des protéines : avant de boire un shaker de protéines whey, pensez à manger 3 ou 4 cuillères de miel. Sous l’action de l’insuline, la glycémie chute même en dessous de sa valeur initiale. Ce phénomène se nomme hypoglycémie réactionnelle. Une faible glycémie signifie une mauvaise alimentation des muscles en énergie, et donc de moins bonnes performances. On dit que cette hypoglycémie temporaire arrive entre 1h15 et 1h30 après l’ingestion du glucose. Si vous désirez profiter de l’impulsion glycémique des sucres rapides, consommez des aliments à fort IG pendant vos échauffements (avec modération sous peine de subir un coup de fatigue pendant votre séance de musculation). ====> Pour résumer Un aliment à fort IG peut rapidement faire augmenter la glycémie Faire cuire ou broyer un aliment augmente son IG (digestion plus rapide) Une forte sécrétion d’insuline améliore l’assimilation des nutriments ingérés Manger 3 à 4 cuillères de miel est idéal pour stimuler la sécrétion d’insuline La charge glycémique mesure la capacité d’un aliment à stimuler la sécrétion d’insuline
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Comme le potassium, le sodium améliore la réponse nerveuse et la contraction musculaire. Ce sel minéral augmente la rétention d'eau au sein de l'organisme. L'approvisionnement des muscles en nutriments / oxygène est donc meilleure et les muscles sont plus puissants et plus volumineux. Il est inutile de penser à une supplémentation en sodium, notre alimentation de tous les jours nous apporte déjà plus que nécessaire. -Le sel et le sodium L’aliment le plus riche en sodium est le sel de table : 1g de sel contient 400mg de sodium et 600mg de chlore. On trouve également du sodium dans les poissons, les farineux, les fromages, les légumes et les matières grasses. Certains aliments sont cependant trop riches en sodium par rapport à la dose journalière recommandée : les plats préparés, la pizza, les soupes, la charcuterie. La méthode la plus diététique pour s’approvisionner en sodium reste simplement de boire de l’eau minérale. La natrémie et la glycémie La natrémie est la concentration sanguine en sodium (comme la glycémie avec le glucose). Elle témoigne du niveau d’hydratation de l’organisme. Une natrémie idéale est comprise entre 136 et 145 mmol/L. L’augmentation de la glycémie provoque une dilution du sang et une diminution de la natrémie. En d’autres termes, la libération de sucres dans le sang diminue la concentration sanguine en sodium. La natrémie se réduit de 0,3 mmol/L pour chaque augmentation glycémique de 1 mmol/L. Le sodium et la rétention hydrique Certains culturistes pensent qu’une concentration élevée de sodium favorise la rétention d’eau, créant ainsi un voile aqueux entre la peau et les muscles. Cette affirmation n’est pas totalement exacte : tout dépend de vos apports en eau. On observe deux types de rétention d’eau : une rétention intra-cellulaire (à l’intérieur des cellules musculaires) et une rétention extra-cellulaire. • La rétention intra-cellulaire : La rétention d’eau au sein du muscle est cruciale. Le muscle étant composé à 70% d’eau ; sans une bonne hydratation, un muscle ne peut être fonctionnel. Un muscle riche en eau sera plus dense, plus volumineux et disposera de plus de force maximale. • La rétention extra-cellulaire : Lorsque votre organisme est en manque d’eau, vous êtes en déshydratation. Le corps déclenche alors un signal d’alarme en déplaçant l’eau située à l’intérieur des cellules musculaires vers l’extérieur pour alimenter des zones corporelles plus importantes. Le taux d’hormones anti-diurétiques chute de manière à moins transformer l’eau en urine. C’est à cet instant que la rétention d’eau devient néfaste pour votre sèche musculaire, car cette rétention extra-cellulaire se localise à un niveau superficiel (sous la peau). Cette dernière est également responsable de boursoufflements au visage. Ce type de rétention d’eau n’a rien de positif en musculation. -Le sodium en musculation Pendant une sèche musculaire, vos apports en glucides sont très limités. Une très faible consommation de glucides entraîne inévitablement une réduction des réserves de glycogène. Directement stocké au sein du muscle, le glycogène se charge en eau et permet ainsi de donner du volume musculaire. C’est pourquoi votre masse musculaire peut devenir moins volumineuse pendant une sèche. Pour éviter cette diminution du volume musculaire, le sodium peut venir compenser le manque de glucides. Son potentiel de rétention hydrique est idéal pour recharger les muscles en eau, mais aussi en nutriments (apportés par l’eau). Le sodium vous sera d’une grande aide pour atteindre la définition musculaire en minimisant les pertes de volume. La consommation d’eau idéale en musculation se situe entre 1,5L et 2L par jour. Dans cette situation, l’eau circule facilement à travers le corps et élimine automatiquement le sodium en excès. Mais un organisme déshydraté ne peut évacuer normalement le sodium excédentaire, ce qui représente un réel danger pour la santé : risque accru de maladies rénales, de maladies cardio-vasculaires ou encore d’hypertension. Veillez donc à bien vous hydrater pour profiter des avantages du sodium et surtout pour ne pas limiter votre progression en musculation, car c’est grâce à la circulation de l’eau dans votre organisme que vos muscles sont alimentés en oxygène et en nutriments ! ====>-Pour résumer Le sel de table (chlorure de sodium) est très riche en sodium (40%) Le sodium améliore la rétention d’eau et offre de la force et du volume aux muscles Seule la rétention intra-cellulaire est intéressante en musculation Pour tirer profit du sodium, il est essentiel de boire régulièrement dans la journée Il est inutile de songer à une supplémentation en sodium en musculation
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Les oméga-3 font parti des acides gras insaturés. Ces acides gras sont essentiels au métabolisme de base et permettent de limiter la formation des graisses excédentaires. Ne pouvant être apportés par l’organisme, tout pratiquant de musculation doit apporter des oméga-3 par le biais de son alimentation. Les oméga-3 possèdent de nombreuses vertus annexes comme la limitation des accidents vasculaires et la diminution du taux de cholestérol. -La balance oméga-3 / oméga-6 D’après une étude menée par des chercheurs français, une consommation trop faible en oméga-3 et trop élevée en oméga-6 facilite la formation du tissu adipeux dès le plus jeune âge, pouvant favoriser l’obésité pendant plusieurs générations. Selon l’ANSES, la balance oméga-3/oméga-6 doit être de 1/5. Aujourd’hui cette balance est estimée à environ 1/15. En plus de favoriser l’obésité, un régime déséquilibré en oméga augmente la résistance à l’insuline (rapprochant le sujet vers le diabète). Les oméga-6 sont présents essentiellement dans les huiles de tournesol et de maïs. De nos jours, le problème du maïs est son usage en tant que nourriture pour les animaux d’élevage. Manger des produits laitiers et de la viande nous apportent donc indirectement des oméga-6. Aujourd’hui les problèmes d’obésité pourraient diminuer sur le long terme si les poissons (riches en oméga-3) seraient privilégiés face à la viande et aux laitages. -Les acides gras du groupe oméga-3 On distingue 3 acides gras dans la familles des oméga-3 : l’acide linolénique (ALA), l’acide timnodonique (EPA) et l’acide cervonique (DHA). Bien que les végétaux soient riches en oméga-3, ces derniers n’apportent pas de DHA ni d’EPA qui jouent un rôle important dans le fonctionnement du système nerveux et donc dans la contraction musculaire. Le corps peut synthétiser une petite quantité de DHA et d’EPA à partir de l’acide linolénique (ALA) mais cette conversion reste limitée pour le DHA : il est essentiel d’en apporter par le biais de la nourriture en consommant des poissons gras. -Les sources d’oméga-3 Les poissons gras qui vivent en eaux froides constituent une source complète d’oméga-3. On y trouve le saumon, le flétan, le hareng, le maquereau, les sardines et les anchois. La balance oméga-3/oméga-6 de ces poissons est d’environ 7/1 ce qui est excellent pour contrebalancer les apports déséquilibrés des autres aliments. Les poissons puisent ces oméga-3 directement dans les algues, ce qui explique pourquoi les poissons d’élevage ont une plus faible teneur en oméga-3. Parmi les sources d’origine végétale, les algues comme la spiruline sont riches en DHA. Les huiles de colza et de lin sont intéressantes pour leur teneur élevée en ALA et pour leur balance équilibrée en oméga 3 et 6. Enfin, la salade est également une source d’ALA (entre 200 et 350mg pour 100g). -Les oméga-3 en musculation Concernant la musculation, les oméga-3 améliorent le fonctionnement du système nerveux (travail en force maximale) et la sensibilité des muscles aux effets de l’insuline. Cela se traduit par une meilleure importation du glucose / des acides aminés dans les fibres musculaires et un meilleur stockage du glycogène. Il est conseillé de répartir sur les différents repas de la journée deux cuillères à soupe d’huile d’olive (oméga-9) et de saumon (oméga-3). Prendre ces deux cuillères d’huiles mélangées à des protéines juste avant de dormir est une astuce excellente pour retarder la libération des protéines dans le flux sanguin, permettant de diminuer le catabolisme musculaire nocturne. Chez un pratiquant de musculation, l’apport en oméga-3 doit représenter 40% de l’apport calorique total dévolu aux lipides. Ajouter une cuillère à café de graines de lin moulues dans un yaourt ou dans un shaker de whey permet d’augmenter facilement ses apports en oméga-3. Consommer plus de poissons gras est tout de même la meilleure solution naturelle car les taux de ALA/EPA/DHA restent équilibrés. Les suppléments alimentaires en oméga-3 existent aussi sous forme de gélules. -Les oméga-9 en musculation Les oméga-9 jouent aussi un rôle important en musculation. Ces acides gras améliorent les défenses du système immunitaire mais surtout la faculté de l’organisme à synthétiser de la testostérone, hormone anabolisante favorisant le développement musculaire. L’apport en oméga-9 doit représenter 20% de l’apport calorique total dévolu aux lipides. La première source d’oméga-9 est l’huile d’olive (70 à 80%) puis le beurre de cacahuètes (riche en protéines). ===> Pour résumer Plus d’oméga-3 et moins d’oméga-6 permet d’éviter la formation des graisses adipeuses Les groupe des oméga-3 est constitué de 3 acides gras : ALA, EPA et DHA Seuls les poissons apportent les trois types d’oméga-3 en quantités équilibrées Consommer de l’huile de poisson ralentit l’assimilation des protéines ingérées Les oméga-9 favorisent la production de testostérone au sein de l’organisme
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Oui sa me parait bien je changerait juste le repas 3 avec le 5 Par contre ton complement omega 3 6 9 c'est pas super seul le 3 est necessaire
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putin chelou la lettre mdr au moins c'est honnette ^^
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demandes a un médecin... oui mais avant tu faisais testo + medoc pour la skisophrénie/aggrésivité c'est sa? sa va pas trop avec lol
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Tu devrais peut etre pas prendre de la testo si tu as besoin d'un traitement comme sa.. :/ en plus c'est fort comme medoc donc attention le foie et les reins.. La pct jdirai ouai tu peux c plus la cure qui pose probleme selon moi
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Ils devaient gerer la nutrition parsque yen a un qui est vraiment bien et naturel lui
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Susta 2 injec par semaine Pas de deca la derniere semaine Diana sa me parait de trop pour une premiere ou sinon que pendant 3-4 semaines Le deca c combien de mg par ml ?
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dur a dire il y a beaucoup de desma fake et il y a peu de matiere quand meme la
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Moustic a tout dit, concentre toi sur la sensation travails en unilateral avec lautre mains posé sur la partie que tu veux travailler faut apprendre a la sentir en premier.
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extrait d'un article de superphysique : Mythe 6 : La créatine n’est utile qu’en prise de masse Réalité : C’est le contraire : lorsque vous êtes en prise de masse vous amenez beaucoup de nutriments pour synthétiser la créatine. Lorsque vous êtes au régime les nutriments viennent à manquer (c’est pour cela que vous perdez du poids) et la synthèse de créatine est ralentie. C’est donc au régime que vous avez le plus besoin de créatine supplémentaire. Néanmoins il faut garder à l’esprit qu’une supplémentation en créatine procure des bénéfices même lorsque notre taux de départ est normal. Les bénéfices de la créatine seront donc simplement plus importants au régime qu’en prise de masse.
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bienvenue ! si c'est toi sur la photo tres joli niveau !!
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+8kg c'est bien 12 semaines la cure??