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polo

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  1. Oui sa existe les coureurs du tour en prennent deja ,il ont fais un reportage il y a une dixaine de jour a la télé, il disais que c'etait le nouveau produit des cyclistes mais que c'etait super cher

  2. Une équipe de chercheurs américains serait sur le point de mettre au point un traitement qui aurait le même effet sur l’organisme que la pratique d’une activité physique.

    Autrement dit faire du sport sans bouger le petit doigt.

    Les recherches sont publiées dans le dernier numéro de la prestigieuse revue scientifique Cell.

    L’équipe dirigée par le Dr. Ronald Evans de la Salk Institute (Californie, États-Unis) avait déjà présenté des travaux préliminaires lors la conférence Experimental Biology 2007.

    Les chercheurs ont en effet découvert deux médicaments qui augmentent l’endurance chez la souris.

    Les deux médicaments -

    baptisés AICAR etGW1516-

    sont administrés par voie orale et agissent au niveau musculaire.

    Elles reprogramment en quelques sortes les fibres musculaires de façon à ce qu’elles utilisent au mieux l’énergie et sont moins susceptible à la fatigue.

    Ces effets sont normalement obtenus avec la pratique régulière d’une activité physique.

    Avec la substance AICAR, des souris sédentaires ont été capables de courir plus longtemps et cela sans aucun entrainement préalable.

    Elles ont été capable de courir 44% de temps en plus que les souris non traitées par le médicament.

    En outre, les animaux avaient bénéficié des nombreux effets positifs dus à l’exercice physique.

    Les résultats obtenus avec le GW1516 sont encore plus impressionnants mais les résultats ne sont obtenus que lorsque la prise est combinée avec l’exercice physique.

    Les souris étaient dans ce cas capable de courir 68% de temps en plus et parcouraient 70% de distances supplémentaires par rapport aux souris qui ont été traité avec un placebo.

    Le rôle du gène PPAR delta

    Cette équipe avait déjà été en mesure de fabriquer une souris génétiquement modifiée capable de courir une heure de plus que les souris ordinaires et baptisée de ce fait « marathon mice » (souris marathon).

    Ils avaient réussi à obtenir cette souris en activant en continu le PPAR delta, un gène clé dans le contrôle du métabolisme du muscle.

    Ils se sont donc intéressés aux substance chimiques capable d’activer ce gène comme le GW1516.

    AICAR est une substance qui agit pour sa part en amont de PPAR delta.

    Les résultats ont donc été au delà de leurs espérances.

    Conscient de l’abus, que pourrait être fait de ces substances, par le monde sportif notamment, le Dr Evans et son équipe ont déjà mis au point un test pour détecter le GW1516 dans les urines et dans le sang.

    Ils sont actuellement en discussions avec l’Agence Mondial Antidopage (AMA) pour pouvoir utiliser ce test lors des grandes compétitions sportives.

    Le test ne sera cependant pas utilisé lors des JO de Pékin.

    En outre, ce test ne permet pas de détecter AICAR, or cette substance est commercialisée mais n’est pas approuvée par la FDA (Food and Drug Administration), organisme qui autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis d’Amérique.

    Au vu des résultats ce type de traitement pourrait aider à lutter contre les maladies métaboliques et autres complications dues à l’obésité.

    Le Dr Evans s’est dit optimisme pour que ces recherches aboutissent sur la mise au point d’un traitement permettant de lutter contre la dégénérescence observée lors du vieillissement ou chez les malades atteints de dystrophies musculaires.

    Il existe deux types de fibres musculaires:

    les fibres dites « lentes » (type I ou « rouge »), plus efficaces en métabolisme aérobie (particulièrement riches en myoglobine et en mitochondries).

    Ce sont les fibres de l’endurance elles sont fines et développés lors de la pratique du cyclisme ou de la course a pieds.

    La source d’énergie de ces types de fibres sont les réserves graisseuses.

    les autres types de fibres sont les fibres dites « rapides » (type II), plus efficaces en métabolisme anaérobie. Produisant plus de puissance pendant de courtes impulsions, elles sont plus sensibles à la fatigue.

    Celle-ci sont les plus volumineuses.

    C’est pourquoi les bodybuilders entraînent principalement les fibres rapides et réciproquement un sprinter possède un grand volume musculaire.

    Ces types de fibres tirent l’énergie des réserves de sucres contenus dans le muscle même

    .Source: cell

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